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«𝐸𝑠𝑡-𝑐𝑒 𝑢𝑛 𝑔𝑒𝑛𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 ?»

À bord de la voiture d'Izuku, traçant ensemble les derniers kilomètres dans le calme, les deux garçons suivent assidûment du regard le défilé de l'asphalte disparaissant progressivement sous le capot de la citadine.
Sans musique, encore un peu dans le brouillard l'un et l'autre, ils semblent écouter le silence avec beaucoup de précautions, tandis que les routes encore sombres et endormies accompagnent leur trajet.
Bâillant discrètement, Katsuki frotte mollement son visage empoté, avant de se forcer à ouvrir de grands yeux pour s'interdire de les refermer.

Bien qu'il apprécierait fortement de reposer ses paupières en calant confortablement sa tête contre le siège, il doit se préparer à rentrer chez lui en catimini, et pour ça, il ne peut pas risquer d'arriver encore maladroit de sommeil, chancelant et faisant grincer le parquet sous ses pas de pachyderme fatigué.
Alors, pour se motiver jusqu'au bout, il pince ses joues comme pour y faire circuler le sang plus abondamment, puis recoiffe ses cheveux en observant son reflet dans le rétroviseur droit à travers la vitre fermée.
Son regard reste marqué par quelques cernes, témoins de son sommeil approximatif sur la méridienne d'un canapé.

Puis, dans ce calme plat, tout juste bercé par le sifflement du macadam lisse sous les pneus de la voiture, Izuku se racle la gorge comme pour réveiller sa voix cassée.
La semi obscurité dans l'habitacle, partiellement illuminé par les phares à l'avant de la voiture et l'éclairage du tableau de bord, les plonge dans une étrange atmosphère brumeuse, mais Katsuki réagit au son que produit son chauffeur, se tournant vers lui en guise de réponse silencieuse à une question inexistante.

_ Je suis désolé si je te fais avoir des problèmes avec tes parents .. Vraiment je ne voulais pas que-

_ T'inquiète.. soupire Katsuki en levant les yeux vers la lune en chute libre. De toute manière elle voulait déjà pas que je sorte tout court. Alors que je rentre à vingt trois heures ou à six heures du matin, dans tous les cas je me serai fait engueuler.

_ Elle n'a pas essayé de t'appeler ?

_ Si. avoue Katsuki en touchant son portable à travers sa poche. Elle m'a appelé plusieurs fois dans la soirée, j'ai pas répondu et elle s'est arrêtée.

Pensif, Izuku pince ses lèvres en surveillant la route, s'arrêtant à un stop avant de repartir.

_ Tu aurais peut-être dû lui envoyer au moins un message, pour la rassurer.

_ Elle me soule, c'est tout. Elle avait juste décidé de pas me laisser sortir pour avoir le dernier mot.

_ Peut-être qu'elle s'inquiète simplement.

_ S'inquiéter ?

Katsuki aurait presqu'envie d'en rire, mais l'expression on ne peut plus sérieuse sur le visage d'Izuku l'en dissuade instantanément, voyant dans ses traits qu'il ne plaisante pas du tout.

_ C'est ta mère. Je veux dire .. J'imagine qu'une mère attentive, parfois c'est étouffant parce qu'elles se font du soucis, elles s'imaginent tout le temps que quelque chose de grave pourrait arriver, mais c'est leur manière à elles de signifier qu'elles tiennent à leur enfant.

_ Elle peut le faire autrement qu'en me gueulant dessus, nan ?

_ Oui sûrement. Mais ça ne t'empêche pas non plus, de ton côté, d'être attentif à ce qu'elle essaie de dire à sa manière. Tu sais, les mères qui s'énervent quand elles s'inquiètent, c'est leur manière d'extérioriser la peur. Une mère qui ne se soucie jamais de ce que fait son enfant, où et avec qui, qui s'en fout et ne lui accorde aucune importance, c'est une mère qui n'aime pas son enfant.

