Le soleil décida enfin de sortir de sa cachette, laissant sa complémentarité, la lune partir à son tour. L'aube pointait donc son bout de son nez, qui réveilla un doduo, décidant de faire le même châtiment aux autres avec son chant. La petite campagne, éloigné de tous, sur les terres de Johto ne fut pas une exception à la règle. Loin, les champs de blé, couleur or volant aux grès du vent, grâce à la douce brise du matin, deux grandes fermes vivant assez prêt l'une de l'autre aller aussi se mettre en marche.

Lavande, décendit de sa chambre à toute vitesse passant par les escaliers grinçant. Elle embrassa ces parents par la même occasion, ceux ci restant assez distant. Sa mère aurait voulu une fille plus belle et moins enfantine. Qu'est ce qu'elle pourrait en faire... .

La jeune fille, elle, mangea son petit déjeuné composé de gâteaux aux chocolats accompagné de lait Meuh-meuh. Puis, après s'être s'habiller à vitesse d'un Zebrion, elle leur cria à ses parents en sortant de la petite bâtisse :

- J'y vais ! On se voit tous a l'heure !

Puis laissant ses parents dejeuner à leur tour, elle alla dans le batiment en face de sa petite maisonnette. Leur ferme familiale. A côté d'eux, une autre ferme, spécialisé dans les produits d' écremeuh : lait, crème fraîche... . C'est ici qu'ils s'apprisionaient.

Elle fit un signe de la main, au paysan qui y travaillait. C'était un vieux monsieur, à la peau ridé etvdefraichie. Ses cheveux blanc court et ondulé bougeait en même temps que son mouvement dur et répétitif. Ses yeux noirs était remplis de bon sens et de bienveillance, très apprécié chez ce vieux paysan.
Il la salua à son tour, toussa violament sous le regard inquiet de la plus petite et reprit son travail de labourer les champs avec une force et incroyable pour son grand âge.

Puis une demoiselle sorti de nulle part, avec vivacité et tous sourire lui adressa avec entrain :

- Salut Lavande !

- Bonjour Cerise, lui répondit elle plus calmement.

Cerise, de ses 12 ans, avait des cheveux mi long roux presque couleur corail et des yeux émeraudes magnifique toujours joyeux. Elle était la petite fille du fermier de produit écremeuh, Monsieur Okina. Elle était orpheline, depuis son plus vieux souvenirs, et avait appris a vivre avec. Grâce à son grand père, elle ne s'était jamais sentit seule.

Elle était accompagné de ses deux Evoli, comme d'habitude. L'une couleur caramel et l'autre gris. Le frère était Yoru, sinifiant la nuit car il adorait traîner à la belle étoile, mais il était aussi un pokemon chromatique. La soeur, Sakura, venait du faites qu'elle jouait toujours autour des cerisiers en fleur. C'était ainsi que les avaient nommés Cerise, leur dresseuse qui les avait depuis que son oncle le lui avait offert, il y a un peu près huit ans maintenant.

- Tu vas où ?

- Chercher de l'eau au puit. Après j'irais extraire le miel des aspireine
Tu m'accompagnes pour la première étape ?

- Bien sûr ! Lui assura la rousse en souriant de toutes ses dents.

Elles partirent ainsi vers le puit, avec joie et bonne humeur, suivi des deux evoli qui s'amusèrent. Après quelques minutes de marche, elles arrivèrent à destination.

Mettant a rabord de la source de vie dans le sot, Cerise détailla sa meilleure amie. Ses longs cheveux bruns ondulés détaché, sauf ses deux mèches du devant qui étaient tressés comme d'habitude, et ses yeux violets d'où lui venait son prénom Lavande. Contrairement à elle, Lav', comme elle l'appelait si souvent, était une fille douce, sage et assez fidèle à ses coutumes, n'étant pas fane des nouveautés. Elle, était plutôt spontanée, sincère et toujours positive. Cerise aimait tellement l'aventure contraire à la fille aux yeux violets.

Allez. Tu peux lui dire. Tu peut le faire. Oui vas y. Pensa la rousse intérieurement avant de soupirer et de commencer, prenant son courage à deux mains.

- Ecoute Lav' je vais... .

- Qu'est ce que c'est ??! Cria sourdement surprise la brune en reculant et trébuchant sur son amie, la faisant tomber dans sa chute, l'eau renversée à côté d'elles.

