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Chapitre 28

    Athéna resta un long moment sans bouger ; ses yeux étaient à la limite de me lancer des éclairs. Mais par la suite, la demoiselle attrapa rapidement le deuxième coussin, ne se gênant pas pour me le balancer m en pleine tête. Elle se leva ensuite, grogna de colère, en commençant déjà à me courir après.

Évidement je prenais la fuite, fermant avec violence la porte.

— Mon nez, bordel Alexeï je vais te tuer ! hurla ma petite déesse, alors que je décidais de revenir sur mes pas.

    Bon au vu de l'hurlement de yéti qu'elle venait d'émettre, visiblement elle s'était bien prise la porte. Je me dépêchai donc de revenir dans la chambre, avant de soudainement me recevoir un coussin en pleine tête. Et même violemment, encore une fois.

— Je t'ai eu ! s'exclama aussitôt Athéna, tandis que je grommelais tout bas.

    Mais étant un grand joueur, je me précipitai aussitôt vers elle. Évidement Athéna commença à remonter sur le lit, en essayant à présent de me frapper avec ses petite pieds. Je souris, puis d'un mouvement, j'attrapai l'une de ses jambes. En moins de deux, elle tomba sur le matelas, et j'en profitai donc pour me placer au dessus d'elle.

On échange les places de cette nuit, déesse...

   Je coinçai donc, son corps à l'aide du mien, la fixant désormais malicieusement.

— Ne joue pas avec le feu, Athéna.

— C'est bon j'ai compris ! Lâche-moi !

— S'il... ?

— Si tu ne le fais pas je vais bientôt t'encas...

   Immédiatement, je plaquai une main sur ses lèvres, en secouant ma tête de droite à gauche.

— Il faudra apprendre les bonnes manières, à noter. Tu sors avec un prince, Athéna. Ne l'oublie pas, répliquai-je, avant de finalement la laisser et de me lever.

   J'attrapai quelques affaires, puis me préparais pour aller dans la salle de bain. Après tout, ce début de matinée m'avait bien donné chaud...

— Bonnes manières ? J'ai de très bonnes manières, moi monsieur ! s'exclama le petit jaguar.

— Oh oui, très... murmurai-je, avant de fermer la porte à clé et de me diriger vers la douche.

   J'entendis encore des injures sortir de sa bouche, alors que je posais mes mains contre le comptoir, pour souffler.

Mon cœur commence à trop réagir face à elle.

**

— Tu es prête ? demandai-je à travers la porte, en enfilant mon manteau noir.

— J'arrive, répondit-elle avant que la porte ne s'ouvre, et que sa magnifique silhouette n'apparaisse.

   Je l'observais silencieusement, en admirant cette robe rouge entourée de son manteau noir.

— Tu es très belle. Le rouge te va encore une fois, très bien, avouai-je sincèrement, pendant qu'elle enfilait ses petites bottines.

— Il n'y a quasiment que cela dans ma garde robe, répliqua-t-elle, en nouant ses magnifiques cheveux en une queue de cheval.

— Les journalistes seront davantage présent aujourd'hui. Ce contrat est très important, surtout s'il se signe par la suite. Tu ne devras donc pas t'éloigner de moi, Athéna. Chaque geste sera pris en compte par ces rapaces.

— Alors ça commence... souffla-t-elle, avant que je n'attrape mon écharpe noire et ne l'enroule autour de son cou.

— Oui mais je serai là, comme toujours, repris-je souriant, avant d'ouvrir la porte.

   Plus tard, nous rentrions donc dans la voiture, et je pouvais déjà sentir la nervosité d'Athéna.

— Tout va bien se passer. Je suis avec toi. Personne ne va t'attaquer, tu sais.

— C'est faux. Imagines-tu que tout le peuple va enfin comprendre et découvrir que le fameux prince de Grèce fréquente quelqu'un ? Moi ? Une femme qui était à son service. Mes amis et collègues font être ravis, tiens !

— Tu as le droit de tomber amoureuse de qui tu souhaites et moi aussi.

— Tomber amoureuse d'un prince, hum...

    Je décidais de poser une main sur sa cuisse, ce qui attira son regard.

— Retire là, dit-elle, me provoquant un énième sourire.

