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La confusion du cœur [2/3].

Suite du flashback.

     Nous décidons qu'avant de chercher une auberge dans laquelle passer la nuit, il serait préférable d'aller chez le commanditaire de la mission.

     Tout en marchant, les habitants me reconnaissant me saluent gentiment.

     Normal, j'ai fait partie de l'ancienne guilde de la ville. Et avec ce qu'il s'est passé...

     Je souffle.

Léon : si tu es fatiguée, on peut toujours la renvoyer à demain, cette visite.

Moi : non, c'est bon.

     Nous continuons notre chemin et arrivons à l'adresse. Je toque et, quelques secondes plus tard, une jeune femme très belle nous ouvre.

Dame : bonsoir. Puis-je vous aider?

Léon : je suis Léon, un mage de Lamia Scale et voici ma coéquipière, Wendy de Crime Sorcière. Nous sommes là pour la mission.

Dame : entrez, je vous en prie.

     Ce que nous faisons. Elle nous invite à la suivre et nous débouchons dans un grand et joli salon.

Dame : veuillez prendre place s'il vous plaît, je vais chercher mon époux. Il sera plus apte à vous expliquer en quoi consiste la mission. En attendant, Lily, tu veux bien leur apporter des collations et du thé, s'il te plaît?

Lily : oui madame.

     Je fronce les sourcils en regardant cette Lily. Elle a une odeur d'homme sur elle. Faible, mais je la sens. Elle est pareille à celle qui est sur la dame.

     Nous nous asseyons et attendons. Elle revient très vite avec ce que la femme de maison lui a demandé et s'en va aussitôt.

     Je prends une gorgée de ma tasse de thé et un biscuit, et lorsque la porte derrière nous s'ouvre, Léon et moi nous levons et nous retournons. Mon cœur rate un battement en voyant celui qui est le mari d'une femme aussi gentille que celle qui nous a accueillis.

??? : bonsoir chers mages. Rasseyez-vous, s'il vous plaît.

     Il nous traverse et ce même parfum qu'a Lily me monte aux narines alors que nous nous asseyons.

??? : j'espère que vous avez fait bonne route.

Léon : oui, merci.

??? : je me nomme Vincent Vadim.

Léon : Léon.

Moi : Wendy.

Vincent : si j'ai fait appel à vous, c'est pour que vous vous occupiez d'un monstre qui rôde autour de chez moi depuis près d'une semaine maintenant.

Moi : savez-vous à quoi il ressemble?

     Je n'aime pas son regard sur moi.

Vincent : non, malheureusement.

Léon : très bien. Ne vous en faites pas, on s'en charge dès ce soir.

Vincent : très bien, merci infiniment. Lily, montre les leurs chambres.

Moi : non, on sera très bien dans une auberge, merci.

Vincent : j'insiste. Et ça vous facilitera la tâche.

Léon : il a raison.

Moi : je sais mais...

     Je soupire.

Moi : bon, d'accord. Côte à côte, de préférence.

Vincent : tu as entendu.

Lily : si vous voulez bien me suivre.

     Nous nous levons et portons nos sacs. Lily nous montre nos chambres et je pose mon bagage sur le lit avant de sortir et de rejoindre Léon dans sa chambre.

Moi : désolée de pas avoir toqué.

Léon : pas grave.

Moi : tu ne trouves pas ça étrange que le monstre ne les attaque pas?

Léon : si. C'est à se demander s'il existe vraiment.

Moi : de toute façon, on le verra cette nuit.

     Il a dû remarquer mon air soucieux car il me demande :

Léon : ça va?

Moi : oui... Je vais bien. J'y vais. Je vais commencer à inspecter les alentours.

Léon : je te rejoins dans quelques minutes.

     Je hoche la tête et sors de sa chambre.

     Je sors de la maison et cherche des traces de pas, des résidus de magie ou n'importe quoi pouvant m'aider. Dans le jardin, je trouve Vincent, seul.

Vincent : mademoiselle Wendy, qu'est-ce qui vous amène ici?

     Surtout pas l'envie de voir ta tête de sale porc.

     Il se rapproche de moi pendant que je réponds :

Moi : j'inspecte les environs pour trouver quoi que ce soit sur votre monstre.

Vincent : ce n'est que ça?

     Il arrive à ma hauteur et me regarde lubriquement.

     Se souvient-il de moi? Certainement pas. Il ne nous aurait pas invité à rester, sinon. De peur que je n'avoue tout à sa femme.

Moi : oui, pourquoi?

Vincent : vous êtes une ravissante jeune femme.

     Et c'est parti pour un tour.

Moi : merci, mais maintenant si vous voulez bien me laisser continuer ce pour quoi je suis là...

     Je le contourne et poursuis mes investigations.

***

     C'est la nuit. Je me réveille, déranger par des bruits... Des cris.

     Je sors de ma chambre et me guide grâce à eux, jusqu'à arriver à une porte entrouverte dont s'échappe de la lumière.

     Avantage d'être chasseuse de dragon. Du haut, une personne normale ne peut pas les entendre.

     Je jette un coup d'œil à l'intérieur et rougis en me plaquant contre le mur.

     La curiosité est un vilain défaut.

     Une odeur étrange et celle de larmes me parviennent avant qu'une voix ne retentisse :

Vincent : cette blonde d'il y a un an et demi était beaucoup plus appétissante. Dommage qu'elle ait pu s'échapper.

     Enfoiré. Il abuse de cette pauvre Lily et trompe sa femme dans sa propre maison...

     Je sors rapidement ma lacrima et filme la scène. Une fois qu'il a terminé sa sale besogne, je remonte à l'étage de ma chambre pour l'y attendre de pied ferme.

     Après quelques minutes, je le vois enfin remonter.

Moi : Mr. Vincent, tromper sa femme n'est pas vraiment très gentil. Et surtout abuser de votre domestique chaque soir comme le témoigne l'odeur qu'elle a de vous.

Vincent : je ne vois pas en quoi cela vous concerne. Ou alors...

     Il me plaque au mur et relève mon menton de son pouce et de son index.

Moi : éloignez-vous de moi.

Vincent : vous ne voulez pas ressentir la même chose que votre amie blonde?

     Il s'en rappelle.

Moi : sale porc.

     Il me bloque complètement.

     Je fais quoi?

     Je lui donne un coup de boule et il s'éloigne de moi, un peu sonné, mais moi aussi.

Moi : vous avez violé mon amie pendant des jours! Vous l'avez brisée, détruite, souillée!

Vincent : c'était un pur plaisir.

     Je vais... Je vais...

Moi : je vais vous tuer!

     Je le rue de coups, alertant sûrement Léon. On m'arrête le bras lorsque je m'apprête à lui donner un énième coup de poing. Dans une colère noire, je me débats, mais me sens violemment plaquée contre un torse et serrée dans des bras alors que les larmes coulent sur mes joues.

Léon : calme toi Wendy... Il est évanoui. Tu vas le tuer si tu continues. Et je ne crois pas qu'il vaille la peine que tu te salisses les mains.

Moi : il a fait souffrir Lucy... Il a profité d'elle... Il...

     Je m'écroule, n'en pouvant plus, et me retourne vers Léon pour le serrer dans mes bras tout en continuant mes pleurs.

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