- Quoi ??! Paniqua la jeune fille rousse, pendant que ses deux pokemon se mit devant elles, les crocs relevés.

A ce moment, un autre bruit de feuillages se fit entendre. C'était cela qui avait d'abord effrayé notre jeune demoiselle sans pokemon, connu pour sa peur constante et parfois un peu ridicule. Puis la bête étrange fini par sortir laissant apparaître... .

- UN HERICENDRE !!? Crièrent les deux filles étonnées.

Il était impossible, qu'un Hericendre vive seul dans cette campagne, reculé des villes. Surtout que les pokemon du départ vivait en captivité. Il a dû s'échapper ce petit malin. Ce dit Lavande en s'approchant de lui.

- Tu vas bien ?

Il releva la tête vers elle et acquisa. Mais il avait l'air totalement perdu avec sa bouille adorable.

- Il est trop chou !!! Relevèrent les fillettes, excitées de voir un pokemon du départ ici.

Il ne semblait pas comprendre, et tourna la tête visiblement interloqué. Les deux evoli vinrent à sa rencontre, et même si ils étaient méfiants au debut, ils finirent par jouer ensemble, signe qu'ils s'appréciaient.

- On peut pas le laisser seul ! S'indigna Lavande. Il vas être perdu dans ces champs ! Il en a mem deja l'air... .

- Oui, je suis d'accord. Puis tu t'en occuperas bien ! Acquisa sa meilleure amie.

- Moi ??!

- Bah oui toi ! De un tu t'es proposé en quelque sortes et de deux j'ai déjà deux pokemon moi, je peux pas un troisième. Pas en ce moment... .

Elle hésita, puis regarda le pokemon feu dans ses yeux prisés ou il était impossible de déceler la couleur de ces iris. Il était si mignon et avait l'air seul. N'aimant pas cela, elle fini par céder.

- D'accord Hericendre je te garde et je vais t'appeler... . Hi !

- Pourquoi ?

- Je sais pas... .

Elles se jetèrent un coup d'oeil et explosèrent de rire sans vraiment savoir pourquoi... .

- Mais attends ! Mes parents ne voudront jamais mes connaissants ! S'écria Lavande déçu, déjà attaché à cette créature.

- Alors prend cela. Lui tendit Cerise

La jeune fille reconnu immédiatement ce que la rousse lui donnait. Avec sa forme circulaire rouges aux dessus et blanc en dessous, une sorte de filament noir séparait les deux parties, avec au millieu un petit bouton blanc. Son métal froid se posa délicatement sur sa peau et la fit frissoner. Ce contact lui plaisait. Puis elle s'approcha du petit, s'accroupit en lui montrant la pokeball au creux de sa paume.

- Veux tu devenir mon pokemon ?

La bête ou jaillissait des flammes explosive en bas de son dos s'approcha, et doucement, avec son long museau tapa sur le bouton blanc. A ce moment, une sorte d'éclair blanc aux reflets bleus y sorta pour absorder le pokemon. Au bout de trois long secousse de la petite balle métallique,  un signe se fit signifiant que la brune avait son premier pokemon. Elle vit la pokeball rétrécir pour pouvoir la glisser partout plus facilement.

- Au moins comme ça ils ne le découvront pas à moi de te fouiller mais tu devras vite leur dire... .

Cerise Okina, son nom de son grand père paternel, souria face à la mine enjouée de sa meilleure amie. En plus ce pokemon serai un bon allier.

Il saura la protéger.

- Lav', reprit sérieusement Cerise, je dois te parler... .

- Oui ? L'écouta son amie en prenant la pokeball de ses deux mains pour la mettre contre son coeur, qui battait vite, ses yeux violets petillant de bonheur.

- Comme tu le sais mon grand père est malade.... Très même. Et pour son bien, nous allons l'envoyer dans un endroit plus calme pour qu'il se repose... .

- Oh pauvre Monsieur Okina... . Mais alors c'est toi qui vas reprendre la ferme ?

- Non. C'est mon cousin, Tom va reprendre.

- C'est bien. Tu vas continuer de t'occuper avec ton cousin de la ferme familiale... .

- Nan, tu n'as pas compris. Il va reprendre seul la ferme.

- Et toi ?... Demanda t-elle craintive de la réponse.

