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«𝐷𝑒 𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑒𝑠𝑡-𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑢 𝑎𝑠 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑒 ?»

Une corde vient de céder, dans la poitrine d'Izuku.
Cette attache solide qui, depuis sa rencontre avec Katsuki, retenait du mieux qu'elle pouvait les pulsions amoureuses que ce garçon provoque en lui.
Toutes enfermées dans un sac à tabous, scellées, verrouillées, fermement refoulées, ses émotions ne pouvaient que murmurer, chantonner tout au plus, mais l'asphyxie les empêchait d'en faire plus.
Pourtant ..

Le grand débordement a commencé lundi soir quand, réconforté dans les bras de Katsuki, Izuku a perçu l'orage qui se préparait en lui.
Déjà, un balancement violent a secoué ses émotions emballées, et comme pour manifester leur rébellion, celles ci se sont mises à crier, à scander, jusqu'à ce qu'il ne puisse plus échapper à leurs appels.
Puis, Katsuki a demandé à l'embrasser, et l'enveloppe pourtant solide de ses pulsions s'est déchirée, la fissure a laissé passer suffisamment d'air pour que ses envies reprennent leur souffle, puis se battent pour se libérer de plus en plus.

Il savait déjà, à cet instant, que ce n'était plus qu'une question de temps avant que plus rien ne les retienne !
C'est sans doute ce qui l'a fait paniquer après le départ abrupt de Katsuki en suivant, et comme s'il craignait trop les conséquences d'une telle rupture dans ses limites, il s'est dit qu'il devrait se donner le temps de recoudre sa cage à émotions.
Finalement, il n'en a pas eu le temps, et au retour de Katsuki aujourd'hui, tout a cédé.

La corde qui maintenait tout ça loin de son cœur s'est brisée, les pulsions dans leur linceul ont chaviré, droit dans sa poitrine, et la fissure s'est changée en ouverture.
De là, tout s'en est échappé.
L'admiration qu'il porte à son regard, la passion qu'il éprouve pour sa voix, l'envie dévorante de toucher sa peau, le besoin incandescent de goûter sa bouche, l'impatience infernale de caresser son corps, le désir abrasif de lui donner du plaisir.
Oh, celui là, ce désir là, il tambourine entre ses côtes, il frappe si fort même qu'il lui en fait mal, au point qu'il en devient vitale de lui obéir.

Les lèvres de Katsuki portent sur elle le goût de sa propre luxure, et l'étreinte humide de sa langue dans sa bouche le supplie de lui secouer les sens, l'âme et le cœur.
Il fait chaud, sous la peau d'Izuku, qui tremble et qui vibre, alors que son corps n'est plus guidé que par ces pulsions fraîchement libérées.
Pour le moment, ses craintes et ses doutes se retrouvent écrasés sous ce déferlement d'envies, et ils s'évanouissent dans un coin de sa tête.
Ils se réveilleront, bientôt, et ils en auront des choses à redire ..
Mais pas tout de suite.

Alors...

En attendant leur retour, Izuku profite de leur absence et de l'éclatement de ses sentiments pour ne plus les retenir.
En dessous de lui, Katsuki allongé sur le dos, lève doucement la tête pour laisser plus de place aux caresses de sa bouche dans son cou.
Lentement, fiévreusement, Izuku fait jouer sa langue contre la peau de son cou.
Il sillonne ses réactions, observe ses sursauts sur une zone ou une autre, et délimite son terrain d'action pour le faire flancher toujours plus.

Plus ardemment alors, il coince la chair douce juste en dessous de son menton entre ses dents, et un soupir de satisfaction émane des lèvres de Katsuki.
Puis il dérive davantage, il rejoint sa clavicule, il l'embrasse, la cajole contre sa bouche, contre sa langue, avant de faire face à un premier barrage.
Un vêtement.
Le marcel que porte son bel amant, et qui fait désormais obstacle à l'exploration de ses plaisirs.

Katsuki, lui, ferme les yeux à mesure que la chaleur d'Izuku se déverse dans son corps.
La tête légèrement en arrière, les lèvres entrouvertes et soupirantes, sa respiration s'adapte au rythme des caresses de celui qu'il aime.
Il garde en mémoire chaque baiser sur sa peau, chaque contact, chaque sillon de salive qu'Izuku laisse derrière lui en le découvrant.
Il aime si fort les sensations qui se répandent à travers sa chair et son sang, elles font battre son cœur plus vite, plus fort, et amènent l'excitation à son paroxysme, juste là, tout en bas de son ventre.

