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Chapitre 32

Malgré son têtu, Malosse montre enfin sa vraie apparence à Evolia. Blond aux yeux marrons, elle comprend pourquoi il ressemble autant à Pikachu que l'a prétendu Raichu. Sauf qu'une fois dévoilé, il se jette sur Evolia pour l'embrasser alors qu'elle lui disait ce qu'elle avait sur le coeur.

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Je n'arrive plus à bouger, et je ne cherche pas à le faire non plus. Il écarte rapidement son visage de moi et plante son regard dans le miens alors que je suis encore paralysée par la situation.

- Tu... tu...

Je n'arrive plus à parler, je ne sais pas quoi dire. Il détourne son regard et s'éloigne de moi, et bien que j'ai envie de le rattraper, je ne peux rien faire, je n'arrive pas à bouger ou même à parler. Il retourne voir les autres, je ne sais pas quoi faire. D'un coup je me sens partir vers lui, lui enlève sa capuche remise, et le bloque du mieux que je peux.

- Pourquoi tu pars aussi vite, reste avec moi s'il te plait !

- Tu sais très bien ce que je pense de tout ça, lâche moi.

Je le laisse partir, je sais que je ne peux pas le retenir, il est beaucoup trop têtu pour que je puisse faire quoique ce soit maintenant. Je ne fais donc que le suivre machinalement et reste à côté de lui tant qu'il marche, essayant ainsi de le rassurer. je n'aime pas être une Aquali, ma queue est vraiment gênante à traîner par terre sans cesse. En mentali encore elle est fine et légère mais là... Une fois les autres retrouvés, je m'assois à côté de lui et essaie de faire en sorte que les autres ne posent pas questions qui pourraient me rendre plus mal à l'aise que je ne le suis déjà.

- Tout va bien ? Demande Pikachu qui semble rigoler plutôt que s'inquiéter.

- Oui je me suis calmé, répond Malosse qui malgré son calme apparent serre les poings beaucoup trop fort.

La fête est finie, il n'y a plus beaucoup de monde dehors, et même les élèves rangent la scène et les guirlandes. Tout le monde remonte dans sa chambre et malgré tout les problèmes qu'il y a pû y avoir, je suis heureuse de cette soirée qui ne s'est pas trop mal déroulée.

Je suis dans la salle de bain et me met rapidement en pyjama pour laisser la voie libre aux autres. Je me regarde un instant dans le miroir et commence à me concentrer sur mon reflet. Je me perd dans mes pensées en songeant à ce que je ressens pour Malosse. Pourquoi je l'aime ? Pourquoi son histoire me rend triste à ce point ? Pourquoi je m'inquiète autant pour lui ?

- Tu te dépêche ? j'entends au travers de la porte, ce qui me sort de mes pensées.

Je prend rapidemant mes affaires, manque de tomber, ce qui me change de mon habituelle routine, et me précipite prudemment hors de la salle de bain. Tout le monde me regarde en rigolant, et moi comme une idiote je me demande pourquoi. Les gars détournent les yeux et je me rend compte que la seule chose qui cache mes seins ce sont mes affaires fraichement ramassées.

- Zone en travaux les gars ! Annonce Raichu en leur mettant une petite tappe sur le haut de la tête. On ne regarde pas tant que ce n'est pas fini.

De mon côté je me dépèche d'enfiler mon haut et déploie ouvertement que je ne suis " plus à poil ". J'attrape les deux T-shirt des gars qui me prient de les garder pour le jour ou je n'aurait plus de pyjama.

- Dites que je suis moche aussi les mecs ! Si je puis me permettre j'ai été élue Miss Univers cinq fois de suite et aie participé à des centaines de défilés de mode. Vous avez en face de vous une star !

Je prend une des rares robes trouvable dans mon placard, l'enfile bizarrement au dessus de mon pyjama et me met à défiler au milieu de la pièce en me faisant passer pour quelqu'un de suivi par les paparazzi.