- Je vais partir voyager ! J'ai 12 ans, je peux partirent à l'aventure ! Et je vais le faire avec Yoru et Sakura ! Ajouta t-elle en regardant ses evoli.

- Mais... .

- Ecoute, Lav' tu peux partir aussi. Qu'est ce qu'il tent empêche ? Rien ! Moi, j'ai pris ma décision.

- Et tu vas ? S'informa la brunette.

- A Kalos.

- Quand ?!

- Dans moins d'une semaine, cinq jours plus précisément en contant aujourd'hui.

- Ah... . Chucota t-elle, dans un soupire presque inaudible en baissant la tête.

- Bon j'y vais, je dois traire les écremeuh ! Il vont pas se le faire tous seuls ! Même si cela serait pratique ... . Bon à tout à l'heure !

- Oui à toute... . Termina t-elle toujours la tête basse, n'osant plus regarder sa meilleure amie, de peur de pleurer face à son départ si soudain.

Lavande soupira longuement et bruyamment. Et malgré son incroyable envie de découverte, surtout avec Cerise et son tout premier pokemon, elle continua de se répéter :

Je ne pourrais jamais partir. Cela me fait beaucoup trop peur. Nan, rien ne me fera partir de Johto. Je ne partirai jamais. Jamais... .

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Quand le réveille sonna, Elizabeth ouvrit doucement ses yeux bleus azurs éblouit par les rayons du soleil qui traversait sa fenêtre. Elle grogna un moment pour finalement ouvrir ses paupières entièrement, puis elle se leva, vêtu de son pyjama Dedene, et elle descendit les marches de l'escaliers en colimaçon en bois, faisant voler ses longs cheveux corbeau dans tous les sens. En bas son Couafarel, Titi, se jeta sur elle, lui laichant son visage encore ensoleillé. Elle ria face aux fêtes que lui faisait son pokemon familial. Puis elle continua sa route et entra dans sa cousine moderne, voyant sa mère la nettoyer.

- Bonjour Mamounette ! Lança joyeuse, Élizabeth.

- Bonjour ma Rondoudou. lui répondu tendrement sa mère, en détachant quelques instants ses jolis yeux du plans de travail en marbre.

- Tu as vu maman, commença la jeune fille de 10 ans, Dans 4 jours c'est... .

La dame de quarante ans c'était stoppé dans son travail. Ses yeux bruns avait l'air un peu retissant à ce qu'elle allait dire.

- Chérie, la coupa t-elle sèchement malgré elle. Vas t'habiller et chercher du pain s'il te plaît.

La petite ébène aux yeux azurs fronça les sourcils et repris plus froidement.

- D'accord.

Puis elle alla dans sa chambre tandis que le son pokemon blanc se posa sous la table.

La haut, elle chercha dans son immense penderie la tenu parfaite, mais s'écria soudainement entre deux habils :

- Nan mais j'y crois pas ! C'est bientôt mon anniversaire, je vais partir en voyage et tous ce qu'elle me dit c'est "Vas chercher le pain " ! Sérieusement ! Nan mais oh !

Puis attrapant une t-shirt rouge et un short en jean blanc, elle les enfila avec sa veste préfèrée, celle de couleur argenté. Elle coiffa ses cheveux noirs, mettant sa frange effilochée en évidence, mit par la suite sa capuche à cause du vent pour ne pas attraper froid au oreilles et se chaussa avec des bottes noirs plates. Elle redescendit et appela son toutou :

- Viens Titi, on vas chercher le pain.

Le couafarel se précipita vers elle, et la suivi aux pas. Elle traversa sa ville natale, Romant - sous - bois. Elle connaisait tous le monde par coeur, mais ne fit attention à personne, trop énervée pour cela. Ses cheveux d'habitude impecable étaient redressés malgré qu'elle est essayé de les rendre potables, ses yeux si représentatif de son émotion avaient l'air colérique, et surtout ses joues étaient gonflés, signe ultime de l'agacement chez Elizabeth.

Arrivant devant la petite boulangerie, elle y sortit aussi vite qu'elle y était rentrée. Avec ses deux baguettes à la main, mais toujours dans son état.

Finalement, elle passa devant L'arène de Romant - sous - bois. Là où elle était.

- Mademoiselle Elizabeth ?

