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« J'me revois quand j'avais cinq ans, sourire clinquant, aujourd'hui j'vends du shit maman. »

𝟐𝟎𝟏𝟕

𝐍𝐞𝐱𝐭 𝐌𝐚𝐧𝐚𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭, 𝐋𝐨𝐧𝐝𝐫𝐞𝐬 - 𝟏𝟖𝐡𝟓𝟔

Je commençais à me tourner sérieusement les pouces dans cet agence de merde, ma p'tite était tipar au toilette et je lui avais dit que je l'attendrai devant la porte. Je vis sa p'tite tête sortir de l'encadrement de la porte et me dire que l'on pouvait y aller. Je la laissais marcher devant oim comme elle connaissait mieux les locaux que moi, vu qu'elle était déjà venue là voir sa tante. On retournait dans la grande salle principale où toute la foule de monde s'était réuni, Thaïs se dirigeait vers le buffet, elle demandait un verre de soda à l'un des serveurs qui s'occupait du service. Habituellement elle aurait jamais été avenante, elle était tout le temps timide en public et rien que pour demander un p'tit truc elle osait ap mais là c'était différent. Elle connaissait peut-être ce type parce qu'elle l'avait déjà croisé ici. Je m'assurais qu'elle se blinde pas trop de mauvaises choses sinon j'savais que j'allais avoir sa daronne sur le dos. Inna m'avait demandé d'emmener sa fille jusqu'au taff de sa sœur parce qu'elle avait déjà des plans de prévu avec son boug tandis que moi j'avais carrément rien à faire de ma réssoi.

— Bibil t'a pas vu mes nouvelles chaussures ? Me faisait remarquer la tipe. C'est le copain à tata qui me les a offerte.

Il suffisait pas d'acheter une paire de pompe pour pouvoir gagner son cœur, il fallait bien plus que ça. Et moi aussi je lui en avais acheté des paires sauf que les miennes étaient bien plus belles. Son pélo n'avait pas de goût, moi j'en avais.

— Ah t'es comme ça, tu valides la concurrence. Prenais-je la p'tite dans mes bras afin d'lui faire des chatouilles.

Et d'un coup elle s'était détaché de oim pour courir jusqu'à lui, qui l'a prenait direct dans ses bras, exactement comme moi y'a même pas une minute.

— Ça va petit ange ? Entendais-je de sa bouche.

Je serrais les dents à l'entente du surnom que je donnais à ma nièce de coeur et que j'avais toujours donné à sa tante. En plus de me piquer ma meuf il me piquait mes mots. Ma p'tite hochait simplement de la tête et je déglutissais quand j'le vis s'approcher jusqu'à moi, me toisant simplement de manière arrogante. Comparé à son smoking de merde qu'il portait j'avouais que je faisais tâche avec mon jean délavé et mon blouson en cuir que mon reuf m'avait prêté. Les gens me regardaient mal mais je m'en foutais tellement, du moment que j'étais à l'aise dans mes pompes c'était le principal. Beaucoup de médias trainaient dans les alentours des locaux et étonnamment j'arrivais à me faire discret, pas une seule fois je m'étais fait remarquer.

— J'étais pas au courant que tu devais venir. Commentait l'autre abruti.

— On m'a demandé de la ramener alors j'suis venu.

— C'était pas la peine de te déplacer, j'aurais pu m'en occuper.

— Sauf que c'est à moi qu'on a demandé.

— Parce que tu t'es proposé, comme toujours. Me prenait-il de haut.

Il devait sûrement être jaloux de la relation que j'avais avec la nièce à sa pine-co, dommage pour lui. J'aurais toujours une longueur d'avance sur lui, parce que j'avais grandi avec Thaïs et je l'avais gardé pleins de fois à la maison.

— Et ça te dérange ? Disais-je, bouffant totalement l'espace qui nous séparais.

— À ton avis ? S'agaçait-il. Écoute, moi je veux pas me battre avec toi, je suis pas un gamin. Je veux juste te faire comprendre qu'il faut que t'arrête avec elle, je peux comprendre que ça à été dûr pour toi mais faut que tu passes à autre chose maintenant. Si j'ai pris ta place c'est que la tienne tu l'as pas mérité.

J'avais directement vu rouge après avoir écouté attentivement sa dernière phrase, sur l'coup j'avais pas réfléchi, je l'avais chopé par le col de sa chemise et le p'tit smile qu'il se tapait sur le bout des lèvres me donnait une raison de plus de lui en coller une. Mais je l'avais pas fait, par respect pour ma p'tite reuss qui était juste à côté, j'voulais pas qu'elle voit mon côté violent.

— Parle pas de c'que tu sais pas. Vrillais-je.

— Qu'est-ce qui y'a, je t'ai vexé ? Moi je dis rien que la vérité. Tu lui aurais pas menti pour l'université et t'aurais pas entraîné son petit frère dans tes histoires, peut-être que là vous auriez été encore ensembles. T'a voulu jouer et t'a perdu.

Le coup était parti tout seul, j'avais pas pu retenir mon poing. Ce connard avait voulu riposter sauf que l'arménienne était venu me séparer de lui avant même que j'puisse m'occuper de son cas.

— Vous êtes malades ?! S'écriait Maha alors que les gens nous dévisageais.

Pendant que son keum s'était taillé avec sa nièce elle m'avait dit de la suivre à l'étage pour qu'on soit plus tranquille, on était en train de monter les escaliers et alors que je commençais tout juste à régler mes comptes avec elle, la latina avait préféré garder le silence durant tout le long, tout c'que je détestais.

— Oh, tu m'écoutes ou pas quand j'te parle ?! Attrapais-je sa main de force pour qu'elle se retourne et qu'elle me regarde enfin dans les yeux. C'est lui qui m'a cherché, pas moi !

— Il est jaloux de toi Nabil, c'est normal, t'aurais fait la même chose à sa place. Tu peux pas dire le contraire, comment t'aurais réagi si on sortait encore ensemble et que quelqu'un me tournerait constamment autour ?

Mal. J'aurais mal réagi, logique.

— Et c'est mon problème si il a pas confiance en lui ? J'peux rien y faire. Continuais-je de monter les escaliers tandis que Mahalia marchait toujours devant.

En fait il faisait style d'être sûr de lui alors qu'en réalité il se pissait dessus.

— De toute façon on aura plus à se croiser. Me disait mon ex. Tu vas retourner en France dans peu de temps et moi je vais continuer ma vie ici.

— Maha-

— Naël va demander ma main. Finissait-elle par me lâcher sa bombe.

J'avais même pas ri parce que je savais très bien qu'elle était sérieuse dans ses mots. Et ça me dégoûtait, l'fait qu'un autre veuille lui passer la bague au doigt alors que c'est moi qui lui avait promis la sienne à l'ancienne.

— Tss..et tu vas accepter..Concluais-je en prenant une mine dégoûtée.

Je vis qu'elle comptait faire demi-tour et s'en aller mais je décidais de la retenir encore un peu.

— Tu crois que si y'aurait pas eut l'accident, on aurait toujours été ensemble ?

— J'en sais rien Nabil, toi et moi on s'engueulait tout le temps, nous deux c'était assez compliqué alors on peut être sûr de rien.

Tant que son connard lui avait pas encore passé la bague au doigt, j'avais encore le time pour la faire éviter le mariage, rien n'était encore trop tard.



[...]


