Chapitre 12 :
- Qu. . . Qu. . . Quoi ! S'écria Florent.
- Elle à été enlevé ! Répéta Johnny.
- Qui ? Que ? Quoi ? Comment ? Où ? Pourquoi ?
Je me redressai et séchai mes larmes avant de répondre tristement :
- Une question à la fois s'il te plaît !
- Par qui, Pourquoi et quand ?
- Ça fait trois la mais ça va ! Répondis-je, elle s'est fait enlever par . . . Mon père ! Parce qu'il me veux du mal donc il s'en ai pris à elle , Une larme coula sur ma joue, Et c'était avant que tu n'arrive !
- Non... Pourquoi ?! Et je n'étais pas la pour la defendre... Tout ça c'est de ta faute ! Si tu n'étais pas venue Mély serait toujours la...
- Je sais et je m'en veux ! Depuis que je suis la, je ne crée que des embrouilles ! Je ne penserai pas qu'il irait plus loin et encore moins de s'en prendre à mes amis !
Nous restâmes tous sans voix jusqu'à ce que Florent fonde en larme, en jurant sur lui même. Au bout de quelques heure de dépit, On commença à tous remettre en ordre.
On mit la journée entière à tout ranger puis arriva le soir. À table personne ne parla, ce qui fut gênant.
- Demain, si cela ne vous dérange pas, je vais me balader seule ! Déclarai-je.
- Mais Ashlynn ! Avec ton père dans les parages je viens avec toi ! Dit Johnny.
- Même pas la peine d'y penser ! Comment je faisai quand je ne te connaissais pas encore ?
Sur ce, je parti me coucher.
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Lorsque je me réveillai, il faisait encore nuit. Je regardai le réveil sur la table de nuit : il était 4h30. Je me tournai et vit que Johnny dormait à point fermé. Comme je n'arrivai pas à dormir, je me glissai du lit, mis un pull chaud et sorti discrètement de la chambre. Je marchai à l'aveuglette tant le couloir était sombre. En passant à côté de la chambre où dormait Florent, je l'entendis parler. Je me rapprochai pour écouter.
- Miam-miam ! Des beignets ! Mmm ! Encore plus, TOUJOURS PLUS DE BEIGNETS !
Je rigolai intérieurement. Il fallait que je raconte ça a Mély. Mais en pensant à elle mon sourire disparu. Elle n'était plus là mais j'allai aller la chercher.
Je continuai d'avancer, puis descendais. Je regardai une dernière fois que personne ne m'avait suivi avant de sortir. Je commençai à marcher dans les rues sombre ne sachant que faire. Je décidai donc de m'asseoir sur un banc et de regarder les étoiles ainsi que le soleil se lever. C'était magnifique, depuis toute petite j'aimais l'astronomie. C'était vraiment quelque chose qui me passionnais.
J'étais dans les pensées lorsque quelque chose ou quelqu'un arriva par derrière, me plaqua sur le sol et me mis quelque chose sur les yeux. Je voulais crier mais aucun sons ne sortirent de ma bouche. L'homme ou la femme m'attacha, je me débâtai mais il/elle tint bon. Je senti que l'on me soulevai et que l'on m'emmena quelque part. Il/elle me mit dans une voiture et démarra. J'étais bringuebalée dans tous les sens mais je ne tombai pas. Je n'avais plus aucun sens de l'orientation car je ne voyais rien. Il/elle m'avait enfermé sans ménagement. J'essayai de défaire les cordes qui me reliaient les poignets, mais dans le noir ce n'était pas facile. Cependant, au bout d'une dizaine de minutes, j'y parvins enfin. J'enlevais le bandeau que j'avais dans la bouche et qui m'empêchait de parler et enlevai le sac de ma tête. Je voulais me "relever" mais je m'aperçus que mes chevilles étaient elles aussi attachées. Comme je voyais clair, en deux secondes elle étaient arrachées. Je me retournai enfin vers mon agresseur qui n'était autre que . . . Mon père ! Mon salopard de père. Sans hésiter je lui sautais dessus. Je criai et le frappai bien qu'il soit au volant. A vrai dire je m'en fichai. Je voulais qu'il souffre.
-Je te déteste ! Tu n'es qu'un connard !
- Arrête petite peste !
Bizarrement, nous ne roulions plus droit. Je le frappai de plus belle. Tout-à-coup, la voiture dévia de sa route et rentra dans un arbre. Je fus projetée à l'avant violemment et ma tête heurta quelque chose que je n'eus pas le temps de voir.
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Je repris doucement connaissance. Je ne voyais rien. Le choc avait dû engourdir ma vue, cependant je m'habituai à l'obscurité qui régnait dans cette pièce macabre. Je ne savais pas où je me trouvais mais une chose était sûr; cet endroit appartenait à mon père. Ce qui signifiait que Mély se trouvait surement ici et . . . que j'étais nous étions dans la merde.
-Ah, tu te réveille enfin ! S'exclama une voix avec contentement.
- Qu'as tu fais à Mély !
- Oh, pas grand chose ! Juste quelques égratignures !
- Où est-elle !?
- Quoi, tu ne l'as toujours pas remarqué ?
Il me tourna brusquement les talons et partit en riant.
Maintenant qu'il était partit, je pouvais enfin observé réellement où je me trouvais. Des murs m'entouraient à l'exception des grilles en métal ainsi que la porte qui me faisait face. L'atmosphère avait une odeur de pourriture. On se croirait en prison ! Et c'est en tournant le regard vers la droite que j'aperçus une masse difforme vu de loin, mais de près . . .
PIN PIN PIIIIIN!!! New chapitre assez court! Cependant j'espère qu'il vous plaira! N'oubliez pas de me donner vos ressentit via commentaire ainsi que de voter et de vous abonné ça me fera plaisirs!!!
Comme je l'ai dit dans la partie précédente, je vais écrire un chapitre sur deux entre cette fanfic et la fontaine de jouvence, donc ne vous étonné pas si je ne publie pas tout de suite! Désoler pour le suspense total mais je pense que vous avez deviner qui était cette masse! La suite dans un prochain épisode.
KISS!!!
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