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Bonus 1

PDV Camilla

— Diego, arrête de courir dans tous les sens, mon ange ! m'exclamai-je, en le voyant arrêter sa course contre les papillons bleus.

— Si mama ! Oui maman ! me répondit-il tout souriant, en manquant de trébucher.

    Heureusement pour moi, Emilio apparut au bon moment en attrapant d'un mouvement notre fils.

— Arrête de faire peur à ta maman, lionceau, ricana  Emilio, en déposant un long baiser sur sa tempe.

    Il marchait en ma direction, d'une démarche gracieuse, un grand sourire marquant son merveilleux visage. Il déposa Diego dans le bac à sable, avant de m'embrasser amoureusement. Il prit ensuite chacune de nos filles dans ses bras, en murmurant quelques mots affectueux dans sa langue si jolie.

— Chaque jour vous devenez de plus en plus belles, mes princesses. Et ne parlons point du petit lionceau qui a déjà brisé tous les cœurs des filles.

    Je replaçais le chapeau de Sofia sur sa tête, pendant que Diego s'amusait à voler la pelle de son autre sœur, Alessia.

    Emilio laissa échapper un rire, admirant la scène de jalousie de nos trois enfants, qui comme à leur habitude, commençaient à se chamailler. Je donnais une nouvelle pelle à Diego, qu'il donna aussitôt à sa sœur, tout souriant. Tout le monde étant désormais content et heureux, le sable pouvait de nouveau voler dans tous les sens.

    Et ce qui était drôle, c'est quand Emilio s'en prenait beaucoup sur son nouveau costume. Je rigolais à mon tour, en laissant faire mes trois amours.

— Mes princesses et mon fils, arrêtez je vous en prie... annonça Emilio, en s'abaissant à leurs niveaux.

    Diego marcha jusqu'à son père, suivi de nos deux petites merveilles, âgées de deux ans. Un câlin collectif s'en suivait et une larme menaçait de dévaler ma joue, toujours autant heureuse de voir cela. Ils sont tellement complices, tous les quatre.

— Viens ici, mon amour, reprit Emilio, en m'attrapant par le bras.

— Comment se sont passés tes réunions ? demandai-je, pendant qu'il nous relâchait tout doucement.

— Vous m'avez manqué. Deux jours c'est bien trop long sans vous tous, me répondit-il, en m'embrassant la joue.

— Et toi donc. Tout le monde ne cessait de réclamer ta présence et j'entendais le mot papa se répéter au moins trente fois par jours.

     Un immense sourire venait étirer ses lèvres, fier et très heureux, d'entendre cela. Car oui... Nos princesses avaient prononcé le mot papa avant le mot maman... Cela avait été un grand moment de fierté pour Emilio. Voir ses larmes menacer de couler, m'avait rendu très heureuse. Et après tout, Diego avait prononcé mon nom en premier.

— Et est-ce que j'ai manqué à ma femme adorée que j'aime le plus au monde ?

— Beaucoup trop, comme à chaque fois. Le lit était froid.

    Une dangereuse lueur venait animer ses iris bleus ; d'ailleurs, je ne la connaissais que trop bien : le désir.

— Je compte bien le réchauffer ce soir... Tu n'auras plus besoin d'une seule et petite couverture, je te le garantie... murmura-t-il contre mon visage, avant d'écraser ses lèvres contre les miennes.

    Je souriais, pendant qu'une de ses mains venait se perdre dans mon dos.

—  Ti amo... reprit-t-il, avant de replonger sur mes lèvres.

— Moi aussi Emilio, continuai-je entre deux baisers.

    Notre petit moment de complicité fut vite coupé quand trois paires de yeux bleus, tous identiques, nous fixaient.

— Papa n'a pas le droit de profiter de maman ? demanda Emilio, en haussant un sourcil.

    Mes trois petits monstres se mirent tous à rigoler, en tapant joyeusement des pieds pour les filles. Diego continuait encore de s'amuser avec sa pelle rouge, en éclaboussant Emilio de plusieurs grains de sable.

— Vous êtes adorables mes amours, rigolai-je, en me dégageant de l'étreinte d'Emilio.

    Emilio attrapa ensuite nos deux princesses dans ses bras, toujours dans une protection sans faille. Je pris aussitôt Diego dans mes bras, secouant un peu le sable qui s'était incrusté dans ses habits. Nous prenions ensuite le chemin du palais, le quatre heure arrivant à grands pas pour nos merveilleux enfants.

**

— J'adore plus que tout nos petits montres, mais j'aime aussi me retrouver avec toi, rien que tous les deux, déclara Emilio dans mon oreille, en venant doucement la mordre.

     Je lui souriais, mes joues prenant tout de même une couleur légèrement rouge. J'embrassais son menton, en acquiesçant pour les propos qu'il venait d'énoncer.

— C'est vrai qu'ils prennent pas mal de notre temps... mais je ne le regrette en aucun cas.

— Pareil pour moi, chérie, renchérit-il contre mon front, en faisant remonter ma nuisette blanche.

    Malheureusement pour nous, les trois baby phones venaient de sonner au même moment. Emilio poussa un long râle, en m'embrassant rapidement. Je rigolais, en commençant aussitôt à me lever, comme lui le faisait.

— Je ramène les deux princesses et tu t'occupes de Diego ? me demanda-t-il, en enfilant un bas de pyjama.

— Oui, c'est bon, répondis-je toute souriante, en me dirigeant déjà vers la chambre de mes merveilles.

    Quelques minutes plus tard, nous nous retrouvions donc tous les cinq allongés dans l'immense lit. Entre nos deux corps, se trouvaient nos trois enfants, leurs petits yeux se fermant petit à petit. C'est sûr... Quand ils passent certaines nuits avec leurs parents, ces enfants ont le don de s'endormir très rapidement.

    Emilio avait posé un bras protecteur sur leurs trois corps, sa main venant à peine effleurer ma peau. Il me fixait, silencieux. Seul un sourire venait étirer ses lèvres et ses yeux reflétaient tout l'amour qu'il nous portait.

À nous quatre.

— Demain je ressayerai, murmura-t-il, déterminé et sûr de lui.

— J'ai hâte de voir cela, alors, avouai-je, souriante.

— Ne tente pas le loup, Camilla.

– Il m'a déjà attrapé depuis un long moment.

    Emilio parut amusé de ma réponse ; il se pencha plus vers moi.

— Passe une agréable nuit, ma chérie, me susurra-t-il en m'embrassant.

— Toi aussi, Emilio. Nos enfants nous tiendrons bien chaud cette nuit, continuai-je, sous son regard protecteur.

— Oh ça oui... Mais jamais je ne pourrai me lasser de cela, m'avoua-t-il, un sourire en coin.

— Pareil...

— Je t'aime, renchérît l'homme de ma vie, en faisant de légers cercles sur mon bras.

**




( Petit chapitre bonus, qui j'espère vous plaira ! 🥰)

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