Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 26

PDV Emilio

— J'ai peur qu'elle parte comme elle l'avait fait avant. C'est aussi simple que ça, marmonnai-je, en attrapant un biscuit.

— Écoute Emilio. Camilla est une grande fille ; elle sait ce qu'elle fait. La première fois elle s'était juste perdue mais sinon, si elle s'éloigne cela ne sera jamais trop loin de toi. Pourquoi partirait-elle, alors que sa vie est auprès du beau Emilio ? Elle veut juste un peu de liberté, c'est tout, me répondit-il, en remuant la pâte.

— Les femmes aiment bien faire les magasins sans leurs maris. Quand je vais faire les faire avec ma douce, elle se volatilise en deux secondes. Pourtant, je sais qu'elle est juste allée faire un tour dans un magasin, mais jamais très loin de moi, pour pas que je m'inquiète. C'est juste de la confiance. Et puis, Camilla a vécu un long moment sans toi ; elle doit se réhabituer petit à petit à t'avoir sur le dos, reprit Guiseppe, en m'offrant un sourire.

— M'avoir sur le dos ? Je vais vraiment finir par l'enrouler d'une corde et l'attacher à ma ceinture, tu sais.

— Un peu de liberté, Emilio. Regarde, ça fait déjà trois heures qu'elle est partie et au lieu d'être allé la chercher, tu es ici, entrain de manger mes gâtea...

— Trois heures ?! Mio Dio ! criais-je hors de moi, en me précipitant immédiatement hors de la pièce.

— De la liberté Emilio ! De la liberté ! entendis-je crier, avant que je ne referme la porte.

Je courrais dans les couloirs, inquiet et paniqué. J'arrivais enfin devant mon bureau, mais en l'ouvrant et en me précipitant, je venais de m'emmêler les pieds. Et donc, de m'écraser sur quelqu'un. Les bons réflexes étant encore présents, j'eu le temps de me rattraper et de ne pas écraser l'individu qui se trouvait devant moi.

— Je n'ai peut-être pas attrapé une insolation, mais je viens de risquer de perdre un bras, souffla une voix féminine, résonnant merveilleusement bien dans mes oreilles.

— Camilla ? dis-je, en baissant la tête.

Ses yeux noisettes me fixaient et elle avait aussi un petit sourire en coin.

— Je suis vivante. Certes, j'ai mis plus de temps que prévu, mais je suis là, dit-t-elle, en posant une main tiède sur ma joue.

Je me relevais immédiatement, en lui attrapant sa main afin de l'aider. Ne pouvant plus résister, je la pris dans mes bras, en déposant une multitude de baisers sur sa peau que j'aimais tant.

— Tu ne m'as pas suivi et j'en suis très heureuse, m'annonça-t-elle, en resserrant ses bras contre mon dos.

— Enfin... Même si cinq gardes me collaient, je suis très fière de toi ; tu es resté ici, sagement, avec Diego.

— Tu ne referas pas cela tous les jours, marmonnai-je, en posant mon front contre le sien.

— Bien-sûr que non, Emilio. Juste quelques fois par mois, j'aime me retrouver seule, flâner de boutiques en boutiques ou juste dehors. Respirer l'air frais et me balader. Tu comprends ?

— Je comprends... Alors je t'aménagerai un coin boutique dans les jardins, avec un coin balade et également...

Camilla me coupa la parole, en déposant soudainement ses lèvres contre les miennes.

— Je suis fière de toi. Merci.

— Maintenant je ne te lâche plus, renchéris-je, en la serrant davantage contre mon corps.

— Je le sais... ricana-t-elle, en me souriant encore une fois.

— Mais sache Emilio, que jamais je ne me serai enfui... Si jamais un jour je ne reviens pas pendant plus de trois heures, c'est juste que je me serai perdue. Mon sens de l'orientation n'est pas très bon et tu le sais.

— Dix gardes te suivront désormais, répliquai-je, en embrassant son front.

— Six, prononça-t-elle tout bas.

— Neuf, renchéris-je, toujours aussi sérieux.

— Sept. C'est mon dernier mot, dit-t-elle, en me faisant les yeux doux.

Je grognais une phrase inaudible, en embrassant durement sa joue.

— Va pour huit alors.

— J'avais dit sept !

— Désolé. J'ai des problèmes d'auditions. C'est d'accord pour neuf, alors, continuai-je, en caressant ses cheveux.

Elle leva les yeux au ciel, avant de se diriger vers mon bureau. Elle fouilla dans l'un de ses sacs, puis se rapprocha de moi.

— C'est un cadeau, dit-elle d'une toute petite voix, les joues légèrement rouges.

Je fronçais les sourcils, mais m'empressais tout de même de l'ouvrir. Mon cœur manqua un battement en voyant ce qu'il était inscrit sur la tasse.

— Meilleur papa du monde. C'est vrai... ? demandai-je, en la fixant.

— Evidemment. Diego ne cesse de le dire dans le bain. Les enfants disent toujours la vérité.

— Dans le bain ?! Il a déjà prononcé le mot papa ?! criai-je, en la faisant sursauter.

— Eh bien oui, répondit-elle, en se mordant la lèvre inférieure.

Je reposais en vitesse la tasse, pris Camilla sur mes épaules, sous ses cris aigües, avant de courir en direction de notre chambre.

— Allons prendre un bain en famille, alors ! m'exclamai-je dans les couloirs, sous les merveilleux rires de ma femme.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro