Rien ne vous tient, vous qui ruinent ma vie

De tout les mythes et les utopies

Sans vision, ma myopie s'éternise

Entre ma race courtoise, et ce qui me paralyse

De tous les objets qui me métrisent

Un concept hors prix, que ne portera ma bourse

De ma grandeur, de la taille d'un ours

Se minuscules au bout des épines de l'oursin

Beauté divine, qu'un poète ne possède qu'au bout de sa plume

Sans lui-même, est un hiver sans écume

Flocon à six branches, à l'arme blanche

Treize, chiffre sombre, au vendredi sibyllin

Un chevalier noble, paladin de la table ronde

Néanmoins au roi vilain, rêvasserie profonde

Dans tous les cieux nuageux, fidélité et trahison se confondent

A l'innocence des anges, celle qu'on efface à l'eau d'une éponge

Toutefois, les couleurs sont étranges

Dans la nature, et nos vidanges

Démuni de son gourdin aux talismans fabuleux

Lanterne de feu, un diadème et un sceptre

De la tour de dôme, séjour du spectre

Après la courte gloire, la bataille est à revoir

A ceux qui regagnent le mal, et ses dérisions

Naguère, le temps des guerres

Une mémoire sur la vie, et ses instants de mépris

Mais lequel est empire ?, lord du vampire

Le temps de fuir, pour ne pas croiser le pire

Accablante paresse, à la douloureuse caresse

Comme un prédateur sans proie

Comme un guerrier sans foie

Je suis pauvre, et je me sauve

Je fuis, et je ne sais pas courir

Je me retourne, mais qui pourra me secourir ?

Je retourne cette page sans esquisser de sourire.

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Salut à tous !! 

C'est le 50éme poème ! En plus des 5k de vues ! C'est tout juste inimaginable pour moi c'est pour cela je vous dit......... 

C'est le poème auquel j'ai pensé avant de nommer ce livre comme ça ^_^, à votre avis mérite-il ce choix ?! 

Bizzzzz à plus pour d'autres poèmes ! <3