Pendant ce temps, Izuku ne perd pas le sien justement, et en se redressant partiellement sur ses genoux, passe ses deux mains sous le débardeur de Katsuki, soulevant lentement le tissu jusqu'à le faire remonter à sa poitrine, puis le retirer entièrement.
Ses doigts visitent l'espace en premier, ils se déplacent de son nombril au relief de ses côtes, passent entre les lignes de ses abdominaux, et tout ce qu'il voit et touche lui paraît si beau, si doux, si parfait.
Ses caressent affolent les émotions de Katsuki, qui n'en demande que plus encore en s'agitant en dessous de lui, le suppliant du reste de lui donner tout ce qu'il attend.

_ S'il te plaît. soupire t-il en saisissant ses poignets pour le ramener plus près de lui.

Izuku se laisse emporter par la chaleur de cette requête, il s'approche à nouveau mais, en cambrant son dos, dépose un premier baiser sur la peau fine et blanche de son ventre, presque aussi pâle que le corps d'une poupée de porcelaine.
Il sème, un peu partout sur son abdomen, des marques d'amour et de passion, embrassant chaque détail sans ignorer le balancement de plus en plus furieux de la poitrine de Katsuki.
Sa respiration s'égare.

Et plus il le voit s'égarer, plus il veut le goûter.
Alors ses lèvres s'intéressent à ce torse sculpté, et tout particulièrement à ce téton juste ici, qui semble n'attendre que la chaleur de sa bouche et la provocation de sa langue.
Et il suffit d'un seul contact humide pour que Katsuki réagisse, le dos arqué, un gémissement discret dans la gorge, alors qu'il plonge sa main dans les cheveux d'Izuku.
Au passage, ses doigts retirent l'élastique qui le gêne, et les boucles brunes retombent d'elles même sur son visage.

_ Encore. supplie Katsuki, sentant la langue d'Izuku exciter lentement la pointe de son téton.

Neamoins, Izuku est encore bien loin d'en avoir terminé avec lui, et parce que tout déferle si vite en lui, ses gestes s'agitent plus vite encore que ses pensées.
En se redressant d'un coup, s'installant en seiza, il entraîne Katsuki avec lui, l'invitant lui à prendre place sur ses cuisses.
Le buste de l'étudiant se plaque fermement au sien en même temps que ses bras se nouent à son cou pour garder plus facilement la position.

Et finalement, parce que leurs lèvres s'appellent entre elles, ils s'élancent ensemble dans un nouveau baiser.
Toujours plus intense, plus passionné, plus impatient.
L'épiderme de Katsuki frisonne sur toute sa surface, et lorsque les caresses d'Izuku survolent sa colonne vertébrale, celle ci se couvre de chair de poule.
En lui ne résonne plus désormais que l'amour devorant qu'il lui porte, qu'il nourrit pour ses yeux depuis le tout premier jour, cet amour ravageur, destructeur, et pourtant si doux et agréable.

Aussi, quand il se doit de reprendre un peu de son souffle, il profite de cette courte entracte pour défaire, à son tour, Izuku du vêtement qui couvre le haut de son corps.
Tirant sur le tissu, obligeant son superbe amoureux à lever les bras, il s'en débarrasse enfin comme d'un vulgaire morceau de chiffon.
Et, pour la première fois ainsi, il découvre la cicatrice d'Izuku dans son entièreté.

S'il n'en voyait jusqu'ici que les dégâts sur son bras et la naissance de son épaule, il se rend compte aujourd'hui de son impressionnante étendue.
Dérivant à partir de sa clavicule, où elle souligne un relief profond et large, elle mange une partie de son pectoral, se scindant en ramifications fines semblables à celles d'un éclair pendant un orage.
Aussi, partout où elle passe, la peau se fait plus claire et lisse, comme figée ou morte.
Katsuki la detaille longuement du regard avant d'y poser un index, qu'il fait glisser le long des lignes cicatrisées.

Puis, comme pour promettre et garantir qu'il aime et affectionne réellement chaque partie de lui, il embrasse sans brutalité ce creux dans sa clavicule, touchant du bout de ses lèvres l'histoire et le passé de cet homme qu'il chérit si fort.
Enfin, il termine en relevant les yeux vers les siens, entrant dans ses iris comme on le ferait dans un tunnel sans fin.

_ Touche moi encore. demande t-il en murmurant.

_ Pas ici.

Soulignant ses propos par un regard en direction de la fenêtre du salon, Izuku lui fait remarquer le vis à vis sur la route, et Katsuki se mord la lèvre inférieure en songeant à la suite.
Pour échapper aux yeux curieux des passants et des voisins, Izuku s'apprête t-il à le guider jusqu'à sa chambre ?

Avant qu'il ne puisse s'interroger davantage, Izuku l'invite gentiment à descendre de ses jambes, avant de se relever le premier, lui tendant la main pour lui intimer de le suivre.
Torse nu, debout et ainsi décoiffé, il se révèle plus incroyable encore qu'à l'accoutumée, révélant aujourd'hui le dessin de son buste, les courbes de ses muscles et la facette la plus naturelle de son charme.