𝐌𝐚𝐡𝐚𝐥𝐢𝐚

On aurait jamais dû venir passer les fêtes dans le pays natal de notre père, tout le monde avait oublié qu'il pleuvait des cordes en décembre sauf papá qui s'était bien gardé de nous le dire. Nous avions mis à peine les pieds dehors que maman avait déjà râlé, insultant au passage son ex mari pour nous avoir vendu du rêve à son propre pays d'origine. C'était le quatrième jour que l'on passait ici et la journée avait été bien longue. J'avais passé une bonne partie de mon temps en cuisine avec mon frère et mon père, tandis que les autres membres de la famille s'étaient chargés d'emballer le reste des cadeaux qu'ils n'avaient pas pu faire avant que l'on ne parte en vacance. Je n'étais même pas pressé de faire le réveillon, mes problèmes avec ma sœur ne s'étaient toujours pas réglés et j'avais pas l'intention de faire le premier pas, c'était hors de question. Pas une seule fois on s'était adressé la parole, notre père avait voulu tempérer les choses mais on lui avait dit de ne pas s'en mêler. C'était la première fois qu'avec Inna on se faisait autant la guerre, d'habitude on aurait déjà réglé nos différents.

Alors que je mettais la table avec mon petit frère, j'entendais les enfants de mes cousins et cousines en train de cavaler à l'étage, sûrement pour jouer à un jeu idiot auquel on avait tous jouer étant petits. Ma nièce arrivait par la suite pour se prendre un verre, je la vis détailler mon alliance avec tristesse. Imrân s'était mis à rire en voyant la tête qu'affichait Thaïs, peut-être que pour lui c'était drôle mais pas pour moi.

— Si tu te maries, Nabou il va être triste.
Fais le bon choix tata. Me lançait-elle un clin d'œil, lourd de conséquences.

— Mais..je croyais que tu aimais bien Naël ?

— Et bah plus maintenant. Croisait-elle ses bras sur sa poitrine. Il a fait exprès de te demander à la télé pour que tonton Bibil soit triste.

Naël ne m'avait pas réellement demandé en mariage à la télévision, il l'avait fait durant la soirée d'évènement qu'avait organisé mon agence. On était allé s'isoler dans un coin tranquille juste histoire d'être tout les deux et je n'aurais jamais deviné qu'il m'aurait fait sa demande, et de plus je n'aurais pas pensé qu'il y aurait eut des paparazzi aux alentours, même lui n'avait pas prévu ça.

— Qui t'a raconté ça ? L'interrogeait le morpion qui me servait de frère.

— Mon p'tit doigt. Lui souriait-elle fièrement.

Je pariais que ce devait être Nabil, il n'y avait que lui pour balancer des trucs pareils. Malgré que nous n'étions pas en bons termes j'appréciais tout de même qu'il ait gardé sa relation fusionnel qu'il avait avec ma nièce.

— Alors tu diras à ton petit doigt qu'il te raconte que des bêtises cariño. Disais-je.

Thaïs haussait simplement ses épaules et elle repartait jouer avec les autres enfants. Je finissais entre-temps de mettre la table et retournais à la cuisine afin de prendre mon traitement médical que prescrivait mon médecin pour ma névrose. Comparé à avant je ne faisais plus de crises d'hystéries, il m'arrivait seulement d'être agité quand je me laissais emporter par mes sentiments.

— T'hésite pas à nous appeler surtout. Entendais-je. [...]..Hmm, et c'est aujourd'hui que tu as été au cimetière ?

Un goût amer m'avait traversé la gorge lorsque j'avais entendu le dernier mot qu'avait prononcé ma mère. Ça faisait deux ans qu'elle avait perdu son compagnon et je ne m'y faisais pas encore à son absence, comme tout le monde je m'étais habitué à sa présence.

— On va passer une super soirée. Entendais-je râler mon frère.

— Porque ?

— Regarde par toi-même.

J'étais moi-même allé voir devant la baie vitrée du salon qui donnait vu sur la cour de la maison et je n'en étais pas revenu. Ma tête s'était littéralement décomposé quand je les avais vu s'avancer jusqu'à la porte, j'avais également vu leurs grosses valises qu'elles tenaient fièrement à la main et que je rêvais d'envoyer valser par dessus le portail. Trois grands coups s'étaient mis à résonner contre la porte mais ce n'était pas pour autant qu'Imrân et moi nous étions décidé à ouvrir. Forcément on avait toqué de nouveau à la porte et notre mère avait finis par cramer le brouhaha de dehors.

