HEYY GUYYSS !
J'ai décidé de faire des chapitres plus courts pour ce livre là, pour essayer de faire plus d'updates.
J'espère que vous aimerai, j'ai hâte de publier la suite.

Julyet_

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"Hé Ivy ! Réveille toi !"

J'ouvrais doucement les yeux. J'avais passé une très mauvaise nuit. J'avais dormis sur un vieux matelas dans une ruelle salle.

"Bon sang, réveille toi"

Je poussa un petit grognement, je n'avais pas envie de me lever. La personne qui me parlait s'appelait Aimée. Je ne la connaissais pas vraiment mais ce que je savais c'est qu'elle avait perdu son mari pendant l'attaque de New York. Comme moi sa vie s'est effondrée, et comme moi elle s'est retrouvée dans la rue.

"Bouge toi ! Les flics arrivent !"

J'ouvris soudainement les yeux. J'avais compris que les flics m'avaient retrouvés. Il fallait absolument que je bouge d'ici. Je m'étais mise à courir et Aimée m'avait suivie. Je ne m'arrêtais pas, je ne pouvais pas.
Mais malheureusement, lorsque nous avons tourné dans une autre rue, les policiers nous attendaient.
Je m'étais arrêtée. Tout les policiers étaient en train de braquer leurs fusils sur nous.
Puis le chef de la police de New York sortit d'une des voitures.

<< - Ivy Milton ! Depuis tout le temps que nous te cherchons, te voilà enfin, dit-il avec un petit sourire en coin. Il s'approcha de moi. Tu es en état d'arrestation, tu as le droit de garder le silence, tout ce que tu pourra dire sera retenu contre toi.

Je reculais à chaque fois qu'il faisait un pas.
Je ferma les yeux, je savais qu'il fallait que je fasse quelque chose.

- Je suis désolée, mais je ne viendrai pas avec vous, répondis-je >>

Je serra les poings, ferma les yeux, et me concentra.
Tout d'un coup le sol, entre le policier et moi, s'effondra. Il était assez profond et assez large pour qu'ils ne puissent pas passer.
Je pris Aimée par la main et la tira avant de courir dans l'autre sens.

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Le seul moyen pour qu'ils ne nous trouvent pas était de passer par les égouts. Nous nous étions cachés en attendant.
Je m'étais assise. Je respira profondément en fixant mes mains.
Aimée me vit encore sous le choc.

<<- Hé, c'était impressionnant ce que tu as fais tout à l'heure.

Je lâcha un petit sourire vite effacé par mes soucis.

- Je sais. Mais je me pose tellement de questions...

Elle s'assit à côté de moi.

-... Tout ça me fait peur. Qu'est ce qui m'arrive ? Pourquoi on s'acharne sur moi comme ça ? Je me mis à pleurer.
- Hé Ivy, pourquoi tu pleures ? Tu es la personne la plus forte que je connaisse. Je dis ça même si on ne se connaît pas de depuis très longtemps. Et tu sais quoi, je pense que ces pouvoirs, tu les mérites.

J'essaya mes larmes

- Merci, merci de me remonter le moral, mais je pense que ces pouvoirs ne sont qu'un fardeau. >>

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Quand nous nous somme rendue compte que la voie était libre, nous étions ressorties des égouts.
Elle continuait à me remonter le moral même si mes préoccupations étaient toujours là.
Après avoir longuement parlé, Aimée a dû retourner voir d'autres personnes.
Elle était la seule personne au courant de mes pouvoirs parce qu'elle était avec moi lorsque je les ai découverts. Nous étions toutes les deux en train de cambrioler ce magasin quand le feu s'est déclenché.
Je voulais m'assoir dans une ruelle quand soudainement des voitures noires m'encerclèrent.
Un homme habillé en noir sortit de sa voiture. Il fit signe a tout les hommes de baisser leurs armes.
<< - Ivy Milton, nous savons qui vous êtes, nous savons de quoi vous êtes capables. Vous pourriez faire des choses exceptionnelles avec vos pouvoirs. Venez avec nous, rejoignez le bureau Stratégie Habileté Intervention Exécution et Logistique Défensive, nous pourrons vous aider.
- Qui êtes vous ?
- Je suis l'agent Coulson, et je vous l'ai dis je travaille pour le bureau Stratégie Habile...
-... Le S.H.I.E.L.D vous voulez dire ?

L'homme acquiesça.

- Écoutez, si vous voulez m'analyser, me faire passer des tests, et bien allez-y ! Je n'ai plus de parents, plus de vie, alors je n'ai plus rien à perdre.

- Nous ne voulons en aucun cas vous analyser. Nous pensons que vous pourriez nous être d'une aide très précieuse.

Je haussa un sourcil

- Quel genre d'aide ?

L'agent Coulson sourit

- Nous aider à faire le bien, Il voyais mon hésitation, je vous promet que nous ne voulons pas vous faire de mal >>

Après une longue hésitation, j'accepta de le suivre.