C'était Rosie, une jeune femme, ayant à peine 20 ans, qui lui avait parlé. Elle était de nature douce et agréable.

- Rosie. Répéta, non plus dans son esprit, mais à voix haute Elizabeth.

- Vous êtes venu voir votre soeur, Valériane. C'est ça ?

Valériane. La célèbre championne d'arène de type fée. Connu pour sa beauté, sa force, son goût pour la mode. Elizabeth n'etait que sa petite soeur. La maladroite et la petite Élizabeth puérile et reveuse contrairement à la belle étoile, l'intelligente Valériane, l'incroyable, la sublime.

- Nan, j'étais la pour le pain de base. Mais comme je suis passer devant, j'ai admiré le batiment. Il est si étonnant.

En effet, c'était très atypique comme Arène. La jolie maison aux toits en ardoise bleu foncé, et au briques lui donnant son cachet si particulier se fondait dans le village à un petit éléments près. Un arbre la traversait. En plus d'être l'arbre le plus imposant du village, il fondait la maison comme pour dire que la nature s'inviterait dans les combats.

- Bien. Oh j'ai quelques choses pour vous. Dit elle en fouillant dans son sac a main, jaune Pharamp.

- Hum ...?

- Voilà ! lui tendit elle.

C'était un petit cadeau enroulé dans un joli papier fleuri rouges et bleu.

- Merci ! La remercia énormément émue la jeune.

- Vu que serai absente le jour de votre anniversaire, je vous le donne en avance. Mais ouvrez le, que le jour J. Sinon, ça vous porteras malheur.

- D'accord rigola la plus jeune. Je l'ouvrirai le jour même je vous le promet.

- Aurevoir.

- Oui, à bientôt Rosie !

Puis elle repartit nous dans sa petite maisonnette, hâte d'être le 13 août, pour pouvoir enfin partir en voyage pour élargir ses connaissances de sa passion : les pokemon de type fée. Une autres resemblance avec sa grande soeur... .

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Oihana marchait avec grâce et élégance. Elle avait toujous vécu ainsi. Ce voulant, quoi qu'il arrive, dans un état de beauté suprême. Habillée de son kimono, aux motifs floraux, elle se déhenchait avec classe et pureté comme on lui avait inculquée depuis son jeune âge, ses cheveux de jais attachés en un haut chignon, sa frange dégagée en arrière. Ses sandalettes en bois craquerent contre le parquet. Son accélération soudaine etait signe de que sa destination était proche et qu'elle ne voulait pas l'impatienté.

Elle toqua doudement et l'homme derrière la salle lui ordonna d'entrer. Elle le fit, en refermant la porte traditionnelle, digne de la culture de Johto.

Elle s'assit près de son paternel. Il avait des long cheveux noirs parsemé quelques mèches grises. Son visage était remplis de rides presque invisibles et de petites pattes de Bondybou, sous ses yeux sombres.

- Vous m'avez appelé père. Indiqua la brunette, en baissant la tête, signe de respect.

- En effet. Laisse moi t'expliquer. Notre famille à eu quelques problèmes avec une mafia très dangereuse .... .

- Je croyais que la team rocket avait été détruite... . Il y a un moment deja meme... . S'étonna la noirâtre, en pensant à voix haut, interrompant donc son conteur.

- C'est le cas. C'est une autre team beaucoup plus sombre, mais je ne peux t'en dire plus. Tonna t-il d'une voix grave qui fit tressaillir sa fille, cette dernière l'ayant arrêté dans ses explications.

- Et elle se trouve à Jotho ? Demanda t-elle, plus craintive, mais voulant en plus en savoir, sa curiosité prenant le dessus.

- Oui et non.

La demoiselle fronça les sourcils. Elle ne comprennait plus. Son père le remarquant, continua ses faits :

- Elle est dans toute les régions et c'est cela qui la rend si dangereuse. Chaque region est envahi et il se dissimule très bien.

- Et quel est le rapport avec moi ? Interrogea sa fille, les yeux curieux mais surtout qui appréhendaient.

- C'est simple. Ici c'est trop dangereux. Je vais te faire partir.

- Quoi ? Articula t-elle, toujours perdue.

- Tu vas aller à Kalos. Là bas personnes ne nous connais et ils ne sauront qui tu es. C'est parfait. Tu vivras chez quelqu'un que je connais, ne t'inquiète pas. Expliqua l'homme mure.

