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Chapitre 26

— Le chiot aboie une seule fois, fait quelque chose de déplacé et il vire dehors.

— Il fait ce qu'il veut. Il est majeur et vacciné, répliquai-je sèchement, en le bousculant.

    Je passai devant lui puis commençais à monter les marches, le ventre gargouillant légèrement. Demetrio m'emboita le pas et pour me montrer sa colère, il accéléra la cadence et me dépassa de quatre marches d'escaliers.

Il se croit malin, en plus...

— Imbécile, marmonnai-je, en serrant contre moi mon adorable chiot.

— Essaye de limiter les bêtises, Crispy, lui soufflai-je, en atteignant finalement la dernier marche d'escalier.

    Demetrio ne m'avait même pas attendu, et je pouvais déjà le voir discuter avec quelques hommes, tous habillés en costard. Je soufflai d'exaspération, en détestant particulièrement ce trait de caractère : la colère. Je le rejoignis, en essayant de paraître un maximum éveillée. Arrivée à leur niveau, tous me saluèrent poliment, pendant que Demetrio leur murmurait des paroles en italien. Je leur octroyai un léger sourire, en les suivant par la suite, afin de rentrer dans une nouvelle salle. Chacun prit place sur une chaise, et je suivis aussitôt le mouvement. Je déposai Crispy et il s'empressa de tourner dans toute la salle, sous les regards noirs de Demetrio.

   J'haussai les épaules, avant de prendre le petit calepin qui se trouvait devant moi. Demetrio analysa chacun de mes gestes, puis commença son discours. À peine avait-il prononcé quatre mots, que je bâillais automatiquement. Il fronça davantage les sourcils, en croyant sûrement que je n'étais guère intéressée par ses propos.

Même si c'était le début, je trouvais quand même cela intéressant, mais n'ayant dormi durant cette nuit, j'étais trop fatiguée pour arriver à tout suivre. Je luttais contre mes paupières qui voulaient se fermer à tout prix, pendant que Crispy se coucha à mes pieds. Demetrio continua dans sa lancée, certains hommes venant étayer ses propos.

    Je bâillais une nouvelle fois, en entendant mon ventre gargouiller. Inutile de vous expliquer que ce cher Demetrio l'avait entendu, bien évidemment. Il me fixait, pendant qu'il parlait, ses yeux s'assombrissant légèrement. Je commençai à prendre quelques notes, mais j'abandonnai aussitôt, en commençant à sentir mes yeux se fermer lourdement.

— Et comme je le disais, LE POURCENTAGE DOIT ÊTRE COMBINÉ AVEC CES DEUX FACTEURS.

    Il avait crié cette phrase tellement forte, que je sursautai d'un coup, et que mon stylo tomba à terre. Je le ramassai rapidement, en le défiant du regard.

— Mademoiselle, je vous prie de suivre. Cela est un travail très sérieux, déclara Demetrio.

— Si je ne vous conviens pas, trouvez-vous quelqu'un d'autre, répliquai-je froidement, en serrant mon stylo entre mes doigts.

    MisterCrispy commença à s'agiter, en aboiement fortement. Demetrio s'approcha de lui, le prit dans ses bras, avant d'ouvrir la porte et de le déposer de l'autre côté. Il l'a referma ensuite, puis reprit sa place initiale. Je me levai soudainement, avant de lui balancer rageusement le calepin en plein sur son visage d'ange. Le stylo ayant aussi suivi le cahier, bien entendu.

— Tu laisses MisterCrispy tranquille ! m'exclamai-je, en me retournant et en partant immédiatement de la salle.

    Mon adorable chiot se trouvait encore devant la porte, en remuant frénétiquement la tête. Je le pris dans mes bras, en lui chuchotant de douces paroles. Je descendis ensuite les escaliers et directement, une nouvelle porte claqua. J'accélérai le pas, en entendant déjà ses chaussures claquer contre le sol. Arrivée en bas, je n'eus le temps de faire trois pas de plus, que monsieur m'attrapa par le bras.

— Nous n'avions pas fini ! s'exclama-t-il de sa voix grave.

— Bon sang mais lâche-moi !

   Demetrio me lâcha finalement et j'en profitai pour reprendre ma course, MisterCrispy toujours blotti contre moi. J'arrivai dans une nouvelle salle et directement, je me posai sur un fauteuil.

— Nous devons retourner là-haut, reprit-il, m'ayant bien évidement suivi comme mon ombre.

— Laisse-moi me reposer, je ne suis pas d'humeur ce matin, soufflai-je en me massant la tempe, la douleur me gagnant de plus en plus.

— Tu n'es pas la seule, je te signale.

— Arrête de crier, je t'en prie, murmurai-je tout bas, à bout.

— Que se passe-t-il ? Tu as mal quelque part ? me demanda-il, en s'agenouillant en moins de deux à mon niveau.

— Je suis fatiguée. J'ai mal à la tête. J'ai mal au ventre. Laisse moi.

   Quelques secondes s'écoulant, une main chaude venait se poser sur ma joue qui était étrangement devenue froide. Son pouce me caressa la peau, pendant que son odeur se faisait de plus en plus forte autour de moi.

— Veux-tu que j'appelle un médecin ? chuchota-t-il, ce qui me fit réouvrir les yeux.

    Je serrai Crispy dans mes bras, en le fixant. Lui aussi me fixait, de l'inquiétude venant à présent courir ses iris bleus.

— Non. Je dois juste manger et me reposer.

— Tu n'as pas déjeuné ? demanda-t-il, rapidement, en élevant la voix.

Ah qui la faute...

— J'aurai bien voulu, mais un homme fort aimable m'en a complètement empêché ce matin.

   Je déposai Crispy au sol, avant de me lever. Hélas pour moi, un violent tournis pris. J'essayais de m'accrocher à quelque chose et j'eus juste le temps de tenir le bras musclé de Demetrio, que je vomissais déjà.

Sur ses chaussures.


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( Encore merci pour tous ses vus, votre, commentaires sur tous mes livres ! C'est incroyable ! Bonne lecture !) 😊♥️

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