— Vous attendez quoi pour ouvrir ? Nous engueulait presque notre mère. Il faut que je le fasse pour vous ? C-

Malheureusement pour nous la voix de notre demi-sœur avait retenti et maman avait directement ouvert la porte.

— Qu'est-ce que-

— Bonsoir. Déclarait la mère de Rima, soit l'ex maîtresse à mon père.

On avait même pas eut le temps d'ajouter quelque chose qu'elles étaient déjà rentré à l'intérieur, réclamant la présence de notre père. Leur arrivée ici ne présageait rien de bon, non seulement elles avaient décidé de s'inviter durant nos vacances familiales mais en plus de ça elles avaient l'intention de rester ici, avec nous. Mon père était rapidement venu voir ce qu'il se passait après avoir entendu ses deux compagnes se disputer. C'était la seconde fois qu'elles se retrouvaient ensembles et l'ambiance était déjà bien électrique.

— Ta fille avait envie de passer ses fêtes avec son père. Nous expliquait Natacha que je n'écoutais qu'à moitié.

— Justement, c'est sa fille qui voulait voir son père donc tu n'avais pas besoin de venir. Rageait ma mère. Et puis quand on a prévu de s'inviter chez une personne, la moindre des choses c'est de la prévenir.

Elle commençait déjà ses piques, pensais-je.

— Où est-ce que l'on peut s'installer ? Demandait mon ancienne belle-mère.

— Le cagibi te conviendrait parfaitement. Marmonnait ma mère.

— Prenez les chambres du fond. Leur indiquait mon père.

Le compagnon de ma sœur était descendu en bas pour aider les deux femmes à monter leurs valises là-haut, pendant que ma mère réfléchissait déjà à se prendre une chambre d'hôtel pour les prochains jours. La cohabitation allait être très compliqué pour nous tous et surtout pour ma mère et Natacha qui ne se supportaient pas du tout. Les fêtes risqueraient d'être explosives cette année.


[...]

𝐍𝐚𝐛𝐢𝐥

Je saluais une dernière fois mon public, l'ultime qui clôturait la tournée de cette année. Je quittais en premier la scène pendant que le reste de mes reufs jouaient les kékés sur la piste, je retournais à la loge en vitesse, je me libérais de tout le matériel technique que j'avais dû porter que je posais sur la p'tite table basse de la pièce. Je remettais mon manteau et je pris mes affaires, attendant ensuite mon frère sur le parking des locaux. Rikta venu quelques minutes plus tard, je préférais le laisser conduire sa propre caisse vu que j'me sentais un peu khabat. Fallait pas qu'on ait un accident à cause de moi. Ça m'apprendra à me taper des nuits blanches avant d'enchaîner des concerts, mais c'était plus fort que moi, je travaillais mieux la noche parce que j'étais plus productif. Résultat j'dormais ap et j'étais k.o la journée. Évidemment je m'étais pris une remarque par mon frère que j'avais à peine écouté tellement qu'il m'avait saouler sur le moment.

— Tu m'as pas redis comment c'était ton « rendez-vous ». Brisait-il le silence.

— Bien..mais..elle a demandé à te voir. Allais-je droit au but.

Moi aussi au début j'avais été fermé à l'idée de revoir la première femme à mon père mais j'avais finis par dire oui, juste pour entendre c'que je voulais savoir depuis que j'étais tipe. Je lui avais même pas raconté ce qu'on avait fait avec Tarik pour pouvoir se payer nos séances de studios, ni comment on avait pu financer nos clips. Elle aurait été déçu sinon, le p'tit gamin qu'elle avait eut avait finis par travailler dans le sale.

— Et elle a déjà sa réponse. Tranchait mon reuf. J'veux même pas savoir ce qu'elle a dit sur baba ou moi, ça m'intéresse pas. Elle a voulu refaire sa vie ailleurs parce qu'elle en avait marre de celle qu'elle avait au zoo ? Ça c'est son blem, nous on a pas besoin d'elle dans nos lifes. C'pas dans nos habitudes de côtoyer les égoïstes. Si tu veux la revoir fais-le, j'ai pas à te dire c'que tu dois faire.