Katsuki n'hésite pas un instant, emboîtant son pas à travers le couloir pour gagner, en effet, la chambre aux volets tout juste entrebaillés.
Dans la pièce, le lit n'est pas fait, et quelques vêtements propres qui, semble t-il ont été recalés au casting de ce matin, traînent au pied de la grande armoire.
Mais surtout, la lumière éteinte et le sobre éclairage qui se faufile par les fenêtres donnent au lieu une ambiance particulièrement intime et sauvage.
Les draps n'attendent plus qu'eux.

Aussi, Izuku voit briller, dans le regard de Katsuki, une lueur de trac, un trait d'inexpérience et le poids de la pression qu'il s'inflige à lui même pour ce moment.
Mais tout ira bien.
Parce qu'Izuku non plus n'est pas encore prêt à contredire la totalité de ses freins et de ses inquiétudes.
Il sait qu'il ne pourra, d'aucune manière, dépasser les limites que lui imposent ses doutes tenaces.

Alors il suffira d'obéir au rythme et aux tremblements de chacun, avec toute la douceur dont ils sont capables de faire preuve l'un pour l'autre.

Quand il fait de nouveau face à l'étudiant, il laisse glisser ses mains le long de ses flancs, chatouillant sa peau pour en aimer chaque grain.
Enfin, il humecte ses lèvres comme pour ne pas succomber à la chaleur infernale qui envahit son corps, avant d'embrasser doucement sa bouche.
Le baiser, délicat et presque silencieux, ramène un peu de calme dans leurs esprits, apaisant leurs rythme cardiaque et ralentissant les caresses de l'un et de l'autre.

_ De quoi est-ce que tu as envie ? murmure Izuku près de la tempe de Katsuki.

_ De toi.

Izuku lui sourit, attendri autant qu'émoustillé par sa réponse, qu'il accompagne d'une voix légèrement rauque et d'une ombre de désir dans le regard.
Son visage, tout doucement éclairé par les fins rayons de soleil qui traversent les volets, s'illumine tout à coup de milliers de reflets incandescents.
Ses lèvres, pulpeuses et humides, paraissent plus rouges et envieuses, et ses iris brillants renvoient soudain des émotions nouvelles.
Et Izuku le trouve si beau.
Si beau qu'il pourrait l'observer pendant des heures, l'embrasser pendant des jours, le caresser pendant des décennies.

Puis, aussi tranquillement que précautionneusement, Izuku entreprend de défaire la boucle de la ceinture de l'étudiant.
Sans jamais le quitter du regard, semblant lui demander silencieusement son consentement à chaque nouvelle seconde, ses mains s'affairent sans trembler.
Quand ses doigts effleurent le bouton de son pantalon, il tire dessus tout en claquant un baiser furtif sur ses lèvres.
Enfin, le tissu sombre de son boxer apparaît discrètement, libérant au passage un peu de la pression monstrueuse qui s'exerce en bas de son ventre.

Avant d'aller poursuivre leurs caresses sur le matelas, Izuku tient à observer et savourer minutieusement les réactions et expressions du visage de Katsuki en même temps qu'il le touche.
Ainsi, ses doigts s'imiscent dans ce pantalon partiellement ouvert, glissant sur le tissu élastique du sous vêtement, caressant fiévreusement l'érection dissimulée de l'autre côté.
Juste en l'effleurant, la parcourant du haut vers le bas, puis du bas vers le haut, il provoque chez Katsuki une série de tressautements respiratoires.

Sa poitrine se secoue, ses épaules se secouent en rythme, et sa bouche s'ouvre.
Ses paupières, elles, se ferment à moitié, plissant légèrement son front, tandis que le souffle qui s'échappe d'entre ses lèvres se fait de plus en plus brûlant.
Puis il s'accroche aux épaules d'Izuku, plongeant son visage dans son cou, qu'il embrasse encore et encore comme pour tenter de lui transmettre ce que des mots ne sauraient pas dire.

L'euphorie de ses sentiments, la puissance de son plaisir, la violence de son désir.

Mais Katsuki, qui s'est peut être laissé porter jusqu'ici, ne compte pas rester ainsi passif plus longtemps.
Après tout, Izuku aussi doit avoir droit à sa séance de frustration, et il ne faudrait pas qu'il se croit épargné des mains franches et joueuses de l'étudiant.
Alors à son tour il s'agite avec l'objectif bien visé de lui rendre la pareille, un peu plus à sa manière ceci dit.
Brisant l'étreinte qui le retenait contre lui, il s'éloigne d'un demi pas pour élargir son champs de vision et d'action, détachant sans patience ni vergogne les attaches du pantalon d'Izuku, qu'il fait rapidement glisser le long de ses jambes, lui intimant d'un coup d'oeil échauffé de débarrasser ses chevilles du vêtement.

