Préférence XIV (partie 1) - Votre réconciliation
Harry: Il avait passé la nuit dans la salle commune, s'en voulant terriblement de t'avoir crié dessus. Lorsque tu es descendue le lendemain matin à la petite heure, il t'a apostrophé avec la ferme intention de se racheter.
- Je suis désolé pour hier, je n'aurais jamais dû te parler comme ça. Tu as raison, tu mérites de savoir.
Vous vous êtes alors assis sur un sofa et il t'a longuement parlé de tout; ses inquiétudes, ses peurs. Tu as compris à quel point il était perdu et tu as vite oublié son saut d'humeur de la veille.
Ron: Tu l'avais évité le restant des vacances des fêtes et il avait fait de même, son orgueil étant bien trop fort. Ginny a décidé de tout conté à George qui, désespéré par l'attitude de son frère, l'a raisonné avant de le pousser à se faire pardonner.
- Écoute, t/p... je voulais te dire quelque chose.
- Oui ?
Il a semblé hésiter un instant avant de murmurer la tête baissée:
- Je m'excuse... j'ai confiance en toi et je sais que tu ne me ferais jamais quelque chose comme ça.
Fred: La pression de la veille redescendue, tu avais vite regretté tes paroles. Tu as passé la journée suivante à te maudire d'avoir été aussi rude avec lui et dès que les cours furent finis, tu t'es empressée de le rejoindre.
- Je suis vraiment désolée pour ce que j'ai dit hier soir. J'avais passé une journée affreuse et je ne pensais pas ce que j'ai dit.
Froid au début, il a finalement pris tes mains dans les siennes puis t'as regardé dans les yeux.
- Non, tu avais raison. J'aurais du voir que tu n'allais pas bien au lieu de penser uniquement à faire des blagues. On oubli, d'accord ?
Il t'a sourit doucement et tu as hoché de la tête avant de l'embrasser tendrement.
George: Après avoir pleuré un long moment, tu t'étais couchée sans pourtant trouver le sommeil. Vers trois heures, il t'a rejoint et est venu se coller dans ton dos.
- Je t'aime... tellement, t/p. Je n'aurais pas dû te parler comme ça, si seulement tu savais comme je m'en veux. Tu comptes plus que tout pour moi.
Tu t'es retournée pour lui faire face, les yeux encore baignés de larmes.
- Mais tu avais raison. Jamais je ne remplacerai Fred et... je crois que c'est ce que j'ai essayé de faire inconsciemment.
- Je vois comment tu continus de te battre pour moi, pour m'aider à remonter la pente. Et même si tu ne peux pas le... le remplacer, tu occupes une place tellement importante que à mes yeux tu es aussi irremplaçable que Fred.
L'un contre l'autre, vous avez versé quelques larmes avant de finalement vous endormir pour une longue et paisible nuit.
Neville: Le soir même, il était venu te voir alors que tu étudiais dans la Grande Salle. Il avait la tête basse et semblait s'en vouloir énormément.
- Tu n'es pas avec Chourave ? tu as demandé sans lui jeter un regard.
- Non. Et je lui ai donné mon Mimbulus pour qu'elle s'en occupe à ma place. Moi je veux m'occuper de toi.
Tu t'es retournée vers lui, les sourcils relevés sous la surprise. Il s'était débarrassé de sa plante pour te prouver qu'il t'aimait plus que la botanique ? C'était sûrement idiot mais tellement mignon que tu n'as pas pu t'empêcher de le prendre dans tes bras avec un large sourire.
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