— Non. Je te l'ai dit, je serai avec toi. De plus ne panique pas, ma mère est déjà au courant que je fréquente une femme. Et sérieusement. Je lui ai téléphoné il y a deux jours.

— Tu rigoles, là, Alexeï ?

— Non. Elle l'aurait appris aujourd'hui, sinon. Il valait mieux que je le fasse moi-même, en bonne augure.

— Dans quoi me suis-je embarqué... murmura-t-elle, en fermant subitement les yeux.

— Dans un merveilleux voyage avec moi. Maintenant il faut y aller, complétai-je avant que la voiture ne s'arrête.

    En moins de deux plusieurs journalistes sortirent de pratiquement toutes les rues, se ruant en notre direction. Je sentis la main d'Athéna serrer fortement la mienne, alors que je voyais mes gardes venir en renfort devant la voiture.

— Je vais me faire écraser, dit-elle, en observant tout ce beau monde réuni autour de la voiture.

— Veux-tu que je te porte mon amour ? demandai-je aussitôt, avant de l'entendre pousser un râle.

    Je lui caressais tendrement sa main, puis je me décidai finalement à franchir le pas. J'ouvris ma portière, essayant en vain de me faufiler entre tout ce petit monde. Je me dépêchai ensuite d'atteindre l'autre portière pour aider ma pauvre petite Athéna à sortir de la voiture. Je pris donc sa main dans la mienne, en entourant fermement sa taille de l'un de mes bras.

   J'essayais de la cacher avec mon manteau, en commençant à avancer dans cette foule en délire. Mes gardes essayèrent de les repousser, mais les flashs incessants eux, ne pouvaient s'arrêter. Je sentis Athéna me serrer m, et je commençais à trouver cette situation pénible et forte agaçante.

Pas à cause du fait que ma déesse me serrait, non. Mais à cause du fait qu'elle était effrayée et bousculée dans tous les sens. Et tout ça à cause de ces maudits journalistes.

— Votre altesse, cette jeune femme qui est accrochée à votre bras est-elle votre nouvelle femme ? me demandait sans cesse ces maudits journalistes, nous bousculant encore dans tous les sens.

— Je n'ai jamais tenu une femme comme ça et protégé de la sorte. Réfléchissez tout seul et vous aurez la réponse, répondis-je froidement, avant de réussir à rentrer dans le building.

    L'immense porte se ferma en moins de deux, même si les journalistes continuaient de prendre des photos à travers les grandes baies vitrées. Je me dépêchais de rejoindre une pièce, souhaitant être seul avec Athéna. Je fis un simple signe à mes gardes, ainsi qu'au patron de l'entreprise qui m'octroya un sourire timide. Ensuite, arrivés dans la pièce, je laissai échapper un profond soupire, puis caressais délicatement ses doux cheveux.

— Je suis désolé. Je ne pensais pas qu'il y aurait autant de journalistes. Ils ne lâchent jamais l'affaire... maugréai-je, avant de voir son petit visage réapparaître de sous mon manteau.

— Mais ce sont pires que des lions affamés ! Je n'y crois pas ! Ils nous ont bousculé sans aucun scrupule ! J'ai cru m'étaler au sol comme une crêpe ! Et leurs flashs, non mais j'ai sérieusement cru devenir aveugle ! s'indigna aussitôt Athéna, en remettant en place son écharpe défaite.

Une déesse féroce.

— Hélas, ils n'ont toujours pas compris la leçon. Mais je serai ravi de te voir un jour monter sur une estrade et de leur octroyer un joli discours de ta petite bouche. Je suis désolé de t'imposer cela. C'est la partie la moins drôle. Mais je ferai néanmoins tout mon possible pour t'éviter cela.

— J'espère qu'après toute cette histoire je serai enfin tranquille, chez moi, loin de ce palais et de tout cela... soupira-t-elle, alors que je sentais mon cœur se serrer.

Ah non. Ah non non. Ah non non non.

   Immédiatement, je pris son visage en coupe dans mes mains.

— Ne dis pas cela ma déesse, tu ne connais pas encore notre avenir, ce qu'il se passera prochainement... murmurai-je, avant d'écraser par impulsion mes lèvres contre les siennes.

Car cela pourrait bel et bien tout changer si les sentiments venaient à s'en emmêler...


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