- Mais je croyais qu'il étaient partout ?

- C'est le cas mais, si ils ne te reconnaisent pas, peu importe qu'il y en a là bas. Tu seras plus en sécurité à Kalos.

- Mais et toi ? Continua sa fille, de petite taille, avec peur.

- Je ne peux partir, moi. J'ai des responsabilités ici. Et n'essaie pas de m'en dissuader. J'ai déjà pris ma décision, Oihana.

- D'accord... .

- Maintenant, tu peux disposer. Termina t-il en reprenant son thé vert, tous en tournant le dos à sa fille, pour regarder le paysage de sa terrasse traditionnelle.

Elle entra à peine dans sa chambre, qu'elle s'écroula contre la porte. Pourquoi devait elle partir ? Elle n'avait pas envie, elle aimait tant sa ville ! Elle adorait les coutumes, la tour cendrée ou elle y allait tous les jours, et voulais y vivre à jamais. Elle soupira longuement, tout en  continuant de s'apitoyer sur son sort.

Mais un petit museau noir lui vient tiré de ses tristes pensées. Son petit et adorable museau humide. La petite Givrali, faisait la moue, inquiète pour sa maîtresse. Avec son beau pelage bleu glace comme son type, et ses longues oreilles pendantes qui remuaient dans tous les sens, tandis qu'elle essayait de réconforter Oihana. Celle ci l'attrapa et la mit sur ces genoux, elle la carresa, elle et son pelage doux couleur bleu cyan magnifique.

- On vas découvrir une nouvelle région ensemble ? Pouffa avec solitude l'ébène, ses yeux gris, laissant coulé des l'armes.

Si pour certains voyager était un rêve, pour Oihana c'était un fardeau. Elle aimait trop se ville natale pour la quitté. Mais elle en était obligé et cela lui si mal au coeur, que ses iris se noyerènt dans des torrents de regrets et d'amertume.

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A quelques pas de la, ce trouvait le célèbre Dojo Kumika dans la ville si joli de Rosalia. Ce dojo était connu pour ses qualités de dresseur mais aussi car il faisait l'honneur de garder un style de combat très ancien, autre que les affrontements de pokemon évidemment.

Ce dernier était le Kendo. Le Kendo, était un style de Johto, très connu pendant les guerres. En effet, les dresseurs se battait aux sabres, au côté de leurs pokemon. A la base, ce style de combat au sabre de bois ou acier, permettait de protéger les gens. C'était la basse, l'essence de cet art martial, très populaire à l'époque.

Et ici, il restait connu malgré le fait qu'on le laissa de plus en plus de côté.

Mais ce n'était pas l'ambiantion de Kaoru. Elle voulait devenir une incroyable sabreuse pokemon, comme on les appelait, afin de protéger les plus démunis. On ne pouvait pas tous être des experts en combat pokemon ! Et cela était normal. Et son ambiontion, sa raison de vivre était de les protéger eux.

Muni de son sabre en bois, elle faisait ses échauffement habituel seule. Kaoru était l'unique élève feminin de cet endroit et n'avait pas vraiment envie de traîner avec les garçons qui la haïssait, car elle était plus talentueuse qu'eux. Mais malgré cela et leur répétitives tentations de la blessée, elle faisait son nécessaire pour leur clouer leur bec de Vaututrice !

Puis un petit bruit, resemblant à un rugissement l'alerta :

- ' oli !

C'était un petit pokemon  orange foncé très fougueux, avec une petite fourrure blanche autour de son cou et des yeux bleus claires joyeux qui la fixait intensément. Sa longue queue touffu blanche remuait dans tous les sens tellement le pokemon était excité.

- Salut Pyroli !

Le Pyroli était le pokemon de Kaoru depuis... . Très longtemps. Combien de temps exactement ? Aucune idée. Peu être depuis c'est sept ans... . Sachant qu'elle en avait maintenant douze, mais pour elle c'est comme si elle avait toujours été là. Elle ne voyait pas sa vie sans son Pyroli depuis que ses yeux écarlates s'etait posés dessus.

- Kaoru ! Kaoru ! L'appela une voix féminine.

- J'arrive !