Tout le monde rigole sauf Malosse, lui il ne rigole pas, il sourit. Il me sourit. Je retire ma robe une fois qu'il détourne le regard, puis je m'approche en marchant vers lui, sous le regard interrogateur des autres colocataires. Je m'assois à côté de lui et pose ma tête sur son épaule bien qu'il soit recroquevillé dans son coin. Je ferme les yeux, car tout le monde me regarde étrangement : une sorte de mélange entre de l'étonnement et de la satisfaction. Surtout Pikachu, qui lui me regarde insistement. J'essaie de m'endormir, exténuée de cette journée et y arrive au bout de peu de temps.

Je me reveille durant la nuit. Tout est noir mais je distingue les silhouettes de mes amis qui dorment profondément, sauf Malosse qui est toujours dans son coin. Etonnement il ne dort pas, je l'entend à sa respiration beaucoup trop rapide, et je décide de me coller à lui totalement. Il tourne la tête brutallement, ne s'attendant pas à ce que je bouge et manque de se cogner la tête contre le mur.

Je me rapproche de son visage, et bien qu'il l'éloigne je continue de m'approcher, il tourne la tête ce qui me met face à son oreille. Je lui chuchotte doucement pour ne réveiller personne : "Je t'aime".

Je lui ai dis, pas sous le coup de la colère, de la peur ou autre, je lui ai dit calmement, j'ai pensé mes mots.

Je sais que je suis une Nymphali mais j'arrive tout de même à le voir malgré l'obscurité.

- Evolia, s'il te plaît, tu sais ce que je pense de ce sentiment. Laisse moi avec ça.

Ses oreilles sont baissées.

- Je ne te demandes pas ce que tu en penses, je demande ce que tu ressens envers moi.

- Des choses...

- Rien de plus précis ? Je lui demande, essayant de décrocher une réponse en vain.

- Non rien de plus précis. Je ressens des choses envers toi mais rien de précis.

- Et le baiser de tout à l'heure ? C'était rien de précis ça aussi ?

Je me rend compte que j'ai dû parler à voix haute car Charmillon se met à bouger dans son lit. Je baisse le ton et essaie de prendre la main du pokémon ténèbre tout en espérant une réponse. Il la repousse et croise les bras, fermé à tout.

- C'était rien... Laisse tomber avec ça Evolia.

Je sais qu'il ne le pense pas, son coeur s'emballe et yeux semblent se mouiller.

- Je ne suis pas Feunard ou l'autre déception que tu as eu.

Je ferme les yeux, j'ai dis tout ce que j'avais à dire et que j'avais sur le coeur. Puis à trop prolonger cette conversation on va finir par réveiller les autres. Sur le point de roupiller, je sens son bras m'entourer et me serrer contre lui. Sa tête se pose délicatement sur la mienne et met la couverture sur nous, et bien que nous soyons assit dans un coin de son lit, je me sens plus à l'aise que n'importe où. Et avant de m'endormir, d'entendre "Je sais".

Le lendemain je me réveille dans la même position, il ne m'a pas lâché. Je cherche à me dégager, tout le monde est réveillé sauf Malosse. Mais il me sert encore plus fort contre lui, ne me lâchant pas une seule fois.

Pikachu me voyant en détresse m'aide à sortir de là et je l'aide à coucher Malosse correctement dans son lit sans le réveiller. Je reste assise à côté de lui, ou tout du moins j'aimerai car Pikachu me tire dans la salle de bain, évitant toute indiscrétion des autres.

- Raconte moi ce qu'il s'est passé au gymnase, depuis que vous y êtes allé, Malosse à changé, et toi aussi d'ailleurs.

Je lui décrit tout, les détails, et surtout le baiser, qui je l'avoue, m'a profondément marqué, sa transformation.

- Et bien tant mieux, non ? Il me dit tout content.

- Il ne veut pas m'écouter, il reste dans son coin. Il ne m'a pas explicitement dit qu'il m'aimait non plus...

