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Chapitre 20

PDV Emilio

Quelques heures plus tard.

    La porte désormais ouverte, mes pas se ralentissaient. Me trouvant enfin devant le lit qui prônait dans la grande pièce, mon cœur se gonfla de joie en les voyant endormis l'un contre l'autre. Je contournais le lit, en me glissant par la suite à leurs côtés. Mon corps était irrésistiblement attiré par celui de Camilla et mon côté protecteur voulait que je me trouve près deux.

    En un mouvement je glissais mon corps et enfin, je respirais de bonheur. Mes jambes touchaient désormais celle de Camilla, et ma main venait caresser la joue de Diego. Mon adorable fils. Je les observais, un sourire aux lèvres. Puis soudainement, Camilla s'avança vers moi, Diego dans les bras, pour qu'à la fin, ils soient pressés contre mon torse.

    Mon sourire venait de s'agrandir en une fraction de secondes. Camilla se pencha vers mon visage et ses lèvres venaient de frôler mon cou.

    Le silence qui régnait dans cette pièce venait d'être lamentablement brisé par mes battements de cœurs, qui étaient beaucoup plus puissants, rapides, que la normal. Je resserrais ma prise autour d'eux, en déposant un baiser sur chacun de leurs fronts. Ils se sont remuaient en même temps, un petit sourire venait étirer leurs lèvres.

Telle mère, tel fils...

    Je continuais de les regarder et m'aperçu aussitôt que Diego tenait encore une mèche de cheveux dans sa petite main. Il a vraiment une addiction avec cela... Je ne peux m'empêcher de trouver cela adorable. Je déposais un nouveau baiser sur le front de Diego, ne pouvant résister à cette bouille.

    Avoir des enfants était un projet lointain, pour moi. Il s'était même évincé avec tout le travail qui m'avait accablé, ruinant tout mon temps. Mais dès que je les avais vu, tous ce que j'avais dit ou pensé avant, n'étaient que des regrets. Avoir un enfant est un cadeau du ciel et jamais je ne remercierais assez Camilla pour ce qu'elle m'a donnée.

    Ils sont venu combler ma vie et je ne vois et ne verrai plus jamais mon avenir sans eux. Ils sont tout pour moi et même si je n'ai pas assisté à ses premiers moments, je me promets de me rattraper et de leur donner tout mon amour que je n'ai pu leur offrir avant.

    Je me rattraperai et je ferai tout pour que nous formions une vraie famille unie, remplie d'amour.

**

— Deux minutes, soufflai-je, en sentant quelque chose de doux me toucher la joue.

    Une autre chose venait frôler mon front ; je dû me résigner à ouvrir les yeux. Mais finalement je ne regrettais rien en voyant ceux qui m'étaient le plus important devant moi. Me fixer.

De grand yeux bleus.
De jolis yeux noisettes.

— Tu m'as embrassé sur le front ? demandai-je en vitesse, heureux.

— C'était Diego, répondit-elle, en secouant la tête.

   Le petit lionceau était en ce moment même, entrain de s'amuser avec les boutons de ma chemise, visiblement très concentré sur sa tâche.

— Il a besoin d'aide, Camilla. Aide le, voyons, ricanai-je, en voyant déjà ses joues prendre une nouvelle couleur.

—  Diego, demande à ta maman de t'aider si tu veux, repris-je, en caressant sa tête.

— Arrête Emilio...

    Je souriais, fier de la déstabiliser autant.

— Ça fait déjà trente minutes que je t'attends, Emilio. Pourrais-tu enlever ton bras ? me demanda-t-elle, en me fixant.

    Effectivement. Je n'avais pas lâché ma pression autour de leurs deux corps. Mais mon sourire s'éclairait encore plus, quand cette phrase venait résonner dans mes oreilles.

« Ça fait déjà trente minutes que je t'attends, Emilio. »

— Tu m'as observé pendant trente minutes ? questionnai-je, en haussant un sourcil.

— Je... je n'allais pas te déranger alors que tu avais l'air de bien dormir.

    Je retirais mon bras de sa taille, libérant par la même occasion Diego, avant de me placer au dessus d'elle. Rapidement, je venais poser mes lèvres au coin de sa bouche, en remontant petit à petit jusqu'à son oreille. De longs frissons venaient parcourir sa peau et cela me faisait plaisir en voyant l'effet que je lui procurais.

— Ce soir nous dînerons ensembles. Je ne peux plus attendre. J'ai besoin de l'entendre, murmurai-je contre son cou, en essayant de contrôler un maximum ma respiration.

    Son corps s'était légèrement raidit et je savais pertinemment que son cerveau était en ce moment même entrain de se poser mille et une question. Pourtant il faut que nous arrêtions ce jeu ; il faut qu'elle m'avoue cette vérité. Elle pense que je ne sais rien et pourtant... Malheureusement je sais tout et je compte bien ce soir entendre la vérité sortir de sa bouche.

Elle doit enfin me l'avouer.

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