Puis, le silence retombe d'un coup.
Sec et froid, comme un vent glacial qui viendrait leur geler le visage, et Katsuki ne sait plus ni quoi dire ni où se mettre.
Izuku, derrière son volant, se mord l'intérieur de la lèvre en serrant le pommeau de son levier de vitesse dans sa main.

_ Je suis désolé, reprend-il. Je ne voulais pas donner l'air de te faire la morale .. C'est peut être un peu l'assistant social qui parle .. mais je peux te le dire aussi en tant qu'ami .. quand je me suis réveillé à l'hôpital après avoir essayé de mourir, je crois que j'aurai aimé que ma mère soit là et qu'elle m'engueule pour ce que j'avais fait.

Honteux, et interpellé dans sa curiosité, Katsuki relève les yeux vers son conducteur, analysant posément l'expression anormalement paisible de son visage.

_ Ça t'arrive de penser à la recontacter ?

_ Oui. admet Izuku. Ça m'arrive d'y penser, ou même juste de penser à elle. Parfois j'ai envie de la contacter pour savoir ce qu'elle est devenue, d'autres fois j'ai envie de lui parler de ma réussite .. et des fois j'ai envie de lui dire des choses atroces. Il m'arrive de me dire qu'elle restera toujours ma mère, mais il m'arrive aussi de me souvenir surtout du fait qu'elle m'a abandonné, et dans ces moments là j'ai envie de la blesser aussi. Mais finalement, je ne sais pas dans quel état d'esprit elle était au moment de partir .. elle en a peut être souffert aussi.

_ Elle t'a laissé tout seul ... Si ça lui faisait du mal, il lui suffisait de rester.

_ Je ne sais pas .. C'est pas parce qu'on ne comprend pas la décision d'une autre personne qu'elle n'a pas de sens pour elle.

_ Alors ... Tu lui en veux pas ?

Un instant, Izuku fronce les sourcils, réfléchissant très sérieusement à la question de Katsuki.
Ou bien est-il simplement en train de chercher ses mots pour s'exprimer, mais son regard semble se troubler, se voiler l'espace d'une petite seconde.

_ Je lui en veux du plus profond de mon âme. Je lui en veux d'être partie alors que j'avais plus que jamais besoin d'elle, et de m'avoir abandonné alors que je l'aimais, comme on aime une mère. C'est parce qu'elle comptait pour moi que je lui en veux. Mais .. c'est moi qui ai essayé de partir en premier. Moi aussi je l'aurai abandonné. Alors je ne sais pas si j'ai le droit de lui reprocher d'avoir pris la même direction que moi au final. Je crois que c'est pour ça que je n'ai jamais vraiment essayé de la recontacter.

À l'approche de leur destination, alors qu'Izuku pourra se permettre de le déposer plus près que prévu parce que la voiture est bien plus discrète que la moto, Katsuki s'interroge sur la colère de sa mère hier soir.
C'est vrai qu'elle ne lui a donné aucune justification pour lui interdire de sortir, il en a conclu qu'elle n'avait aucune raison, si ce n'est la volonté de le contredire, de s'opposer à lui.
Mais en y réfléchissant...

Ce n'est peut être pas parce qu'il ne le comprend pas que ça n'a pas de sens pour elle.

_ Ça va ? questionne Izuku, le voyant soudainement devenir crispé et se replier sur lui-même.

_ Hm. crache d'abord Katsuki. Je me sens un peu comme un connard abruti. Mais ça va.

_ Un- Mais non ! Pourquoi tu dis ça ?

Un sourire nerveux au coin des lèvres, Katsuki hausse les épaules et les sourcils en même temps, avant de tourner son visage vers la vitre, dissimulant ainsi son expression aux yeux de son chauffeur.

_ Je sais pas .. J'ai l'impression de t'obliger à expliquer la vie à un pauvre ado en pleine crise. C'est un peu pathétique, non ?