- Il a toujours peur Evolia, laisse lui du temps, rapproche toi de lui et montre lui que tu n'es pas là pour le faire souffrir. Il l'a sûrement compris mais ne veut pas se l'admettre, sinon il ne t'aurai pas embrassé.

Je prends Pikachu dans mes bras puis sort de la salle de bain avant de me préparer quand tout le monde est sorti. Je chantonne dans mon coin, heureuse que l'amour que je lui porte soit réciproque. Enfin réciproque c'est vite dit, car à peine je rejoins le groupe dehors qu'il tente de partir. Heureusement il est retenu par Absol, mais ne daigne pas regarder autre chose que le sol sale qui n'a pas été nettoyé hier malgré la fête.

Et jusqu'au printemps, rien. Il s'éloigne de plus en plus, m'ignore, ne me parle plus et semble plus déprimé qu'auparavant. Ainsi deux mois sont passés depuis sa déclaration, depuis son baiser. Tout les jours j'y pense, mais quand je réussi à discuter ne serait-ce qu'une minute, la seule chose qu'il sait me dire c'est de le laisser tranquille car je sais ce qu'il pense à propos de ça.

Quelle tête de mule !

Nous sommes déjà le 23 Avril, il ne fais plus froid comme avant mais chaud à souhait. Les bourgeons sur les arbres éclosent d'eux même, les pokémon plantes ne faisant rien. J'ai enfin réussi à maîtriser totalement ma forme Aquali et Mentali, Mentali étant juste la manifestation du soleil, de la curiosité ou de la volonté.

Ils sont tous assis dehors, les vacances viennent de finir, et tout le monde est revenu au lycée aujourd'hui. Le samedi car pour se remettre dans les combats et tout le reste, les enseignants préfèrent nous faire venir avant. De toute manière, ici c'est un peu chez nous maintenant. Je les rejoins, heureuse de les retrouver, et leur fait à tous une accolade. Arrivée à Malosse, mon coeur s'emballe : cela fait deux semaines que je ne l'ai pas vu, le revoir me fait l'effet d'un éléctrochoc et je ne souhaite que le serrer dans mes bras. Mais le voyant la mine déconfite et la tête au sol, je suis attristée et décide de juste m'asseoir à côté de lui.

- Il se passe quoi ? Je demande au groupe.

- Feunard à décidé de nous mettre le moral à zéro dès le début ! S'exclame Charmillon qui est énervée.

Je pose ma main sur le dos de Malosse pour le soutenir, et même si il sursaute brusquement, il ne rechigne pas.

- Dites moi, vous ne vous seriez pas battu par hasard ?

- Disons que plutôt, elle a voulu se défouler, ne l'ayant pas fait durant deux semaines ! Me répond Pikachu en me montrant son bras. Mais on ne peut pas encore aller se soigner, on a fait de notre mieux avec ce qu'il nous restait comme potion dans notre sac mais les chambres ne s'ouvrent que dans deux heures, à seize heures.

Je vais regarder où sont blessé mes deux amis : Pikachu griffé à sang au bras et à la cuisse, et Dracaufeu au visage et à ses deux bras, zones les plus facile à atteindre.

- Personne d'autre n'a été blessé ? Je demande en sortant une potion de mon sac.

Tout le monde me fait un non de la tête, sauf Malosse mais dans tout les cas je n'en tirerai rien.

Je me rapproche de son oreille et lui demande doucement : "Je peux te voir à l'écart quelques minutes ?" Puis de le voir se lever et moi de le suivre vers le gymnase.

Une fois adossé au mur de ce dernier, c'est à peine s'il me demande pourquoi je l'ai amené ici.

- Malosse je dois te parler, sérieusement...

Il reste stoique bien que je sais qu'il est mal à l'aise.

- Est-ce que tu m'aimes vraiment ?

Il se fige tout d'un coup, et voyant la panique dans son regard je sais qu'il va partir. Je me transforme en Mentali, mais ne lis pas dans ces pensées, j'utilise juste Abri pour qu'il ne puisse pas partir.

