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Chapitre 12

Je tombai au sol en moins de deux, en rencontrant le sol dur et froid.

Outch...

— Elena ! Bon sang ! cria immédiatement une voix virile, me provoquant instantanément un horrible mal de tête.

Je me massais le front, en poussant de petits gémissements. C'est pas vrai, quoi... Ça fait super mal... J'entendis une porte claquer, puis une autre et encore une autre. En moins de deux, n'ayant eu le temps de dire alléluia, je venais d'être soulevée pour finir dans des bras chauds et à la fois humides.

— Je vais mourir... marmonnai-je.

Demetrio poussa des jurons en italien, puis mon corps rencontra enfin un matelas, très agréable au passage. Je me décidai finalement de rouvrir les yeux, et mon cœur loupa un battement en le voyant devant moi. Bien trop proche de mon corps, il ne portait qu'une serviette autour de sa taille. Son torse, bien musclé, était encore parsemé de gouttes d'eau qui glissaient en bas, toujours en dessous, très en dessous...

— Ta vision va très bien, c'est un très bon point, intervint Demetrio, un sourire narquois aux lèvres.

— Oui, c'est vrai... Il m'avait bien semblé te voir aussi hideux... dis-je faiblement, en referment les yeux.

— Je vais appeler le docteur ; ne bouge pas.

— Va donc et trouve ta destinée... soufflai-je, en levant doucement ma main et en l'agitant.

Je me massais encore le front, en essayant du mieux que je pouvais de ne pas perdre connaissance. Maintenant je déteste les parois de douche. Ça fait super mal. Mais bon, au moins j'ai pu admirer quelque chose, qui m'avait prouvé que ma vue était bel et bien au point... Quelques minutes plus tard la porte de la chambre se rouvrit, laissant apparaître Demetrio encore en serviette, et un autre homme beaucoup plus âgé.

— Je te la laisse trente secondes. Je reviens, annonça Demetrio, en tapotant amicalement l'épaule de son ami.

L'autre homme acquiesça de la tête, avant de s'approcher de moi.

— Alors nous avons voulu rentrer dans la tanière de l'ours ? me demanda-t-il d'un air amusé.

N'importe quoi...

— Je me suis prise une paroi de douche. Cela n'a rien avoir. Ce n'est pas de ma faute ; cet objet n'avait qu'à pas se trouver en travers de mon chemin.

— Je vois. Allons regarder, alors, reprit-il, visiblement enjoué.

Le docteur posa ses mains froides sur mon front. Il fronça légèrement les sourcils, avant qu'un sourire ne vienne élargir ses lèvres.

— C'est si grave que cela ? Je vais devoir me faire opérer ? Partir aux urgences ? Rester un mois dans un lit d'hôpital ?

Il rigola à ma remarque, encore amusé. Une nouvelle fois la porte claqua, laissant apparaître Demetrio, cette fois-ci vêtu.

— Alors ? s'empressa-t-il de demander.

— Une jolie bosse. De la pommade pendant une semaine. Pas de traumatisme crânien à l'horizon.

Demetrio poussa un soupir, avant de s'approcher de moi. Il me lança un regard noir que je lui rendis immédiatement en haussant les épaules. Après avoir échangé quelques paroles en italien, le médecin sortit de la chambre en m'adressant un petit signe chaleureux. Quant à Demetrio il se retourna rapidement, les bras croisés contre son torse bien trop musclé.

— Tu vas sagement rester ici et te reposer pour être en forme demain matin. Au revoir, dit-il gravement, avant de se retourner.

Ah non ! Le plan !

— Non ! Reste ici ! criai-je affolée, en lui sautant littéralement dessus.

Malgré ma douleur au front, je persistais à m'accrocher à son dos. J'entourai son cou de mes mains et sa taille de mes jambes.

— Elena, gronda-t-il.

Hors de question. Vengeance.

— Je ne compte pas me reposer seule. J'ai bien trop peur et les risques de me faire capturer par ton cousin fantôme sont beaucoup trop grands.

— Tu ne risques rien, arrête.

Je secouai la tête de droite à gauche, m'accrochant encore à ce charmant prince. Je l'entendis pousser un juron, puis il reprit place sur le lit. Position désormais changée, je me glissais contre son torse, en posant mes mains dessus. Je serrai mes jambes aux siennes et je pouvais enfin dire que l'air ne passait plus entre nos deux corps. Génial !

— Recule. Il fait trop chaud dans la pièce, marmonna Demetrio, les sourcils froncés.

— J'ai froid, moi, dit-je, en me pelotonnant davantage contre lui, souriante.

Je pris son bras gauche, puis le déposai tout naturellement sur ma taille. Je le sentis se crisper et cela ne fit que m'amuser davantage. Même si mon cœur battait vite, je l'avoue. Demetrio grommela des choses totalement incompréhensibles. Je cachais mon sourire et fermai les yeux, mon mal de tête étant encore bien présent.

Alala.
Quelle belle vie...




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( Merci pour tous vos commentaires : c'est adorable ! 😊)

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