_ Non. Bien sûr que non. Les rapports humains c'est complexe, et c'est pas nécessairement une question de maturité. L'expérience et la sensibilité de chacun nous font percevoir les choses de différentes manières.

_ Hm. boude seulement Katsuki, vexé par sa propre attitude, avant de croiser ses bras sous sa poitrine.

Puis, tandis qu'Izuku stationne sa voiture contre un trottoir à une petite centaine de mètres de la maison Bakugo, il se défrise enfin, conscient qu'il est désormais l'heure de se dire au revoir.
Et malgré le cafouillage de ce trajet, malgré la gêne qu'il ressent à son propre égard, il regrette de devoir se séparer d'Izuku.
Songeant qu'il lui faudra attendre lundi pour leur prochain rendez-vous, et alors qu'il lui semble qu'il manque déjà avant même d'être sorti du véhicule, il prend le temps de plonger son regard dans le sien une fois le frein à main bien serré.

Arborant un sourire léger, éclairant son visage et les constellations rousses qui le recouvrent, Izuku s'ancre lui aussi dans ses iris, naviguant dans les jeux d'ombres qui dansent aux abords de ses pupilles.
Sans rien se dire pour l'instant, ils se contentent de s'observer, comme pour retenir l'image de l'autre, capturer ses traits et enregistrer chaque contour, faire le plein en attendant la prochaine fois.

_ Je ne crois pas te l'avoir déjà dit Katsuki, mais tu es beau. Encore plus quand tu souris.

Katsuki ouvre la bouche, sa gorge claque, un son reste bloqué derrière sa langue, mais il reste finalement aussi muet qu'une carpe, pétrifié sur place par cette déclaration qui résonne dans sa poitrine comme une explosion massive.
Aussi, son cou et son visage s'échauffent, probablement que ses joues prennent ouvertement feu, et il se voit forcé de détourner le regard un moment pour ne pas se mettre à paniquer dans la foulée.
Tout à coup, son cœur bat de travers, puis à l'envers.
Izuku vient il d'essayer de l'assassiner avec ses mots ?

_ Ah, quand tu rougis aussi.

_ Arrête ça ! gronde puerilement Katsuki avant de claquer sa langue à son palais. De toute façon, je le savais déjà. C'était même fait exprès.

_ Que tu sois beau ? répond Izuku en arquant un sourcil, tandis que Katsuki détache sa ceinture de sécurité.

_ Ouais.

Puis, ouvrant la portière, Katsuki s'extirpe de l'habitacle, se penchant une dernière fois à hauteur de la carrosserie.
Reprenant ses esprits, et son courage à deux mains, il sourit fièrement en embrassant une dernière fois du regard la silhouette d'Izuku avant de conclure.

_ Tout était calculé pour que tu ne puisses pas me résister.

Sur les dernières secondes, il voit le visage d'Izuku s'illuminer d'un large sourire comme ses iris s'innondent de nuances brillantes.
Ses pommettes arborent également quelques teintes rosées, et Katsuki s'en mord la langue de satisfaction au moment de refermer la porte, s'éloignant fier et serein de la citadine.
Enfin, en tournant à la première ruelle, il disparaît du champ de la voiture et, s'il l'entend redémarrer, il ne se retourne pas pour autant, traçant sa route jusqu'à sa maison.

Légèrement nerveux après cette discussion qui le pousse maintenant à se remettre en question, il s'interroge sur la manière dont il devra aborder la prochaine discussion avec sa mère.
Mais, alors qu'il s'attend à avoir encore un peu de temps devant lui pour y réfléchir, il se fige en arrivant devant le portail de son domicile, voyant à travers la fenêtre de la cuisine que la lumière y est allumée.
Tout à coup, son ventre se noue.
Pourquoi est-elle déjà debout ?
Va t-il vraiment devoir la confronter immédiatement, encore à moitié sonné par sa nuit, par cette soirée avec Izuku, et par les papillons qui grouillent dans sa poitrine depuis qu'ils se sont quittés ?