- Je n'attend pas particulièrement une réponse, je veux juste que tu me dise la vérité et ensuite je te laisserais tranquille.

- La vérité !? C'est que je n'arrive même pas à te dire je t'aime, que je n'arrive pas à me sortir le coup de mon père et de Feunard de la tête, que je suis maudit dès que j'aime quelqu'un car elle se retourne toujours contre moi.

La vérité c'est que je maîtrise ma forme Mentali mais pas encore ma capacité à lire ou non dans les pensées.

- Alors ? Je lui demande, faisant semblant de ne rien avoir entendu.

- Ce n'est pas que je ne veux pas Evolia... Mais tu sais très bien que je ne peux pas, alors laisse moi tranquille avec ça.

Je lui fais signe de s'asseoir et fais de même à côté de lui.

- Dis moi si tu m'aimes, oui ou non. J'en ai marre d'espérer pour rien !

Il reste silencieux, mais au bout d'un moment me pose une question :

- Et toi ?

Juste deux mots, deux mots qui me semblent tout droit sortis de nulle part. Et pourtant je ne peux pas m'empêcher de répondre à voix haute :

- Bien sûr que je t'aime ! Ce n'est pas moi qui fuit dès que je fais un pas vers toi ou qui ne dis rien à personne !

- Tu devrais renoncer alors, il me dit d'un ton flinguant.

- Tu n'as pas répondu à ma question, j'ai répondu donc c'est à toi.

- Oui, je... Oui. Ta question c'était oui ou non alors voilà, oui.

Malosse se lève sans un mot, et me tourne les talons, voulant rejoindre le groupe. C'est une manie chez lui ou quoi ?

- Mais bordel de canard, c'est une manie chez toi ! Attend moi s'il te plaît !

Je le rattrape et me met devant lui pour le bloquer, mais au lieu de le retrouver stoïque comme à son habitude avec les sourcils froncé sous sa capuche, cette fois ci il ne peut pas retenir ses larmes qui coulent le long de sa joue en silence. Je m'approche de lui mais il me repousse, sa fierté dominant largement ses autres sentiments.

- Malosse...

Je tente de dégager les courtes mèches qui lui tombent devant les yeux.

- Tu ne comprend pas hein, il me dit au bout d'un moment. Je ne peux pas Evolia, d'accord ? Je ne peux pas t'aimer, je ne veux pas que tu deviennent comme eux. S'il te plaît...

- S'il te plaît quoi ? Malosse, tu mérite mieux que ça, regarde comme tu es. J'essaie de te rendre mieux et de t'aider mais tu ne fais pas d'effort.

Il prend sa respiration et prend son temps à répondre, comme pour se concentrer et éviter que sa voix ne déraille. Derrière moi Pikachu arrive, voyant la situation de loin. Avant qu'il n'arrive j'ai deux ou trois minutes alors je tente d'en décrocher un peu plus.

- Laisse toi être aimé, arrête de tout repousser ! Ne te gâche pas la vie à cause d'une pimbêche comme elle ! Tu...

- Tu ne comprend pas ! Il me coupe. Je ne peut pas être aimé, sinon tout le monde devient mauvais ! Mon père, mes amis, feunard et même des gens que je ne connaît pas alors que veux tu que je te dise.

Pikachu arrive de justesse en courant, voyant que la situation s'est aggravée, et prend malosse dans ses bras afin de le bloquer.

- Je ne vais frapper personne, surtout pas elle alors lâche moi, il lui demande d'un ton sec.

Pikachu se retourne vers moi.

- Ne t'inquiète pas, je lui répond, tout va bien se passer tu peux rejoindre les autres.

Il hoche la tête et repart, tandis que je m'approche de mon ami.

- De quoi as-tu peur ? Que je devienne comme eux ? Tu sais très bien que ce ne sera pas le cas. Alors dis moi, que je ne t'aimes pas vraiment ? Je peux t'assurer que si.

- Tu ne me connaît même pas...