J'avais déjà la réponse à ma question, j'voulais pas la revoir. On s'était juste vu pour parler, j'ai entendu c'que je voulais et ça s'arrête là. Chacun retournait à sa life maintenant.

— Des nouvelles de l'italienne ?

— Hmm, elle arrive dans deux jours.

Éris était revenu me parler y'a à peine une semaine, tout ça pour me dire qu'elle montait sur la capitale et qu'elle espérait me voir. J'lui avais pas donné de réponse car j'savais pas encore si j'aurais le time de la voir, j'avais trop de taff en ce moment.

— Et c'est du sérieux-

— Cherche pas à savoir, si y'a du concret je t'en parlerais. Disais-je en retirant ma ceinture de sécurité pour pouvoir me barrer.

Dès que j'étais rentré à mon appart je m'étais sépo dans mon lit, j'avais pris mon ordi sur mes genoux et réécoutais la prod sur laquelle je bossais. Tarik aussi travaillait dessus, nos textes étaient pas encore finis donc pour l'moment on avait pas entamé de sessions de studio. De mon técô je tapais des notes sur mon clavier, tout ce qui me passait par la tête.

Ma vie, ma vie,

Pourquoi petite fleur a fané ?

Elle était belle loin de la jungle,

Mais bon la jungle l'a attrapée,

Ma vie, ma vie,

Pourquoi tu perds les âmes comme ça ?

Ce monde a mal et j'ressens ça,

Ils sont dans l'noir mais je les vois,

Je les vois, ma vie,

Mais je n'ai d'yeux qu'pour ma famille,

J'ai fait l'million, j'me suis assagi,

Mais on doit rendre ce qu'on a pris,

Ma vie, ma vie,

Chez moi, on t'aime puis on t'oublie,

Chez moi, on saigne puis on grandit,

Chez nous, respecte, ouais, on tire,

Ma vie, ma vie,

Devenir quelqu'un pour exister,

Car personne nous a invités,

Donc on est v'nu tout niquer,

Tout niquer, ma vie,

L'histoire s'ra courte à mon avis,

Comme la dernière phrase de ma vie,

J'tirerai en l'air, j'dirai "tant pis",

Ma vie, ma vie,

J'me défonce, je fais la diff',

Les anges sont tristes, l'démon kiffe,

Pourquoi t'as dit "je t'aime" au pif ?

Animal heureux sous les griffes,

J'ai patienté pour m'sentir vivre,

Donne-moi du temps, j'en f'rai du biff,

En attendant, demain m'enivre.

Je faisais une copie de mon taff que j'envoyais ensuite à mon frère et Issam pour qu'ils me donnent leurs avis. Mon téléphone se mît à sonner alors que je m'apprêtais à me mettre au lit, je reconnu immédiatement le num à l'italienne et je décrocha. Son vol avait été avancé, elle comptait quand même le prendre et résultat elle se trouvait encore à l'aéroport en train d'attendre son avion. J'me réjouissais même pas de son arrivée parce qu'au fond de moi je savais que c'était que le début des problèmes. En deux ans elle avait finis par s'attacher, c'que je lui avais dit de pas faire, j'en aimais une autre et elle me kiffait. C'était clairement la merde, l'italienne allait plus me lâcher maintenant.

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Aimé par spion_igd et 25 449 autres personnes.
maha_rvr Memoria de vacaciones 🏖

spion_igd qlf

beanrz @maha_rvr revient bosser 🆘

hana.ksr j'en connais un qui va pas être content

rima.vrd @hana.ksr lequel ?

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———

Je réapparais après plusieurs mois d'absences, une envie soudaine de vous poster la suite. Cette histoire n'est pas aux oubliettes, je me concentre simplement sur une autre que j'aimerais terminer rapidement 😉

Meilleurs vœux 🤌🏾

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