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Chapitre 25

PDV Alexeï

    Immédiatement, le petit jaguar se débattit dans mes bras. Pas violemment non, mais quand même. Cependant, et à mon plus grand plaisir, j'arrivais encore à prolonger ce doux baiser de quelques m secondes.

Ce merveilleux baiser.

   Et ce n'est seulement que quelques secondes plus tard, que je décidais enfin de me relever, tout souriant et très ravi. Athéna restait encore allongée sur le canapé, plaquant subitement ses mains contre ses lèvres que je venais à peine de lâcher.

Des douces lèvres...

— Je rêve, chuchota-t-elle d'une voix limite cassée, visiblement outrée.

   Je souris encore plus, puis me dirigeais tout      naturellement vers la cuisine pour me faire un
petit café.

— Mais ça ne va pas ! C'est... Ce... Mon dieu quoi ! cria-t-elle de sa jolie voix, avant que je n'entende des bruits de pas se diriger vers moi.

— Punition, mademoiselle, intervins-je, en me retournant.

Enfin la punition était un bien grand mot, hum...

    Arrivée à ma hauteur, Athéna ne se trouvait désormais qu'à quelques centimètres de moi, le regard noir et les lèvres fermées.

— Depuis quand on embrasse une femme comme ça, d'une seconde à l'autre, sans lui demander son avis !

— Ah ça... Eh bien depuis longtemps je dirais, dis-je simplement dans un haussement d'épaules, en attrapant ma tasse fumante.

— À la base cela était aussi une punition, mais je me devais également de faire le test de tes lèvres pour la suite, dis-je plus tard, avant de me placer devant la grande baie vitrée.

— Le test ! Non mais je rêve ! Et mon beau ! J'espère qu'il a été concluant, hein ! s'exclama encore ma petite déesse, tandis que j'esquissais un nouveau sourire.

— Oh oui, très... répondis-je dans un murmure, avant de boire mon café noir.

    Oui. Je n'avais pu résister à la tentation. Cette tentation. Je l'avouais. Tout au long de cette longue journée, la voir essayer ces diverses tenues, robes, qui épousaient parfaitement son corps, m'avait fait quelque chose. Même si j'avais parfois fait le choix de tout choisir moi-même, je savais d'avance et pertinemment que tout lui irait parfaitement.

Athéna était une femme sublime et cette journée ne m'avait pas facilitée la tâche à me retenir.

Athéna était belle. Jolie. Magnifique. Terriblement divine.

    Et j'adorais la pousser à bout, en plus de tout cela. J'aimais animer son petit caractère, la voir exploser et finalement me balancer toutes ses pensées sans aucune once de gêne. Elle n'a pas peur de dire ce qu'elle pense et cela ne cesse de faire accroître le désir, l'intérêt que j'ai pour elle. Je l'apprécie de plus en plus. Et cela est même assez faible pour décrire ce que je ressens à cet instant présent.

Je sais pertinemment qu'au fond de moi, que cela n'a rien avoir avec le rôle que je lui ai demandé de jouer...

**

    Ma déesse s'était réfugiée dans sa chambre. En colère, bien évidement. Elle ne m'avait pas rejointe pour le dîner et je ne l'avais donc plus entendu depuis trois longues heures. À ce que j'ai constaté et compris, elle me boudait. Et étrangement, cela me plaisait. Je pouvais même dire que je trouvais cela extrêmement mignon.

Un caractère attachant pour une femme divine.

    Néanmoins, après être resté trois heures sans nouvelle de mon petit bébé jaguar, je décidai finalement d'aller lui rendre une petite visite. Je tapai donc deux fois contre sa porte, mais visiblement Athéna n'avait pas l'air de vouloir me répondre. Et la porte était fermée à clef, bien entendu.

Tant pis.