- Je veux bien apprendre alors ! Je m'exclame joyeusement.

- Je n'ai pas ce caractère que tu vois d'habitude. Si tu m'aimes comme ça alors ça ne sert à rien.

- Je t'aime pour ce que tu es, je sais bien que tu n'es pas comme ça, je t'ai déjà vu heureux et sourire ! Ne cherche pas d'excuses Malosse !

- Mais bordel je n'ai même pas qu'un seul physique !

- Ferme les yeux et transforme toi en humain, s'il te plaît.

Je le vois fermer les yeux et petit à petit devenir humain. Derrière, Pikachu semble heureux de savoir qu'il ose enfin se montrer. Je m'approche de lui et colle mes lèvres aux siennes. Il semble surpris et se bloque. Je savais que sous le coup de la déconcentration il allait redevenir sous sa forme basique. Il n'arrive plus à parler, je prend donc la parole :

- Je m'en fiche de tes deux physiques, c'est juste tes cheveux et tes yeux qui changent. Pour moi, j'ai embrassé la même personne, j'ai ressenti les mêmes émotions.

Il est toujours bloqué, encore sous le choc de ce baiser pourtant rapide. Je le prend dans mes bras, et surpris, il se braque alors je décide de le regarder droit dans les yeux.

- Malosse, ne t'empêche pas d'aimer parce que tu as peur, laisse toi aller, détend toi. Je te dis que je ne deviendrais pas comme eux.

Il tourne la tête, rompant le contact, et je la lui tient donc pour qu'il le garde.

- Est-ce que tu me fais confiance ? Je lui demande.

Il baisse les yeux mais je sais très bien qu'il va me répondre, il se concentre juste pour ne pas avoir la voix qui déraille. Il me serre dans ses bras et me repond :

- Oui j'ai confiance en toi, plus qu'en n'importe qui. Evolia, je...

Je sais qu'il n'arrive pas à le dire, c'est trop dur pour lui.

- Changeons de sujet, je commence. Montre moi où toi tu es blessé.

- Tout à l'heure.

Il désserre son étreinte et pars rejoindre le groupe, mais il s'arrête au bout de quelques mètres et se retourne vers moi :

- Tu viens ?

Je le rejoins et une fois avec tout le monde, c'est lui qui vient s'asseoir à côté de moi, mais ne fais rien, sûrement à cause de tout le monde qui nous regarde.

- Maman vient de nous dire que l'infirmerie peut être ouverte si on veut, annonce Pikachu. Elle a laissé les clés derrière le panneau.

- Maman ? J'interroge.

- Bah oui notre mère à Raichu et moi, Mme Leveinard, l'infirmière.

C'est donc pour ça qu'ils avaient accès à autant de soins. Je me contente de lui répondre un "Haaaa" rapide et le suit sans dire un mot, entraînant avec nous tout le reste du groupe. Arrivés sur place, Pikachu cherche derrière le panneau et en sort un trousseau de clé, prend la plus grande et déverouille la porte et va chercher dans les tiroirs pendant que tout le monde rentre et ferme la porte.

Il sort trois hyper potions, un rouleau de bandage et s'occupe de penser les plaies de dracaufeu, qui semble ne pas souffrir qu'un peu. Dracaufeu l'aide à son tour tandis que Raichu commence à s'occuper de Malosse.

- Enlève ton sweat et dis moi où elle t'a fait mal.

il retire son haut et malgré son T-shirt, on peut apercevoir, de petites griffures sur son bras, rien de grave.

- Enlève ton haut maintenant, je sais bien que ce n'est pas là qu'elle t'a attaquée.

Elle soulève le derrière de son T-shirt et je me met derrière lui et observe avec effroit les blessures que celle saleté de renarde lui a infligé. A peine Raichu pose le doigt dessus pour évaluer les dégâts, il se braque et lui met un coup avant d'essayer de partir. Je met devant lui avant que les autres ne réagissent et en le regardant droit dans les yeux je lui dis :

- Fais moi confiance.

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