Elle rentra à l'intérieur du bâtiment typique de sa région, et alla à la salle de la cantine. Tous ceux qui apprenait le Kendo, ou presque, vivait ici. Ils mangeaient donc tous ensemble. Finalement, elle arriva et se posa à l'écart des autres, tous en prenant son bol de riz sur le " buffet " qu'avait fait leurs maîtres.

- Encore seule Kaoru ?

Elle releva sa tête même si elle savait qui c'était. Sa voix grave accompagné de son ton bienveillant et relevé par sa malice et son sarcasme.

- Maître Tomoyo.

L'homme, d'une trentaine d'années, avait des cheveux long blond attaché en queue de cheval. Avec un style vestimentaire disons discutable... . Il n'était pas ce que l'ont pourrais dire, un sabreur d'exception si on ne contait que sur son apparacence.

Pourtant il paraissait vraiment fort et imposait le respect quand ont le voyait combattre ou que même l'on connaissait ne serai ce qu'un de ses nombreux exploits.

Il se mit en face d'elle, tandis que le pokemon feu de la filette se mit sur ses genoux. Kaoru, assit à même le sol, comme la tradition le voulait, se redressa un peu pour ne pas paraître " insultante " envers son maître.

- Pourquoi es tu seule ?

- Parce que les autres ne m'aime pas et que c'est réciproque. Dit elle avec évidence et d'un ton totalement détaché.

- Tu les hais ? Inspecta t-il en guettant chacuns de ses mouvements.

- Non, je n'irais pas jusque là. C'est juste que je ne les apprecie pas vraiment.

- Je peux te dire un secret ? Poursuivit il.

- Si cela vous chante... .

- Je pense honnêtement que tu es la meilleure élève que nous avons eu au dojo.

Elle, qui continuait à manger son riz, écarquilla ses yeux rouges toujours lumineux, et déposa ses baguettes et son bol noir sur la table en bois basse. Son coeur battait à cent à l'heure. Elle la meilleure ? Sa volonté aurait elle payée grâce à ses entraînement durs et répétés. Elle ne pouvait croire qu'elle était si " incroyable " qu'il le disait.

- Pardon ?

- Oui je sais, ça peut te paraître fou... . Mais tu as un excellent niveau pour mon ton âge et ton ambiontion fera l'affaire pour le reste. Sans oublier ton incroyable amour pour les pokemon. Je penses que tu pourrais même rentrer dans la légende.

- J-je... . Bredouilla la fillette aux cheveux corbeau, encore choquée par les aveux si soudain de son maître sur ses qualités de sabreuse.

- Enfin sabreuse féminine évidemment. Mais peu être qu'un jour tu nous dépasseras tous. Sourit - il.

- Je l'espère... . Divaga un peu la demoiselle.

- Vous êtes là ! Intervient la voix de tout à l'heure.

C'était une belle blonde vénitiennes qui parlait de manière forte et combattive. Elle était l'héroïne de Kaoru, car comme elle, la femme c'était battu et avait réussir à devenir une sabreuse dresseuse professionnelle, connue, et même une proffeseure exemplaire.

- Maître Haisha ! S'écria la fille au pyroli qui se réveilla soudainement, et aux yeux couleur sang.

- Je peux manger avec vous ? Demanda avec douceur et respect la femme.

- Oui ! Répondit immédiatement la plus jeune, tandis que sa créature sur ses genoux la regardait comme si elle n'était plus elle même.

Malheureusement pour Kaoru, elle n'avait encore jamais eu Itsuko Haisha comme proffeseure.

Peu être l'année prochaine... continua de croire avec force la noirâtre aux yeux petillant.

Puis le reste du repas, les deux maîtres et l'apprentie discutèrent joyeusement, sous l'oeil envieux des garçons voulant aussi profiter de leur enseignant.

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Et voilà ma nouvelle histoire ! Bon je dois avouer c'est un peu étrange mais nous suivons d'abord individuellement les héroïnes. Personnellement j'ai vraiment hâte de continuer surtout sur la région de Kalos ! Voilà merci pour tous ! Et j'espère qu'elle vous plaira ! Mais du coup il faut que je vous dises que par conséquent TOUTES les histoires est un rythme régulier. Mais avec les cours qui vont reprendre cela serai beaucoup moins rapidement  ( même si je suis pas d'une rapidité extrême ) C'est tout !

Elena Yume Robin Scarlette.