   Je partis donc chercher le double de clé, puis revins enfin sur mes pas. Quelques manœuvres et une clé enfoncée, je rentrai donc tout naturellement dans la pièce, mon sourire s'élargissant en une fraction de secondes quand j'eus croisé Athéna.
Debout, près de son lit, les cheveux remontés en un chignon bâclé. Mais son magnifique corps était désormais enfermé dans des sous-vêtements. Oh... Ceux que nous avions acheté, d'ailleurs.

– Les sous-vêtements te plaisent, alors ? questionnai-je sans tarder,

Et oui. La case sous-vêtements avait bel et bien été un passage obligé. Bien sûr Athéna avait absolument refusé, catégoriquement, en prétextant que cela ne servirait strictement à rien et que personne ne viendrait voir cela.

Bon... Elle avait raison, c'est vrai.

   Mais j'avais encore une fois ressorti l'excuse de ma très chère mère ; qu'elle risquerait de venir fouiller dans l'armoire. Bien entendu, tout cela était faux. Ma mère n'irait pas jusqu'à là, voyons. Disons que c'était juste pour mon plaisir personnel et que j'avais été aussi extrêmement content de pouvoir l'aider à choisir de jolis ensembles. J'en avais choisi deux et elle avait choisi tout le reste. Et maintenant j'étais content de pouvoir les admirer, les voir adorablement épouser ses courbes...

— Va t'en ! cria-t-elle aussitôt, en se réfugiant dans son lit et en remontant la couverture jusqu'à son cou.

—Tu vois que ces sous-vêtements sont très jolis. Toi qui disait que tu n'aimais pas, repris-je, en m'avançant d'un pas lent dans la pièce.

— Je n'aimais pas le fait que c'était toi qui les choisisse, nuance !

   Je pris place du côté gauche, sur le lit, mes yeux fixant toujours son magnifique visage.

— Ils sont confortables ? continuai-je.

— À ton avis... Vu le prix, heureusement qu'ils le sont... grommela-t-elle tout bas, en tenant toujours la couverture contre elle.

— Le rouge va très bien sur ta peau hâlée.

    Athéna haussa un sourcil avant de reprendre la parole :

— Disons que cette couleur est la principale de ma nouvelle garde robe, donc...

— C'est un point positif. Tes vêtements porterons ma couleur favorite et cela se remarquera.

— J'aurai pu porter une autre couleur et ça aurait très bien fait ; ce n'est pas parce que je porte ta couleur favorite que cela va changer quelque chose à cette sois disante relation.

    Je souris, en aimant ces petits piques.

— Parlons d'autres choses maintenant. Demain nous irons visiter les alentours. Nous avons une nouvelle journée de repos avant d'aller rendre visite à d'autres entreprises, déclarai-je plus tard, mon regard déviant maintenant sur ses lèvres.

— Ensemble ?

— Bien entendu.

— Je n'ai pas envie d'aller me balader avec toi, ajouta-t-elle, avant que je ne me penche près de son visage.

   Étrangement, la demoiselle s'arrêta de bouger.

— Ne me boude pas, ma déesse, lui chuchotai-je, alors qu'elle posait une main sur mon torse pour tenter de me repousser.

— Tu m'as embrassé sans mon accord. J'ai déjà accepté le sois disant contrat et je fais beaucoup d'efforts, tu le sais. Mais ça, tu n'avais pas le droit.

    Je croyais qu'elle boudait un peu, environ dix pour-cent sur l'échelle du boudage, mais visiblement cela était davantage élevé. Je m'étais donc trompé. Elle devait être vers les quatre vingt pour-cent sur l'échelle du boudage. Oui, c'est ça.

— Ce n'était rien de plus qu'un petit baiser. Ne boude pas pour cela, je t'en prie, repris-je d'une voix basse.

   Étant habitué maintenant, et connaissant ma déesse aux yeux si fascinants et à la beauté saisissante, nul doute qu'elle n'avait pas du tout apprécié mes paroles prononcées à l'instant.

**

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