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Chapitre 17

PDV Alexeï

— Eh bien... Je ne savais pas que mes fesses te plaisaient autant... dis-je tout bas, alors qu'elle se retournait petit à petit, comme paralysée.

Athéna me fixait, de haut en bas, avant de poser une main sur mon épaule. Ses petits doigts se serrèrent avec une force incroyable contre mon tissu, espérant visiblement me faire mal.

— Trois secondes pour sortir de la cabine. Trois petites secondes, dit-elle dans un chuchotement, mais d'une voix très meurtrière.

— Bon, les seins sont très biens. Ni trop gros, ni trop petit. Par contre, il faudra revoir les sous-vêtements. Ils sont démodés, déclarai-je, avant d'entendre un juron s'échappait de ses lèvres.

Je n'eus le temps de la gronder quant à son langage déplacé, que déjà une petite main venait frapper avec force ma joue.

— Tu es ignoble ! Ignoble et je te déteste ! cria-t-elle férocement, en attrapant ensuite ses affaires.

Hum. Elle venait donc de me frapper. Et bon sang, cela picotait. La jeune demoiselle ne m'avait pas loupé.

Je posai une main sur ma joue endolorie, en l'entendant se rhabiller, avec des jurons suspendus aux lèvres. Plus tard, j'entendis une porte claquer et je me doutais bien qu'elle était partie. Je tapais dans une boîte en carton, qui se trouvait là, puis me dépêchai d'aller la rattraper. Je lui devais des excuses et même si elle serait la première à en bénéficier, je me devais bien lui en offrir.

Arrivé dehors, je demandais pressement à mon chauffeur s'il l'avait vu passer, celui-ci me répondant déjà qu'elle avait filé du côté droit.

— Et vous n'auriez pas pu l'en empêcher, bon sang ! m'exclamai-je furieux, en regrettant d'avoir laissé partir trop vite mes gardes du corps.

**

Quelques bonnes heures plus tard, et un Alexeï énervé :

Debout près de la grande baie vitrée, dans la suite, j'attendais patiemment les nouvelles concernants ma petite fugueuse préférée.

Je commençais à sérieusement m'impatienter et également, à m'inquiéter.

— Nous l'avons retrouvé, votre altesse. La demoiselle est en ce moment même en train de boire un cacao, dans un bar. Le froid l'a sûrement persuadé de se réchauffer quelque part, déclara Aldric.

— Un cacao, hum...

— Trois de nos hommes sont restés à ses côtés, discrètement.

— Merci. Vous pouvez disposer maintenant.

J'attrapai en vitesse mon téléphone, en commençant à faire quelques recherches qui je pensais un jour, ne faire jamais.

Une femme me boude. Et c'est visiblement très très sérieux.

Espérons qu'internet pourra m'aider.

Je tapais donc le sujet « que faire quand ma femme me boude » sur mon clavier, en regardant avec intention les différentes réponses sur les forums. Et j'étais fortement étonné de voir que je n'étais visiblement pas le seul à avoir ce problème avec les femmes. J'étudiais donc chacune des réponses, attentivement, puis les notai sur un bout de feuille. Plus tard, j'arrêtai mes recherches, en passant un coup de fil à l'accueil.

Elle va aimer, je pense.

**

La porte venait de s'ouvrir. Ma jeune demoiselle réapparaissait enfin à mon plus grand bonheur. Je l'observais rentrer dans la pièce, toujours cette petite mine colérique sur son visage et même un peu de... tristesse. Je la regardais et c'est quand elle s'avança dans l'immense pièce, que la surprise se lisait finalement dans ses magnifiques yeux.

— C'est quoi ça... se demanda-t-elle, en regardant partout autour d'elle.

Une table avait joliment été disposée au milieu de la pièce, une nappe rouge se trouvant dessus et tous les couverts étant déposés sur celle-ci. Quelques pétales de roses étaient aussi disposées dessus, et j'avais demandé que l'on dispose également quelques pétales de couleur bleue.

Sa couleur préférée.

Athéna s'avança lentement dans la pièce, alors que je décidais d'enclencher la petite musique que l'on m'avait conseillé sur internet. J'éteignais ensuite les lumières, toutes les bougies disposées dans la pièce faisant désormais leur travail, et donnant donc un côté encore plus romantique.

— Oh non... l'entendis-je soupirer, avant que je ne décide de ne m'approcher d'elle.

J'avais également fait un effort vestimentaire, ayant remarqué dans les commentaires, que les femmes aimaient bien les hommes qui prenaient soin d'eux et qui faisaient l'effort.

