"Mais pourquoi me salut-elle ?
Elle veut prendre de mes nouvelles ?
Non, elle veut me demander un service.
Elle ne fait jamais rien sans vices."

"Mais pourquoi ne me contact-elle...
Que par intérêt ?
Est ce que je compte pour elle ?
Oui, je réponds à ses intérêts...
Sinon, je ne comptes pas pour elle...
Elle ne veut pas de mes nouvelles"

C'est comme ça que ça commence...
Puis on devient parano,
Tranchant deviennent les mots,
On ne voix plus qu'un sens...

Notre cœur se meurtrit.
S'embrume notre esprit.

On cherche un moyen de se libérer
De cette souffrance qu'on a nous même créer.
Et notre pseudo relation se détruit.
Alors que le calcul n'est pas compris.

Nous nous croyons érudits,
Alors qu'on est abrutis.
On écoute les autres pour retrouver espoir.
Et on s'enfoncent dans ces pensées noires...

L'arme fatale contre cette auto-torture,
Est le mode miroir.
Tout le monde n'est pas dur
Mais broie du noir.

Le mode miroir,
anti-pensées noires :
Prend la personne comme elle vient.
Il ne tend pas plus la main
Que cette personne en face de moi.
Il ne s'attache pas et n'espères pas.

Le mode miroir,
anti pensées noires:
Ne se  pose pas plus de questions.
Ne donne pas plus d'appréhensions.
Profite juste de l'instant, présent
Avec cet être qui semble distant.
Je ne fais que ce qu'il me fait.
Tel est le principe d'un reflet.

Il me dit bonjour, je lui dis bonjour.
Il me calcul que sur le moment,
je l'ai calculé qu'à ce moment.
Il se souvient de moi sur le moment,
je m'en suis souvenue qu'à ce moment.

Une dispute, on discute.
Il ne veut pas, il en va de soit !
Il le veut tant mieux !

Enfin le brouillard s'est dissipé,
Je retourne en mode miroir.
Je vais arrêter de m'en préoccuper. 
Maintenant plus de pensées noires.

De Batouly