PEUPLE DE WATTPAD, BONJOUR.

Après avoir enfin terminé une bonne fois pour toute les textes liés à la trilogie des âmes soeurs -celle-là même qu'il m'a permis de découvrir en profondeur (mais pas encore assez à mon goût ( ͡° ͜ʖ ͡° ) le personnage de Nicolas Romero-, me revoilà ici.

Il se trouve qu'hier, cherchant donc des références précises pour écrire mes nouveaux projets, j'étais en train de relire la fin du manga. Et il m'a alors sauté aux yeux qu'une des raisons pour lesquelles nous sommes incités à aimer Romero, eh bien, c'est que TOUT LE MONDE, dans le manga, l'aime et l'admire.

En ce sens, je parle à la fois des remarques qui peuvent être faites par les commentateurs, comme ici : "Un des plus grands noms du volleyball brésilien depuis des années, pas de doute : c'est un des meilleurs joueurs du monde!" (un peu atténué dans la traduction officielle : "joueur du top mondial qui évolue depuis de nombreuses années dans la sélection brésilienne") / "quel privilège de voir un joueur de rang mondial œuvrer ici, en personne"

Auxquelles il faut adjoindre celles d'Ukai : "C'est un joueur qui a été au sommet du monde du volley-ball pendant des années... Un joueur dont tout le monde attend la victoire. Les joueurs comme lui peuvent être intimidants." ("il a de quoi mettre la pression" en français).

Note : j'ai trop d'images dans mon dossier sur cette thèse, je mets trois heures à trouver celle que je veux-

Deuxième point : les réactions de la génération monstre devant le joueur qu'ils ont admiré pendant des années (si je compte juste, et en tenant compte de l'âge moyen des joueurs brésiliens sur le terrain, on peut estimer que Nicolas a commencé à jouer en tant que titulaire autour des JO de Londres de 2012, ou peu après, c'est-à-dire l'année lors de laquelle on suit les protagonistes; Kageyama en seconde, Oikawa en terminale, etc). 

Repassons rapidement sur les expressions d'extase des jeunes volleyeurs japonais devant son jeu (ou son sourire, son cul, chacun regarde ce qu'il veut après tout) : 

On parle quand même du gars qui fait, par sa seule présence sur un terrain, ROUGIR des monolithes comme Kageyama, Ushijima ou Sakusa. 

Et quelques années plus tard, alors qu'il joue sa première année en V-League (ce qui, je suppose, est censé marquer un certain déclassement par rapport à la ligue italienne ou brésilienne, dans l'idée qu'il amorce doucement son retrait de la scène internationale ; alors que, sur le terrain brésilien, on compte des joueurs de 37/38 ans et OUI c'est Bruno et Lucas que je vise, donc finalement, à 30 piges, Nicolas serait peut-être juste au milieu de ses années seleçao...), le charme n'a pas cessé d'opérer:

Petit montage des diverses expressions en réaction à ce qu'il fait : notons les habituels introvertis soudain expressifs, et Kageyama qui est clairement en train de lui crier de l'épouser.

A noter que l'engouement qu'il provoque ne s'arrête à ses adversaire/coéquipiers, mais aussi au public, aussi lointain soit-il :

(trop mims les Brésiliens à fond derrière leur représentant) :

(Moi aussi je suis comme ça quand le Brésil gagne, mon copain me reproche de plus tenir pour eux que pour la France, m'enfin, il m'accompagne quand même voir jouer Bruno ce week-end, sûrement pour me ramasser quand je me serai pâmée en le voyant IRL).

Enfin, dernier panel sorti plus tardivement, mais que ne donne-t-on pas pour voir OIKAWA, le grand roi en personne, ainsi que notre roc Iwa-chan, ROUGIR comme des dingues et ouvrir la bouche parce que NICOLAS ROMERO vient d'entrer dans la pièce. Ahah. Pas du tout envie de faire du Romeoirome. 

(si)

Enfin, concluons avec ce petit jingle, que le romeharem pourra chanter en choeur : 

Coeur sur vous, soyez sages et à la prochaine~