Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Épilogue

PDV Elena

— Il faudrait peut-être penser à t'arrêter de manger, tu ne crois pas amore ? me souffla Demetrio contre mon oreille, un long frisson venant s'amuser à courir ma peau.

— J'ai faim. Le bébé a faim. Tout le mode a faim. Il est donc normal que je mange ce gâteau à la framboise.

    Soudainement, son regard bleu se changea en un regard plus désireux, plus intense. J'haussai un sourcil, perdue, avant qu'il ne bloque ses mains sur mes joues et que sa langue ne vienne lécher mes lèvres.

Encore.

— Mais arrête... dis-je tout bas, en appuyant mes mains contre son torse.

— C'est toi qui me cherche, gattino, dit-t-il contre mon visage, en déposant par la suite un long baiser sur ma joue.

   Je lui tirai la langue, puis continuais de manger mon gâteau. Bien entendu, Demetrio s'installa en face de moi, posa son ordinateur sur la table, en gardant comme toujours un œil plus que protecteur sur moi. Depuis que j'avais atteint mes huit mois de grossesse, on pouvait dire que Demetrio était littéralement devenu un bout de colle bien gluant, qui ne cessait de me suivre partout. Comme un chewing-gum sous la chaussure, quoi. Au début de ma grossesse, il était déjà très présent, mais désormais, c'était littéralement devenu une sangsue.

    Quand je vais au toilette, il reste derrière la porte, à m'attendre bien sagement. Quand je vais prendre mon bain, il est évidement là ; également quand je me déplace dans tout le château. Il ressemble vraiment à Crispy, ceci dit. Et d'ailleurs, mon bébé a bien grandi. Et je peux dire que leur relation n'a cessé de grandir... Ils s'aiment, ça se voit. Ils sont trop mignons.

— Pourquoi tu souris bizarrement, Elena ? intervint soudainement une voix grave, alors que je relevais les yeux de mon assiette.

— Tu n'es pas avec ton gros toutou d'amour, Demetrio ?

— C'est ton chien, pas le mien.

— C'est qui le gros toutou à son Demetrio, c'est qui ? Mais c'est Crispy ! Bon chien va ! m'exclamai-je aussitôt, alors qu'il soupirait.

    Ce que je venais de dire n'était pas sorti de moi. En effet, hier je m'étais cachée derrière un mur, Demetrio croyant que j'étais encore au toilette. Et évidement, Crispy était arrivé à ce moment-là. Demetrio avait bien prononcé ces phrases, et oui. Mais bien entendu, monsieur ne voulait pas avoué qu'il l'avait réellement dit. Il niait et disait que j'entendais des voix dans ma tête.

— Arrête d'inventer. Je n'aurai jamais osé dire cela à un chien, répliqua Demetrio, en levant les yeux au ciel.

— Menteur.

    Il soupira, mais n'avouait toujours pas ses dires qu'il avait prononcé hier. Soudainement, il se leva de sa chaise, s'avança jusqu'à moi, puis entoura ma taille de ses bras. Avec mon joli ventre, c'est un peu plus dur, mais néanmoins nous y arrivions encore. Demetrio et moi avions fait le choix de ne pas savoir le sexe de l'enfant ; nous nous réservions la surprise, même si ses frères étaient un peu ronchons de ne pas savoir le sexe de leur futur neveu, nièce. Pourtant, Camilla et Flora elles, me soutenaient, et avaient bien fait les remontrances à leurs maris.

— Tu veux aller te coucher ? Il est déjà tard, me chuchota Demetrio, en faisant de douces caresses sur mon ventre arrondi.

— Oui, soufflai-je contre son épaule, épuisée de cette journée.

   Demetrio déposa un baiser sur mon front, avant de soudainement me porter dans ses bras. Oui, il arrive encore à le faire, malgré cet énorme ventre. Je souris contre son torse, très contente de recevoir autant de gestes d'affections de sa part. Plus tard, nous arrivions dans notre chambre, mon adorable et gros toutou se trouvant déjà allongé sur le lit.

— Il a une chambre et il se trouve encore ici, râla Demetrio, en me posant près de mon grand bébé.

— Ces deux maîtres adorés sont ici, normal qu'il soit là, répliquai-je, en laissant balader une main dans son pelage gris.

   Crispy s'amusa aussitôt à secouer sa tête de droite à gauche, en sortant sa langue.

— Mon gros toutou est le plus beau, n'est-ce pas ?

   Demetrio commença à déboutonner sa chemise, à la retirer, puis à enfiler son bas de pyjama. Il attrapa ensuite un de ses t-shirts, se rapprocha de moi puis m'intima du regard à lever les bras en l'air. Oui, il fait tout, je peux vous le garantir. Je fis donc ce qu'il me demandait, puis il retira tout doucement mon haut à manche longue. Son sourire illumina son visage, avant qu'il ne s'abaisse légèrement.

— Buongiorno mio figlio, bonjour mon fils, souffla-t-il contre mon ventre, avant de déposer un long baiser sur ma peau.

    Oui. Demetrio s'était mis en tête depuis le deuxième mois de grossesse, que ce bébé serait un garçon. Moi je parie que ce sera une magnifique petite fille qui me ressemblera énormément. Quoiqu'il en soit, les paris sont lancés.

   Demetrio s'amusa ensuite à frotter son nez contre mon ventre, alors que je souriais niaisement. Ma petite guimauve est tellement mignonne, oh la la... Il remonta ensuite ses lèvres sur ma peau, en déposant une série de baisers chauds. Il finit le dernier sur mes lèvres, amoureusement, en me laissant totalement apprécier son élan d'amour. Il dégrafa quelques secondes après, le dernier rempart qui cachait mon buste, puis attrapa son t-shirt blanc et le fit passer au dessus de mes bras.

   Il retira plus tard mon jogging, puis me fit enfiler mon bas de pyjama noir. Je le remerciai en le tirant par son t-shirt et en écrasant mes lèvres contre les siennes. Je le sentais sourire contre scelle-ci. Demetrio me fit entièrement allonger dans le lit, en plaçant correctement les coussins derrière ma tête. Il fit une caresse discrète à mon Crispy d'amour, puis se glissa sous les draps. Il colla son torse contre mon dos, en enfermant mon ventre de ses mains protectrices.

— J'ai hâte de voir notre garçon.

— Oui, notre petite fille sera merveilleuse, répliquai-je, en déposant mes mains sur les siennes.

— J'espère que notre garçon héritera de mes yeux et pour le reste, tout de toi.

Non mais celui-là...

— Notre petite-fille sera très belle, ne t'en fais pas.

— Repose toi, amore, souffla contre ma nuque, ayant sûrement compris que je commençais déjà à m'endormir.

— Merci pour tout, murmurai-je, en caressant sa main avec mon pouce.

— Merci à toi de porter notre enfant, mon plus beau cadeau, me chuchota-t-il, en déposant un doux baiser sur ma peau.

— Je t'aime, avouai-je tout bas, subitement émue.

— Moi aussi, Elena...

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro