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Chapitre 35

— Alors... Tu m'as déjà croisé dans ce palais, il y a un peu plus de six mois. Ta superbe maman me l'a avoué, déclarai-je finalement, en me retournant pour le regarder.

Alexeï ne répondait rien et se contenta simplement de se pencher vers mon corps. Il posa un genou sur le lit, venant désormais m'emprisonner. Il plaça ses mains de chaque côté de mon visage, puis se rapprocha davantage de celui-ci.

— Oui. Je t'avais déjà vu, avant, c'est vrai, me chuchota-t-il, son souffle venant balayer avec légèreté quelques mèches de mes cheveux.

— Tu aurais pu me l'avouer.

— À quoi bon ? Après tout nous n'avions même pas échangés une seule parole ou un seul regard ce jour-là.

— En fait tu avais déjà prémédité ta mascarade, c'est ça ? demandai-je acerbe, alors que son visage se rapprochait beaucoup trop près du mien.

Ses lèvres vinrent désormais effleurer la peau de mon cou. Une vague de frissons caressa ma peau, faisant douloureusement accélérer mon cœur.

— Non. Bien sûr que non, me murmura-t-il contre ma peau devenue brûlante. Mais cela n'empêchait pas du tout le fait que je t'avais déjà trouvé avant, très attirante...

— Alexeï... Pousse toi, tu es lourd, soufflai-je, lasse.

Soudainement, ses lèvres vinrent de nouveau se presser contre mon cou. Je sentis mes gestes et mes réticences se perdre au rythme de mes battements incessants, Alexeï en profitant pour remonter tout doucement ce petit supplice. Il déposa quelques baisers doux, lents, chauds, sur mon cou, puis il s'arrêta à présent sur ma joue droite. Un long baiser s'en suivit. Je sentis cependant, une grande main aventureuse et très déplacée se glisser sous mon t-shirt.

Immédiatement, je repoussai le fameux Don Juan, qui évidement laissait déjà échapper un soupire. Je me dépêchai de me lever, en sentant malheureusement mon cœur s'emballer encore.

— Oh oh tout doux ! On se calme, Alexeï !

— Dommage... dit-il l'air boudeur, en se retournant ensuite.

— J'espère que tu vas respecter ta règle et dormir dans le canapé, n'est-ce pas ? demandai-je aussitôt, pendant que satan m'offrait déjà un sourire carnassier.

— Disons que mes plans ont quelques peu changé depuis...

— OK, alors on fait l'inverse. Je dors sur le canapé et toi sur le lit.

— Je ne laisserai jamais dormir une femme sur un canapé, voyons. Qui plus est, ma fiancée. Le lit est meilleur, renchérit-il, tandis que je posais mes fesses sur ce fameux canapé.

— Il m'a l'air très bien, c'est bon.

— Pas pour plusieurs nuits, non. Il est trop petit et tu risquerais d'avoir des maux de dos. Le lit est assez grand, ne t'en fais pas.

Alexeï se leva, puis s'avança à petits pas jusqu'à moi. Arrivé à mon niveau, il me tendit une de ses mains, nos regards se retrouvant une nouvelle fois.

— Je dormirai sur le canapé, c'est bon.

— Menteur. C'est écrit en gros sur ton front que tu mens, énonçai-je vivement, en donnant une petite tape sur sa main afin qu'il la range de nouveau dans sa poche.

— Je ferai mettre une pile de livres entre nous, si tu veux.

— Le menteur ! m'exclamai-je, en me levant de nouveau.

Je posai mon doigt sur son torse, ne me gênant pas pour le tapoter quelques secondes.

— C'est dangereux de dormir avec toi, j'en suis sûre et certaine.

– Tu as plutôt peur de briser tes barrière et tes règles, non ? De me succomber ? Tu sais, je serai très heureux de pouvoir bénéficier de quelqu'unes de tes caresses, ma déesse... me chuchota soudainement Alexeï d'un ton très enjôleur.

Directement je lui attrapai la joue et commençai à le lui la tirer, monsieur râlant désormais.

— Caresses de mes fesses, oui ! Tu rêves et tu m'énerves !

Je contournai ensuite Alexeï, mais bien entendu mon bras venait d'être rattrapé en moins de deux. Immédiatement, je sentis un torse se blottir contre mon dos et des bras m'entourer,

— Même si je t'énerve, tu me portes de l'intérêt. Et cela suffit à me rendre extrêmement heureux, sache-le.

— Hum... Evidement. Il faut bien te remettre sur le droit chemin, soupirai-je, en sentant ses mains appuyer un peu plus mon ventre.

Je recouvris ses mains des miennes, en essayant de les détacher, mais en vain. J'étais certaine que satan souriait derrière moi, et c'était donc tout naturellement qu'il reprenait la parole :

— C'est sûr que j'ai besoin d'une femme pour m'aider à me remettre dans le droit chemin... Et donc, que dirais-tu de faire cela pour le restant...

— Votre altesse ! Des hommes vous demandent et c'est urgent ! cria soudainement une voix masculine derrière la porte, les paroles de mon cher Alexeï se perdants entre ses lèvres.

Aussitôt il me lâcha, non sans échapper un juron. Il me lança un bref regard rempli de... bah je ne sais pas, avant de partir en direction des coups. Immédiatement, il ouvrit la porte d'un geste brusque.

— Que se passe-t-il pour que vous veniez déranger ma demande en mariage ! s'écria aussitôt Alexeï.

Blague de mauvais goût... Ce maudit prince...

— Ce... ce sont des mensonges, ! Ne l'écoutez pas voyons ! m'indignai-je.

— Vous gâchez toujours les meilleurs moments, ce n'est pas vrai ! pesta encore une fois Alexeï, alors que je m'avançais vers lui.

Immédiatement je l'attrapai par la joue, pour le faire reculer de la porte. Il gratifia mon geste par un joli regard noir, tandis que je revenais voir les gardes.

— Que se passe-t-il ? demandai-je en vitesse.

— Deux hommes souhaitent absolument rencontrer le Prince. Ils ne cessent de crier et de repousser les gardes... m'expliqua-t-il avec rapidité, en passant nerveusement une main derrière son cou.

Hum... Deux hommes qui demandent à voir le prince...

— Qui sont-ils ? demanda sans délai, Alexeï revenant déjà à mes côtés.

— Je ne sais pas... Ils ne font que crier qu'ils veulent vous voir votre altesse... Ils ont tous deux les cheveux bruns, mais un possède les yeux bleus et le second les yeux marrons.

Oh non... Est-ce que je crois...

— Ils sont grands et assez bien battis ? Plutôt beaux gosses ? Et surtout, ils préfèrent crier que parler, c'est ça ? Et aussi, ont-il parlé de moi ? questionnai-je rapidement, en ressentant une certaine joie m'envahir.

— Je euh... Oui c'est ça ! La description correspond très bien et ils ont en effet évoqué votre prénom !

Souriante, je me retournai vers Alexeï, puis posai une main sur mon épaule.

– Tu es devenu mon fiancé et tu vas donc devoir en payer les conséquences, mon prince. Mes supers papas vont être ravi de te rencontrer... déclara-je toute heureuse, alors qu'il se décomposait.

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