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Chapitre 24

    Arrivés à l'accueil de l'hôtel, je partis immédiatement régler des dernière affaires, avant de retourner dans le hall. Mais je fus fort étonné de ne pas y trouver Elena.

— Une femme aux cheveux violets est-elle passée ici ? demandai-je à un homme, en commençant à sérieusement m'inquiéter.

— Non, désolé monsieur, répondit-il, en secouant légèrement la tête.

    Elle était à mes côtés, cinq petites minutes avant. Cinq pauvres minutes. Je l'ai devancé, certes, mais elle devrait quand même être arrivée depuis le temps. Je sais que l'accueil de cet hôtel est grand, mais elle devrait déjà se trouver ici. Je poussai un grognement inaudible, avant de me retourner en vitesse et de partir à sa recherche.

— Lancez les recherches, immédiatement, grondai-je à mes gardes, en me dirigeant vers la sortie.

    Désormais entrain de courir, je ne cessais de crier son nom, l'inquiétude m'ayant complètement envahie. Elle était juste derrière moi, à quelques centimètres, bon sang ! L'hôtel était juste en face de nous !

— Elena !

    Une peur monstrueuse venait de se loger dans mon corps, me faisant perdre tous mes moyens. Soudain, un aboiement de chien ainsi que des voix féminines se firent entendre. J'accourais sans délai dans cette direction, le souffle court. J'arrivai plus tard dans une nouvelle ruelle et au loin, des cheveux violets dansaient dans l'air. Je me rapprochais de plus en plus, avant de voir...

Elena, assise sur un banc, avec un chiot dans ses bras.

— Mio Dio, soufflai-je, en passant une main nerveuse sur mon visage.

—Ah te revoilà ! Figure-toi que j'ai...

    Je la coupai directement dans son semblant de discours, en l'attrapant par la taille et en faisant coller mes lèvres aux siennes. Tout mon corps s'embrasa en une fraction de secondes, pendant que mes battements de cœur devenaient de plus en plus irréguliers.

Enfin...

    Je remuai mes lèvres contre les siennes, les épousant parfaitement, avant de glisser une main derrière sa nuque qui me paraissait si fragile. Elena poussa un léger gémissement, en me faisant perdre toute notion du temps, de raison. Haletant, le cœur battant, je stoppai notre baiser, avant de poser mon front contre le sien.

—Ne me refais plus jamais cela, Elena, soufflai-je.

   Ses yeux hazels pétillaient d'une étrange lueur, pendant qu'elle acquiesça de la tête, les pommettes devenues rouges.

— Désolée... J'ai entendu des aboiements et... j'ai... j'ai trouvé ce petit chiot dans un carton, murmura-t-elle, en se reculant.

En se reculant ?

    Mon cœur ressenti comme une douleur, quant à ce soudain éloignement. Je la regardais attentivement, les battements de mon cœur n'ayant toujours pas ralentis... Elena s'approcha du chiot, avant de le prendre délicatement dans ses bras.

— Il est trop mignon, dit-t-elle, en le caressant.

    Une étrange colère me montait au nez. Nous venions d'échanger un baiser, un merveilleux baiser qui était très important pour moi, et ce qu'elle trouvait à dire n'était que cela ?

« Il est trop mignon. »

   Je n'ai embrassé que deux femmes dans ma vie et elles ne m'ont jamais dit cela, bon sang ! Je serrai mes poings, en essayant de réguler ma respiration, les yeux clos. J'attendais une autre réaction, réponse de sa part, mais à ce que je voyais, le chiot était le plus important en ce moment.

— Il faut qu'il prenne un bain, reprit-elle, en me faisant une petite grimace.

— On le laisse ici. Sa mère reviendra le chercher.

— Quoi ? Hors de question ! Je le ramène avec moi !

— Je te dis de le laisser ici. Il ne nous apportera que des problèmes et en plus, nous sommes en voyage d'affaire. Pas pour adopter un chiot trouvé dans la rue, et qui renâcle très fort.

— Je ne vais pas laisser ce pauvre bébé ici, alors qu'il n'a plus aucune famille ! C'est un pauvre chiot abandonné, qui n'a rien demandé, Demetrio ! Mince, tu n'as pas de cœur ou quoi ?

— Si. Crois-moi Elena, j'en ai bien un... murmurai-je, en fixant le chiot.

— Alors je le garde, que ça te plaise ou non ! Mince alors, ce chiot n'a rien demandé à personne, à part que quelqu'un lui sauve la vie ! Et ce quelqu'un sera moi, je te préviens ! continua-t-elle, en passant devant moi.

— C'est pas possible... grondai-je tout bas.

**

— Tu le laves et tu lui donnes à manger. Demain tu le donneras au premier venu, répétai-je pour la troisième fois, sérieusement.

   Elena était en ce moment même assis sur son lit, jouant affectueusement avec le chien. Un grand sourire ornait son magnifique visage, pendant que ses rires remplissaient la pièce. De la tristesse mélangée à de la colère venaient me tordre le cœur, pendant que je la fixais. Depuis cinq minutes, elle ne m'adressait pas la parole. Elle le faisait exprès et cela accentuait ma colère, ainsi que ma tristesse.

— Que ce soit clair, Demetrio, reprit-elle soudainement. Je ne donnerai ce chien à personne. Il va rester avec moi, que ça te chante ou non.

— Tu vis chez moi. Je suis le propriétaire et je n'accepterai jamais qu'un chien vienne dans ma demeure.

— Très bien alors. Quand nous rentrerons, je me chercherai un appartement à louer pour moi et mon chien. Tout cela est définitivement réglé, alors, continua-elle, en caressant le pelage du chien.

    Une violente colère s'empara de tout mon être. La tristesse s'accentua directement, me laissant un goût amer dans la bouche.

— Tu ne partiras pas de ma demeure, Elena ! m'exclamai-je, énervé, avant de partir hors de la chambre.

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