Parti 8.
-Mon dieu !, s'exclama Eren.
Il n'oublierait jamais le son que fit la tête de Livai en heurtant le sol, ni la manière dont il gisait, recroquevillé sans bouger.
En dévalant l'escalier, horrifié, il se dit qu'il était mort.
Il retint son souffle, s'agenouilla près de son corps inerte et en chercha le pouls.
(Eren) Je vous en pris, faites qu'il vive, pria-t-il pour la première fois de sa vie, à mi-voix.
Quand les paupières de Livai remuèrent, puis qu'un faible gémissement s'échappa de ses lèvres, Eren soupira profondément. Son soulagement s'avéra presque aussi grand que son sentiment de culpabilité.
Parce que c'était sa faute s'il était tombé. Qu'avait-il donc cru faire en le menaçant et en le poursuivant de la sorte ? Pas étonnant qu'il ait paniqué.
Revenu en amant répétant prêt à s'excuser, il avait dû attendre le départ d'Erwin Smith, rongé par une incontrôlable jalousie. Parce que, en voyant la voiture de sport et sa plaque d'immatriculation personnalisée, il avait deviné quel genre d'homme était l'agent immobilier. Et quand il avait vu ce bellâtre s'éloigner avec un sourire suffisant, il s'était précipité tel un sauvage, guidé par des émotions primaires, pour obtenir de force ce qu'il désirait.
(Eren) Je suis tellement désolé, gémit-il en se demandant ce qu'il devait faire. Terriblement désolé.
Il chercha à passer un bras sous lui, et il ouvrit les yeux d'un coup.
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