Un instant, il envisage de faire demi tour et de fuir comme un lapin dans un champ.
Mais sa détermination, et peut être aussi l'envie urgente de retrouver, par la suite, le confort de son lit, le pousse à reprendre sa route vers la porte d'entrée.
Les paroles d'Izuku tournent en boucle dans sa tête, elles résonnent et se multiplient en milliers d'échos, et ces mêmes mots portent son courage au moment d'abaisser la poignée, rassuré de voir que la serrure n'est pas verrouillée.

Enfin, passant le hall d'entrée où il abandonne ses chaussures, il traine légèrement des pieds vers le salon à moitié éclairé, là où, également, il croise le regard perçant et épuisé de sa mère.
Assise sur une chaise autour de la grande table, les jambes croisées et un coude appuyé sur le plateau, elle grimace et inspire longuement par le nez.

_ Tu te fous de moi Katsuki ? T'as vu l'heure ?

Un élan sournois de colère lui agrippe le ventre, mais la voix d'Izuku le rappelle à l'ordre, et il se fait violence pour ne pas élever le ton, chuchotant presque en devinant son père en train de dormir dans la chambre parentale.

_ Oui, je sais.

Puis, fronçant subitement tout son visage, Mitsuki se lève lentement, un air trop sérieux imprimé sur ses traits.
S'avançant jusqu'à son fils, elle l'examine du cou à la pointe des cheveux, s'arrêtant un long moment sur ses yeux.

_ T'as fumé quelque chose ? Tu as bu ?

_ Quoi ? Bien sûr que non, qu'est ce que tu racontes ?

En la voyant si septique, s'attardant sur ses cernes et sa sclère* sans doute encore rougie de fatigue, il comprend tout à coup l'origine de ses suspensions, et s'empresse de rectifier la situation.

_ On s'est endormis m'man. Je devais rentrer hier soir mais on s'est endormis. Je viens de me réveiller et je suis rentré juste après, c'est pour ça que j'ai une sale tête.

_ J'espère que tu ne me mens pas Katsuki.

_ Pourquoi faire ?

_ Me prends pas pour une idiote. gronde t-elle avant de s'éloigner de deux pas, la mine contrariée.

Puis, faisant deux tours entre la table et le canapé, semblant réfréner sa propre envie de crier pour ne pas ameuter son mari, Mitsuki masse longuement ses tempes.

_ Qu'est ce que tu comprends pas Katsuki quand je te dis que tu ne sors pas ?

D'abord prêt à lui rentrer dans le lard comme à son habitude, le jeune homme se retient une fois de plus, gardant encore et toujours à l'esprit sa conversation avec Izuku.
Oui, ce n'est pas parce qu'il ne comprend pas son opposition qu'elle n'a pas de sens pour elle.
Alors, conservant son calme, il inspire doucement par le nez pour se lancer.

_ Je ne comprends pas pourquoi tu voulais me le refuser.

_ Je suis ta mèr-

_ Oui ça je sais. Je suis sérieux maman, je veux vraiment que tu m'expliques pourquoi tu voulais pas me laisser sortir.

Pantoise, comme si elle s'attendait à tout sauf à ça, sa mère reste interloquée un long moment, jusqu'à sembler, finalement, chercher elle aussi ce qu'elle doit dire.
Mais elle se ressaisit, et sans doute parce que la fatigue lui pèse de trop sur les épaules, elle revient rapidement s'assoir sur la même chaise que lors de l'arrivée de son fils.

_ Je sais que ça t'emmerde, commence t-elle, mais t'es encore jeune. Je sais pas ce que tu fais moi quand t'es dehors, mais je sais quel genre de conneries font les jeunes de ton âge quand ils sont dehors.

