Chapitre 7 : Offensif toujours
Dimanche 9 août 1914 1914 :
Nous avons bien fêté la libération de Altkirch la veille, et nous apprenons ce matin que la ville de Mulhouse, aidée de mon père et de ses camarades, est reprise, comme un symbole. L'armée croit en une guerre ultra offensive, récupérer l'Alsace, foncer en Allemagne jusqu'à Berlin pour les faire capituler, voila le plan enfantin que nous demande nos supérieurs. Nous n'étions pas des militaires, nous n'avions pas eut de formation en ce sens, mais nous savions pertinemment Philippe et moi que cette stratégie est idéale pour créer la surprise, mais la surprise tombée, nous serons vite surpris nous-même pas mes contres-offensives. Pour le moment, nous occupons notre journée à réparer les fortifications et à dégager la voie pour nos troupes. Nous sommes sur nos gardes, nous pouvons attendre une attaque des allemands n'importe quand. Philippe et moi-même surveillant les alentours en haut du cloché de l'église. La campagne alsacienne est belle, et le serait d'autan plus s'il n'y avait pas cette guerre. Plus personne n'est aux champs, et les soldats investissent les rues. Je jures de revenir en Alsace une fois le conflit terminé, que la vie normal reprend son cours.
Lundi 10 août 1914 :
Ce qui dû arriver arriva. Ce matin, les allemand ont débarqués de la forêt voisine, prit la route, et nous attaquer en force. Nous devons reculer pour ne pas nous faire massacrer, mais nous essayons de tenir nos positions par des tranchées sommaires, en vain. Je tire pour la première fois avec mon fusil, et je touche un allemand à l'épaule, qui s'écroule sous la vitesse et la force du projectile. Nous reculons si bien que nous revenons en France, à la frontière même, et maintenant, notre offensive se résulte désarmer à une défense. Nous étions dispersés vers Fontaine, mais les régiments se regroupent, et rejoint par des nouveaux hommes venus de la région Centre, nous marchions vers Mulhouse, elle aussi retombée au mains des allemands. '
Jeudi 13 Août 1914 :
Nous marchions lentement sur Mulhouse, surpris ici et là par l'ennemis, mais seulement des éclaireurs. Nous profitons de la boisson offert depuis peu, le pinard qui est sensé nous faire oublier tout nos problèmes et nous faire tenir. L'alcool est horrible, un vin fait à la hâte, juste bon pour nous, chair à canon. Nous avons de moins en moins de nouvelles des autres régiments et compagnies, je ne sais pas plus ou est mon père en ce moment. En arrivant à Reppe-Bréchaumont, nous attaquons les allemands stationnés ici. Deux compagnies leurs font subir de lourdes pertes, pendant ce temps, mon groupe se dirigeait vers le centre du village pour sécurisé le village. Nous perdons encore un gradé, touché à la tête.
Samedi 15 Août 1914 :
Je suis désigné avec phillipe est quelques autres pour une mission. Pendant que le groupe continu sa marche vers Mulhouse, nous devons rejoindre une division. Nous partons pour Elbach, assurer la liaison avec les différentes divisions. Nous prenons le Viaduc de Dannemarie toute la journée, et nous le gardons la journée, ordre du colonel Bourquin. Nous surveillons les alentours, profitant de la vue sur la plaine des Vosges.
« On arrivera pas à prendre l'Alsace à coup d'attaque, se plaint à moi Philippe, grattant sa barbe qui commence à pousser.
- Avec de la stratégie, on l'aurait reprise l'Alsace, on aurait même pu surprendre les allemands. Mais voila ou nous en sommes.
- Tu crois que la guerre va finir avant Noël ?
- Peut-être, mais c'est compliqué. »
Nous prenons une gorgé de gnôle. Il faisait chaud encore ce 15 août, et il ne manquerait plus qu'un orage vienne nous freiner dans l'effort...
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