Arrivé à sa hauteur, je pris donc la rose coincée dans ma poche de costume, pour lui offrir. Une rose bleue, en plus de cela. Cependant, Athéna ne la prenait toujours pas dans ses mains. Elle la regardait étrangement de son regard unique.

— Je suis allergiques aux roses, dit-elle soudainement, alors que je râlais déjà tout bas.

— Ce n'est pas grave. Je te l'offre tout de même, répliquai-je, avant de la voir éternuer.

Bon. La technique de la rose ne marche pas pour toutes les femmes, visiblement. Je soupirai donc, puis partis la jeter sans remords dans la poubelle.

Stupide commentaire.

— Tu n'es pas allergique au reste, j'espère ? demandai-je par la suite, en revenant à ses côtés.

Immédiatement, Athéna m'esquiva, en s'approchant de la table et la touchant du bout des doigts. Elle ramena ensuite toutes les jolies pétales de roses vers ses mains, que j'avais arrachées une à une, et elle partait finalement les jeter dans la poubelle. Je ne disais rien, puis je la regardais ensuite éteindre les bougies avec son souffle.

— Allergique aux bougies ? questionnai-je sur un ton mou, avant de voir le noir s'installer dans la pièce.

— C'est ça, en effet, dit-elle d'une voix froide, la lumière revenant finalement quand elle eut appuyée sur l'interrupteur.

Je la voyais froncer les sourcils et son regard se posa enfin sur le mien.

— C'était quoi tout ça ? reprit-elle, alors que je sentais une odeur étrange de brûlée dans l'air.

Une odeur de brûlée...

— Le four, Alexeï ! s'écria soudainement Athéna, en se précipitant en moins de deux vers la partie cuisine.

Immédiatement, elle ouvrit le four, une fumée noire s'en dégageant et des toussotements se faisant entendre. Athéna posa en vitesse le plat sur le comptoir. Ah. Je compris que c'était visiblement mes pauvres cookies aux chocolats, qui avaient pris un peu trop de bon temps dans le four.

J'ai vu que les femmes aimaient beaucoup les cookies. Mais là, je pense que les cookies cramés ne devaient pas être si délicieux que cela, finalement.

— Mais qu'as-tu fait ! s'exclama-t-elle, en se massant le front.

Je commençais à me rapprocher d'elle pour constater les dégâts. Ce merveilleux repas qui devait normalement servir à la reconquérir, à me racheter, avait lamentablement échoué. Merci internet.

— Je voulais m'excuser, avouai-je tout bas, avant qu'elle ne se retourne et ne me fixe avec des yeux surpris.

— Vraiment ? Tiens donc ! Une grande première ! Bravo !

Je ne répliquais rien quant à ce petit pique. Je décidai simplement de me placer à sa hauteur. Je posai mes deux mains sur ses épaules et inspirai un bon coup.

— Désolé. Je n'ai jamais vraiment su comment me comporter avec les femmes... Disons que tu es différente de celles que je côtoie habituellement, et je tenais donc à m'excuser. Je ne jugerai plus ton corps. Plus jamais. Et il est vraiment magnifique, sache-le.

Je n'ai jamais aimé faire des excuses, il était vrai. C'était d'ailleurs pour cela qu'elles étaient très rares et quasiment inexistantes. Elles ne voulaient jamais franchir mes lèvres.  Mais là, je sais que j'avais dépassé quelques limites. Athéna ne méritait pas cela, je le savais bien au fond de moi. Même si je lui lançais des critiques, il était quand même vrai qu'elle possédait un corps de déesse.

Elle était sublime. Et elle ne ressemblait en aucun cas aux femmes que j'avais pu côtoyer avant.

— Hum. Je peux éventuellement les prendre en compte, reprit-elle, après un long moment de réflexion.

— Mais si tu recommences, je te promets que je ne serais pas si clémente. Et ma main te le montrera très bien, continua-elle, alors que je me penchais près de son visage.

— Tu sais quoi, Athéna ? Tu étais absolument à croquer dans cette robe qui épousait parfaitement tes courbes. Alors, je ne vais pas te parler des pensées qui avaient traversées mon esprit à ce moment-là, hum... susurrai-je contre son oreille, en déposant par la suite un baiser sur sa joue.



**


( Alexeï est un homme étrange, n'est-ce pas 😏 ! Merci pour tous vos commentaires et les votes, c'est très gentil !) ♥️

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