
Le mariage de Gudule
Gudule : hein, quoi ?
Parce que "la fin de PJAM", ou "remerciements", ça sonnait un peu triste et sobre.
(Je suis sûr qu'il y en a que j'ai encore eu avec ce titre. Souvenez-vous du premier segment... )
Chers lecteurs,
Nous sommes le 5 avril 2017 et vous savez maintenant pourquoi j'aime les maths.
J'ai déjà dû dire ça dans ce bouquin, mais l'origine de PJAM est toute simple : j'avais envie de parler de sciences, et en particulier de maths
Parce que j'en faisais beaucoup (j'en fais toujours beaucoup) et que je détestais garder ça pour moi.
Parce que c'est plus marrant quand on partage, surtout le théorème de Gödel.
Parce que beaucoup de sujets extrêmement profonds sont extrêmement méconnus (la calculabilité par exemple).
Parce que « vulgariser » (ce terme est atroce) des choses compliquées est la meilleure manière de se les approprier définitivement. Surtout quand les gens ont libre cours pour vous poser des questions ensuite...
Et en terme d'explication, je suis presque sûr de m'être amélioré depuis.
Alors, un an plus tard, où en sommes-nous ?
Gudule, range ce mouchoir tout de suite, on garde pour la fin.
5K vues, 800 votes, on peut raisonnablement penser que vous avez passé (en cumulé) plus de temps à lire que je n'en ai passé à écrire, ce qui fait de PJAM ma seule œuvre dans ce cas.
C'est fou.
C'est aussi mon œuvre la plus lue de toutes.
Sérieusement ?
Gudule : et bientôt, mes Chroniques en première place de la catégorie humour.
Donc, chers lecteurs, aujourd'hui je clos PJAM, pour tout un tas de raisons :
– la non-nécessité d'une véritable conclusion aux aventures intercalées de Gudule et consorts, puisque l'épisode du « maître des formules » allait déjà dans ce sens.
– le manque de sujets à traiter : après avoir traité tout un tas de sujets géniaux et essentiellement des choses que je connaissais, je ne vois pas d'intérêt de chercher des articles d'autres personnes et d'en recopier le contenu. (Oui, si PJAM vous a semblé un peu bordélique, c'est parce que s'y sont retrouvés en vrac toutes les curiosités et les sujets de fond qui m'avaient le plus intéressé ces dernières années.)
– si l'an dernier je faisais encore des maths, aujourd'hui, plus beaucoup ; du coup je suis moins dans l'ambiance.
– je n'ai maintenant aucun scrupule à fermer PJAM puisque Gudule s'en est totalement échappé (il affronte une armée de légumes mutants dans ses Chroniques).
Chers lecteurs, parce que vous m'avez étonné par votre intérêt pour les maths dans ce bouquin, et parce que vous m'avez permis de mieux comprendre ce dont je parlais (et enfin, parce que vous avez voté et commenté, ouais !), merci.
Pour finir sur une touche nostalgique, je vous offre quelques-unes de mes phrases préférées du bouquin (l'auto-citation, c'est dangereux pour les chevilles, mais je crois pouvoir relever le défi).
Il faudrait leur adjoindre les meilleurs commentaires, mais ça prendra nettement plus de temps à compiler.
Le principe général du bouquin.
Toujours le même principe.
La beauté des maths.
L'histoire des grands mathématiciens relativement bien résumée.
Les illustrations de Gudule.
Des explications simples.
Et encore des explications simples.
Et le mot de la fin.
Merci !
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro