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Chapitre 8

- Eh tu te calmes wesh !

- Bon gamine, tu vas nous dire ce que tu saches sur nous...

- Mais, hein ? Mes parents ?

- Ouais, Akemi et Ferin Goto ! Ils travaillent pour le gouvernement et savent des informations pour nous...

- C'est pas possible... Mes parents sont morts ! Cela fait 10 ans qu'ils sont morts ! Ils ne peuvent pas travailler au gouvernement, mes parents ont toujours été boulanger !

- Ils sont mort ? Y a 10 ans... Non, c'était y a 2 ans lorsque Faustine les a tué.


Ils sont mort y a 2 ans... C'est impossible... Pourquoi ils m'auraient fait croire qu'ils sont mort y a 10 ans alors ? Puis ils travaillent pour le gouvernement. Mes parents ne m'avaient jamais menti puis pourquoi déménager en France ? Ce qu'ils disent ne peut être vrai... Ils ne peuvent pas dire la vérité. Pourquoi je devrais les croire ? Il y aurait forcément des traces de leurs diplômes chez moi. Je ne pourrais croire à cela... Mes parents n'auraient pas été mort dans un accident de voiture en allant à une énième formation culinaire ? Ce serait cette femme qui l'aurait tué... Je ne savais plus quoi penser, je regardais mes pieds, dévastés. Une larme coula, la tristesse d'avoir perdu mes parents plus la colère de me retrouver face à l'assassin de mes parents. Je cria de toutes mes forces, je sentis que tous les liens et la chaise brulait. Mon corps était en feu. Mes sentiments étaient beaucoup trop puissant. Je lança une boule de feu à cette Faustine. Avant qu'elle atteigne son destinataire Dabi se mis au milieu et contre attaqua. C'est vrai que son alter est le feu et je ne peut le contrait. Sauf si j'utilise l'eau mais je m'arrive pas à changer d'alter. Comme lorsqu'il a plu fortement quand j'ai appris pour la mort de mes parents. J'en relança une mais il se décala ce qui me laissa découvrir une porte qui résiste aux flammes. Je suis dans un abri anti-atomique, y a aucune chance que je puisse m'enfuir par les flammes ou autre moyen sauf sortir par la porte. Je sentais que mes forces se faiblissais petit à petit mais j'étais tellement remonté contre eux que je m'en pris compte. Je continua de toutes mes forces jusqu'à m'endormir. Durant mon sommeil, j'ai énormément pleuré mes parents m'avaient menti. Est-ce que ma grand-mère était au courant de leur retour au Japon et de leur travail au gouvernement ? Où sont leurs papiers, leur album de photo de moi ? J'ai fouillé toute la maison sans rien trouvé. J'ai regardé tous les albums un à un et plusieurs fois. Comme si avant d'être partis pour la France rien exister. J'étais dans mes pensées lorsque l'ourson tueur, assassin de mes parents, arriva.


- Lorsque j'ai tué tes parents, ta mère portait ça autour du cou. Je l'ai gardé comme trophée mais il y a écrit ton nom dessus du coup tiens j'ai d'autres trophées pour me rappeler les autres morts que j'ai fait.


Elle me lança la collier et s'en alla comme si rien n'était. Je le prie dans mes mains c'était un cœur avec mon nom gravé dessus. Je me souvenais vaguement de collier, très rarement, il était ouvert. Elle m'avait expliquer comment l'ouvrir, seule ce qui on un alter de l'eau peuvent l'ouvrir, mais je me souvent plus on fout... Je le mis autour de mon coup pour ne pas le perdre au cas si je dois me rebattre. Je ne savais pas combien de temps cela faisait mais j'avais l'impression que cela faisait des années. Je suis mal vis à vis de mes parents et je ferai tout pour les venger. Je pleuvais encore une fois à leur mort, lorsque je repensa à comment je me suis retrouvée ici. Est-ce que la classe me cherche ? Est-ce que je vais être sauvé ? Cela faisait longtemps que je n'avais pas mangé même si je mange rien avec eux mais au moins je mange un peu. Je vais peut-être pas survivre. J'étais dans mon coin lorsque la porte s'ouvrit sur un torse. Dabi s'assoit face à moi. Je le regardais tout en pensant que je l'avais déjà vu quelque part.


- Tu t'es décidée à parler gamine ?


Il avait dit ces mots d'un ton calme comme si il savait que j'allais rien à dire et que cela allait partir au quart de tour. C'est aussi à ce moment que je trouva à qui il me faisait penser.


- Tu ressemblais aux Todoroki. dis-je doucement

- T'as dit quoi ? cria-t-il limite

- Tu ressembles aux Todoroki ! criai-je

- JE NE SUIS PLUS UN TODOROKI ! s'enflamma t-il

- Que tu le veuilles ou non, tu en seras toujours un Todoroki !

- Non, je suis plus fort qu'Endeavor ! C'est d'ailleurs pour ça que je ne suis plus un Todoroki.


Je réalisa que cela est aussi une partie de pourquoi Shoto déteste son père.


- J'imagine que tu ne veux pas parler au sujet de tes parents plutôt que les miens.

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