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Chapitre 30

    Adossée contre une étagère, mon regard ne voulait plus quitter cette fameuse carrure, très imposante. Je le détaillais, un sourire en coin, en voyant son petit air agacé gagner mses traits du visage. Il prit une laisse en main et aussitôt, la reposa pour une autre. En attendant, Crispy lui tournait autour, en aboyant joyeusement. Demetrio le poussa doucement, avec son pied, mais cela ne fit qu'attisait l'amusement de mon adorable chiot.

— Tu préférés quel couleur ? demanda-t-il finalement, en lui montrant de la tête deux laisses de couleurs différentes.

   MisterCrispy l'observa, avant d'aboyer de plus en plus fort.

Trop mignon.

— Arrête d'aboyer, canidé. Je vais finir par acheter tout le magasin et cela sera enfin réglé, poursuivi immédiatement Demetrio, en s'avançant vers moi.

   Je lui donnai mon plus beau sourire, comme j'adorais le faire, en prenant directement Crispy dans mes bras.

— Comment se passe tes petits achats ?

— Cela m'irrite. Peux-tu m'aider ? dit-t-il, totalement exaspéré.

— Monsieur qui contrôle tout et ne dicte que des ordres, n'arrive à choisir quelques accessoires pour chien ?

— Ne me cherche pas, Elena, marmonna-t-il.

    Pas la moindre apeurée, je continuais encore de lui octroyer un sourire.

— Je vais t'aider, dis-je, en lui redonnant Crispy dans les bras.

   Quelques minutes plus tard, je choisissais tous les accessoires, en prenant un très grand plaisir à le faire.

— Prend ce panier, il est plus grand, me murmura Demetrio à l'oreille, en collant soudainement son torse contre mon dos.

   Un long frisson, exquis, parcourut ma peau, pendant que je souriais niaisement.

— Tu vois, tu t'intéresse à ce chiot.

— Je le fais uniquement dans le but que tu sois contente, et que tu me pardonnes totalement, reprit-il, en déposant un baiser, bien trop brûlant sur ma peau.

— Prenons ce panier, alors.

    Après avoir tourné dans tout le magasin, sous les légers grognements de Demetrio, nous avions enfin tout le nécessaire qui conviendrait parfaitement à l'épanouissement de mon chiot adoré. Nous arrivions vers la caisse, mon sourire ne s'étant toujours pas départi. Mais, à peine avais-je posée mes courses sur le tapis, qu'une femme sauta dans les bras de Demetrio.

Dans les bras de Demetrio.
Dans les bras de...
Dans les b...

Elle veut quoi celle-là ?

— Calme toi, Maria, dit directement Demetrio, un sourire en coin.

Un sourire en coin.
Hum.

   La jeune femme déposa ses lèvres sur chacune de ses joues, avant qu'elle ne le libère enfin de ses bras. Je regardais la scène et une étrange jalousie montait en moi. Les deux échangèrent certaines paroles en italien, avant de se retourner vers moi.

— Elena, je te présente Maria, déclara aussitôt Demetrio, avant que la jolie blonde ne me serre la main.

— Vous êtes de sa famille ? demandai-je, un faux sourire aux lèvres.

   Un sourire hideux se joua sur ses lèvres roses, pendant qu'elle battit des cils. Ses yeux acajou me fixaient avec ardeur, tel un serpent sur sa proie.

Je ne la sens pas.

— Non, pas du tout. Je suis la seule femme jusqu'à ce jour, qu'il ait embrassé, me répondit-elle de but en blanc.

   Mon visage se décomposa automatiquement et je dû me faire violence, pour ne rien laisser paraître. Mon cœur commença à tambouriner fort dans ma poitrine, tandis que je fixais Demetrio. Le visage neutre, n'affichant aucune émotion ; lui aussi me regardait.

— Effectivement. Elle est la seule femme à ce jour, qui a eu le droit de goûter mes lèvres, déclara soudainement Demetrio.

   Une étrange tristesse se mêla à ma colère. Demetrio venait de prononcer ses paroles pour me piquée, je le sais.

— Ça fait très longtemps que nous ne nous sommes pas revus, . Je t'ai aperçu dans les magazines, à la télévision, mais je ne t'avais jamais revu depuis déjà cinq ans !

— Cela fait très longtemps, il est vrai. Tu n'as pas changé, Maria, reprit Demetrio, en déposant un baiser sur sa tempe.

Mon cœur se serra violemment en voyant ce geste qui venait de lui octroyer.

    Ils reprenaient leur conversation, en italien, comme si je n'existais pas. Ils m'oubliaient. Je venais de disparaître, lamentablement. Une colère monstre montait en moi, pendant que la tristesse me noua violemment le cœur. Je déposais Crispy à terre, et terminai en vitesse de mettre les dernières courses sur le tapis. Plus tard j'attrapai les deux sacs, en sifflant pour que mon chiot d'amour me suive. Arrivée dehors, je me dirigeai vers la voiture et déjà, j'entendis la voix grave de Demetrio résonner au loin. Je me retournais et mon cœur loupa un joli battement, en le voyant s'avancer, Maria fermement collée contre son torse.

— Maria nous fait l'honneur de manger avec nous, ce soir, déclara-t-il à mon plus bonheur.

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