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8 : C'est quoi aimer ?

Pdv (T/P)

Au bout de quelques jours, le père de Gaku avait réussi à convaincre l'hôpital de laisser sortir mon...meilleur ami ? Je savais plus trop.

En tout cas, j'étais allée l'attendre devant le bâtiment blanc, à partir de quatre heures du matin, alors qu'il ne sortait qu'à sept heures. Mais on savait jamais.

Un ricanement me réveilla, alors que je n'avais pas le souvenir de m'être endormie. J'ouvris à demi les yeux.

-Hmm..., marmonnai-je.

J'étais où déjà ? Une main passa devant mes yeux (c/y). J'ouvris entièrement les yeux avec difficulté.

-Ga-Gaku ? ballai-je.

Je me frottai les yeux et levai ma tête vers lui. Il me sourit en m'ébouriffant mes (l/c) cheveux (c/c).

-Bien dormi ? me demanda-t-il en ricanant. Pas capable de tenir cinq minutes sans faire une p'tite sieste ?

-J'attends depuis quatre heures ! me défendis-je.

-Quatre heures ? répéta-t-il. Mais...Pourquoi ?

Il me regardait sans comprendre. Je baissai la tête en rougissant, sans vraiment que je sache pourquoi.

-Si-Si tu sortais en avance..., balbutiai-je.

Il me donna une petite tape sur ma tête dans un bruit sourd. Je me frottai la tête en grognant.

-MAIS T'ES MALADE ! hurla-t-il en me secouant dans tous les sens. IL AURA PU T'ARRIVER QUELQUE CHOSE DE GRAVE PENDANT QUE TU DORMAIS !

-Mais euh ! chouinai-je. Je vais bien euh !

-Idiote.

On commença à partir, le roux poussant mon fauteuil. Il semblait toujours un peu en colère contre moi.

-Maman, pourquoi la fille est dans un fauteuil et le garçon a du sopalin sur les poignets ?

Je regardai la petite fille qui avait parlé. Elle devait avoir environ cinq ans. Sa mère l'attrapa par les épaules pour la détourner de nous.

-Ne les regarde pas, lui ordonna la femme.

Je leur tirai la langue en les insultants à voix basse, ce qu'elles ne virent pas puisqu'elles étaient dos à nous.

-Fait pas attention à elles..., murmura Gaku avec une pointe de peine dans la voix.

-Gna na na na na, les regar...

-Tu m'écoutes ? me coupa-t-il.

Je levai la tête vers lui avec un sourire innocent. Il soupira, mais je vis un petit sourire sur son visage.

-On est arrivé chez toi, me prévint-il.

Je fis exprès de mettre du temps à trouver mes clés pour qu'il reste. Mais ça ne pouvait pas durer éternellement.

-Bon bah j'y vais..., chuchota-t-il.

Avant qu'il ne parte, j'attrapai sa chemise sans le regarder. Je sentais son regard surpris sur moi, ce qui me mettait très mal à l'aise.

-Tu...Tu recommenceras pas...pas vrai ? articulai-je difficilement.

-Tu t'inquiètes pour moi ? s'étonna-t-il.

-Tu recommenceras pas, pas vrai ? répétai-je.

Je relevai la tête. Je pleurai en souriant (NDA : Comme le média). Mon ''ami'' me lança un regard effrayé.

-Je recommencerai pas, me promit-il, toujours avec ce regard apeuré.

Il se baissa pour me prendre dans ses bras. Je posai ma tête sur son épaule en continuant de pleurer.

-(T/P)..., commença-t-il. Est-ce...

-Oui ? dis-je entre deux sanglots.

-Est-ce que tu m'aimes ? finit-il.

Mes larmes se stoppèrent. Je restai sans voix. Est-ce que je l'aimes ? pensai-je. Au fond, je ne savais pas vraiment c'que ça voulait dire.

-C'est quoi aimer ? demandai-je. Je veux dire...C'est quoi, être amoureux de quelqu'un ?

-Quand t'aimes quelqu'un, m'expliqua-t-il, tu aimerais que cette personne reste toujours avec toi. Tu aimerais qu'elle te sourit, qu'elle rit avec toi. Mais...Si jamais elle veut partir avec quelqu'un d'autre...Tu la laisserais faire...Parce que tu veux que son bonheur...

-C'est quand tu veux qu'elle fasse attention à toi ?

-Oui, me répondit-il.

-C'est quand tu veux pas la prêter aux autres ? continuai-je.

-Oui, affirma-t-il en riant.

-Alors...Oui, je t'aime..., murmurai-je.

Je n'avais jamais été aussi rouge de toute ma vie. Je me cachai dans les bras de Gaku pour qu'il ne voit pas mon visage.

Je sentis qu'il me lâchait, pour mon plus grand malheur. Il se leva et partit. Je rentrai chez moi, en refermant la porte à clé derrière moi, pour une fois.

Il était quatre heures du matin, à présent. Je n'arrivai pas à dormir. J'avais peur pour le roux. Et si...

-Roh et puis merde, marmonnai-je.

J'attrapai mon téléphone et l'allumai. Je le mis en mode nuit/sombre mais je mis quand même quelques secondes à m'habituer à lumière.

-Donne-moi une bonne raison de pas venir chez toi pour t'étrangler, grogna la voix fatiguée de Gaku.

-J'en ai pas.

-Pourquoi tu m'as appelé alors ? me demanda-t-il, énervé.

-Je m'inquiétais..., expliquai-je. J'avais peur que...

Sans que je m'en rende compte, des larmes s'écrasèrent sur l'écran de mon téléphone. Je posai ma main sur ma bouche pour ne pas éclater en sanglots.

-Tout va bien, m'assura-t-il d'une voix douce. Je recommencerais pas. Mais là c'est quatre heures du mat, j'suis crevé alors laisse-moi dormir.

-Hmm...

Il raccrocha. Je me laissai tomber en arrière. Je me rendis compte que j'étais épuisée. Je m'endormis rapidement.

-Sérieux ? Je viens te chercher TOUS LES MATINS pour te pousser jusqu'en HAUT DE LA COLLINE et toi tu dors ?

J'ouvris les yeux. Karma me donna une tape sur la tête en soupirant. Je m'assis difficilement, m'empêchant de me rendormir.

-Tu peux faire demi-tour, le prévins-je. J'suis trop fatiguée pour aller en cours.

-T'as-as pleuré ? bégaya-t-il en pointant du doigt mes joues.

Je passai mes mains sur mes joues. En effet, il y'avait des traces de larmes. Je les effaçai et souris.

-Non ! le contredis-je. Tout va bien ! Allez, demi-tour Tomate !

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