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Chapitre 39

— Que se passe-t-il ma chérie ? Tu n'as même pas voulu toucher à ton sandwich et tu ne cesses de faire des ronds dans le sable...

— Papa... Je crois que c'est finalement arrivé. Réellement... avouai-je dans un chuchotement, avant de sentir ses doigts se crisper contre ma peau.

— De quoi parles-tu chérie ? intervint cette fois-ci mon papa aux yeux bleus, les sourcils froncés.

    Je décidai de me redresser sur ma serviette, en regardant leur visage qui étaient peignés par l'inquiétude.

— C'est arrivé comme ça et... et je ne m'en suis même pas rendue compte...

— Euh ma puce, tu veux dire que... murmura immédiatement mon premier papa, en tenant désormais mon visage entre ses mains.

— Mais... mais je croyais que cela était impossible ! Enfin, pas avec lui quoi ! Je suis vraiment trop stupide ! Je n'avais pas encore compris ! Vous comprenez, j'ai été trop lente !

— Tu es enceinte ?! hurlèrent-ils soudainement en même temps, dans des rugissements bestiaux.

— Quoi... ? Pardon... ? soufflai-je, totalement perdue.

— Je vais le tuer ce saligaud ! Il a en plus osé toucher notre fille ! Ne me retiens pas Auxence ! Je vais aller le chercher ! "

— Je ne te retiens pas, non mais ! Je viens avec toi, surtout ! Cet homme a vraiment tout fait à l'envers, ma parole ! Il te demande en fiançailles, il ose te toucher et en plus de cela, il ose te faire un enfant alors que nous nous étions jamais rencontrés avant ! Cet idiot de prince !

Oula. Oulala. Oulalala.

— Ah mais non ! Non non non ! On est fiancés mais cela s'arrête là ! Calmez vous enfin ! m'exclamai-je sans délai, en les voyant finalement arrêter d'hurler comme des sauvageons.

— Pardon ? Cela s'arrête vraiment là, alors ? Mais il est où notre petit-fils ? me demanda directement Auxence d'une voix perdue.

— Je ne parlais pas du tout de cela, papa... soupirai-je, en laissant tomber ma tête contre son épaule.

    Directement, mon père m'entoura de ses bras protecteurs.

— Tu nous as fait peur Athéna, ne nous refais plus jamais ça...

— Oui... Moi aussi j'arrive à me faire peur, tu sais... complétai-je, en sentant la main de Dareios se mêler dans ma chevelure.

— Dis nous ce qu'il se passe, Athéna. Tes papas n'aiment pas te voir comme ça...

— Je suis amoureuse d'Alexeï, avouai-je, ce qui provoqua un étrange silence.

    Je restais blottie contre mon père, en attendant patiemment que les hurlements et les déclenchements de guerres arrivent. Mais les secondes passaient, je n'entendais toujours rien.
Je décidai donc de me reculer, légèrement, pour regarder le visage de mes pères. Un regard doux et bienveillant. La colère et la rage ne les animaient pas, non, loin de là...

— Quand tu l'as quitté, au palais, nous avions bien vu dans ton regard tout l'amour que tu lui portais. Ton baiser était également une preuve évidente de tes sentiments. Tu l'aimes et nous le savions déjà... déclara soudainement mon papa Auxence, alors que mon second papa reposait une main sur mon épaule.

— Tu es aussi lente que ton père, ma fille... Tu sais qu'il lui avait fallu au moins un an pour se rendre compte de ses sentiments ?

    Oh oui... C'est vrai qu'ils avaient attendu énormément de temps pour se mettre ensemble. Les sentiments avaient mis longtemps à se mettre en place, surtout pour mon premier papa.

— Non mais vaut mieux tard que jamais, c'est bon... grommelai-je, en entendant quelques rires graves.

— Notre bébé jaguar a grandi tellement vite... souffla aussitôt Auxence, en me resserrant dans ses bras.

— Hum... Cependant, on ne cessera pas de te protéger, Athéna... marmonna mon second paternel, alors que je l'attrapais pour faire un câlin collectif rempli d'amour.

— Je vous aimes, chuchotai-je.

— J'espère que nous passerons pas après ce maudit prince. Nous sommes les premiers hommes dans ton cœur, tu sais, ajoutèrent soudainement mes paternels.

Ils l'acceptaient.

**

— Joyeux anniversaire ma princesse ! crièrent soudainement deux voix masculines.

    Je posai une main sur mon cœur, affolé, avant de recevoir un tas de confettis sur la tête et des rubans de couleurs bleus.

— Mon bebe a enfin vingt-quatre ans ! Elle grandit si vite ! Je suis tout émoustillé de cette journée féerique pour la plus belle des princesses ! s'exclama vivement mon papa Auxence, en se jetant sur mon lit.

   En moins de deux, il m'étreignit dans ses bras puissants.

— Le temps passe trop vite... me souffla-t-il à l'oreille.

    Je refermai mes bras derrière son dos, en posant ma tête contre son épaule.

— Mais je resterai toujours votre fille, vous savez... murmurai-je, en sentant par la suite d'autres bras nous rejoindre.

— Joyeux anniversaire ma princesse, me chuchota-t-il à l'oreille, d'une voix douce.

    Même si ce prince ne m'avait toujours pas recontacté, j'étais déjà conquise et heureuse d'avoir le bonheur d'être dans les bras de mes papas.

**

— Regarde le gâteau ! Regarde ! C'est Dareios qui l'a préparé pendant plus de quatre heures juste pour toi ! Regarde ma chérie !

    Je souris à mon paternel, avant de me diriger vers mon second et de le serrer dans mes bras. Je déposai un baiser sur sa joue, heureuse.

— Tu es vraiment le meilleur, merci beaucoup de m'avoir préparé cela, le remerciai-je, alors qu'il me plaquait soudainement contre son torse.

— Tellement grande... murmura-t-il, ce qui me fit sourire.

Oh trop mignon...

— Chéri, ne pleure pas ! Après nous allons tous pleurer et la fête sera gâchée ! s'exclama subitement mon autre papa, avant de me retirer rapidement des bras de Dareios.

    Celui-ci m'offrait d'ailleurs un sourire adorable, puis partit allumer les bougies. Je m'avançais vers le gâteau, en entendant déjà mes pères chanter la traditionnelle chanson d'anniversaire. Je m'apprêtai donc à souffler mes fameuse bougies, avant d'entendre un étrange bruit sourd. Je n'avais eu le temps de faire quoique soit, que déjà, je me sentis soulever dans les airs.

— Le manège a assez duré, je vous la reprends maintenant ! cria une voix grave et puisante à mon oreille.

Oh...

**

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