_ Je bois pas maman. Et tu sais pourquoi.

Elle baisse la tête aussi rapidement que s'il venait de lui mettre un coup de massue sur le crâne, et Katsuki se demande s'il n'aurait pas dû faire preuve d'un peu plus de délicatesse, pour une fois.

_ Je fume pas non plus. ajoute t-il malhabilement.

_ Qu'est ce que vous avez fait ? demande t-elle calmement, semblant vouloir s'y intéressé pour apaiser l'atmosphère.

Katsuki se tend à nouveau.
Lui qui vient enfin de faire un pas en avant vers sa mère, se voit déjà obligé de lui mentir encore.
Lui parler d'Izuku maintenant ne serait pas une bonne idée, pas alors qu'elle veut s'assurer qu'il ne fait rien d'anormal de ses sorties et qu'il tente de le lui prouver.
Alors, gigotant sur lui-même, il prend garde à dissimuler le bracelet sur son poignet, avant de feinter un soupir.

_ On a discuté, regardé la télé, et mangé des gaufres.

_ D'accord.

Enfin, comme un clic soudain, Katsuki fait seulement maintenant le lien entre l'heure matinale, son absence nocturne, et l'allure de sa mère avachie sur une chaise.

_ Tu es restée debout toute la nuit ?

_ Tu répondais pas au téléphone, il fallait bien que je te tope à la seconde où tu passerais la porte.

Légèrement perplexe, un tantinet honteux et secoué par cette remise en question somme toute drastique, il ratatine ses épaules et détourne le regard, les mains dans les poches mais la voix sincère.

_ Désolé de t'avoir inquiété.

Ses mots murmurés, à peine audibles, filent malgré tout jusqu'aux oreilles de Mitsuki, qui laisse enfin échapper un minuscule sourire.
Elle ne répond rien, mais son corps parle pour elle quand elle se redresse, les bras et la nuque désormais moins rigides.
Enfin, elle fait volte face et s'éloigne pour disparaître de la pièce, s'éclipsant sur un dernier mot.

_ Va te coucher maintenant. Ton père te réveille dans trois heures pour passer la tondeuse, ranger le garage et tailler les arbres. C'est ta punition, tu as de la chance que ce soit lui qui l'ait choisi.

Et il soupire pour la dernière fois, à la fois épuisé d'avance par la journée qui l'attend, mais tout autant soulagé d'avoir évité une section du cru de sa mère, qui aurait probablement consisté à faire de lui le larbin de la maison pour les six prochains mois ...

Du reste, même s'il part se coucher à la hâte, pressé de reposer son corps correctement, il trouve le temps de se faire cette remarque :
Toute sa vie semble bondir de surprises en changements depuis qu'Izuku y est entré sans même le faire exprès.

Est-ce un genre de signe ?

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*Sclère : le blanc des yeux 👀

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Heyy !!

Pfiou j'ai mis du temps à m'y mettre à ce chapitre, je suis vraiment vraiment désolée !
Mais j'ai adorée l'écrire et j'adorerais avoir vos retours dessus 🥺🥺

Je dois vous annoncer que mon chéri est actuellement en vacances, et que c'est globalement le seul moment de l'année où on peut vraiment faire des choses ensemble, alors je risque d'être très peu (voire pas du tout) active jusqu'au 1er septembre.
Bien sûr, on est jamais à l'abri d'un chapitre sauvage qui débarque de nulle part, mais je n'ai aucune certitude honnêtement !

Alors en attendant de se retrouver, je vous fais plein de bisous sur vos petites joues toute mignonnes, et je vous envoie plein de d'amour 😘

Prenez soin de vous ❤️🦩

PS : j'écris essentiellement sur mon téléphone en ce moment, et malgré la relecture, il m'arrive de louper des moments où mon correcteur fait un peu ce qu'il veut. Alors n'hésitez à me le signaler quand vous voyez un mot à la place d'un autre 🙃

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