Et si son ordre semble faire naître un sourire entendu chez son amant, il s'exécute malgré tout, et Katsuki ne perd pas de temps pour se charger de la suite.
Retirant son propre vêtement, emportant son boxer avec pour ne plus avoir à s'en formaliser, il s'expose entier et nu au regard vert en embrasé d'Izuku.
Ses incroyables iris aux nuances folles se décorent désormais de lueurs incandescentes, telles celles émises par un gigantesque feu de forêt, d'ombres bleues semblables à la naissance d'une flamme, et d'éclats de lumière plus pure qu'un rayon de soleil.

Dans ses grands yeux miroitants, Katsuki peut soudain y observer deux fantastiques aurores boréales.

Résister à leur appel serait aussi stupide qu'impensable, et pour obéir au besoin pressant de les rejoindre, il s'avance à nouveau pour embrasser la bouche de leur hôte.
Ces lèvres, ah .. ces lèvres.
Elles possèdent probablement le pouvoir de le tuer, puis de le réanimer, et de recommencer à l'infini.
Et ces baisers .. sans doute capables eux aussi de faire de lui un roi ou un esclave, fier détenteur d'un bijou magique dont il serait le soumis.

Quand son buste embrasse le sien, fusionnant leurs lignes et leurs courbes, les frissons de son corps s'intensifient à lui mordre la peau, et il ne peut qu'en vouloir plus, encore plus.
Son sexe, droit et gorgé pulse de toute sa force, plaqué sous le nombril d'Izuku, séparé de son érection à lui par le sous vêtement restant de ce dernier.
Ça ne va pas durer.

Mais avant de l'en délivrer, sa main se fraie un chemin sous l'élastique du dit boxer, et son index rencontre bien vite la surface lisse et humide du gland qui domine son érection.
Il le frôle, le caresse sous la pulpe d'un seul doigt, en observe les tressaillements à chacun de ses gestes.
Izuku qui défaille penche la tête pour lui mordre le haut de l'épaule en guise de réponse, mais surtout de supplication.
Et puis, c'est seulement lorsqu'il entend sa respiration trembler à lui en faire perdre son souffle qu'il l'invite à terminer de se déshabiller en tirant gentiment sur l'élastique.

Les voilas face à leurs simples anatomies sans fioritures ni couvertures, prêts à se donner et s'échanger leurs plaisirs.
Les lèvres d'Izuku vibrent d'excitation quand il saisit son amoureux par la taille, l'emportant avec lui jusqu'au bord du lit.
S'y asseyant le premier, il attire l'étudiant sur ses jambes, qui ouvre ses cuisses pour se jeter à genoux au dessus de lui.
S'embrassant fiévreusement, ils s'éparpillent en caresses de plus en plus franches, et quand Izuku saisit totalement la verge de Katsuki dans sa main, ce dernier en fait de même pour lui.

Leurs poignets croisés, collés l'un à l'autre dans un espace plus que réduit, s'agitent et se balancent en rythme désordonné mais follement grisant.
Entre leurs bouches braquées l'une à l'autre, des soupirs et des filets de gémissements s'entrechoquent, se mélangent, s'encouragent mutuellement.
La tête d'Izuku tourne, ses sens se perdent dans ce plaisir affolant qui brouille ses esprits.
Les décharges électriques qui le traversent à chaque nouveau mouvement de la main de Katsuki le font chavirer de plus en plus.

Il embrasse ses lèvres, soupire, les embrasse encore, et soupire à nouveau.
Il vibre, il tremble, et sa deuxième main se perche dans les cheveux blonds et doux de ce garçon dont il est définitivement tombé amoureux.
Enfin, quand il succombe aux sensations trop puissantes, il se laisse basculer en arrière, s'étalant sur ses draps tandis que Katsuki l'accompagne dans sa chute.

D'abord à quatre pattes au dessus de lui, l'étudiant s'allonge doucement sur son corps pour retrouver leur proximité, et reprendre ensemble cette longue caresse délicieuse.
Restant en appui sur un de ses coudes pour ne pas s'écraser complètement sur l'abdomen d'Izuku, Katsuki respire fort, de plus en plus fort.
Izuku ne le ménage pas, variant la cadence du jeu de sa paume pour frustrer son excitation, l'obliger à supplier, et faire durer le plaisir.
Progressivement, quelques gouttes de sueur s'invitent sur son front et dans son cou, mais il ne peut pas s'arrêter.

Enfin, ils s'accordent sans se concerter en joignant leurs deux érections l'une contre l'autre, encerclant les deux ensemble dans leurs mains pour perdre définitivement la tête.
Katsuki entend son propre coeur se rompre, et voit sa vision se troubler en même temps que le vertige lui frappe la nuque.
Il geint de satisfaction, puis ses cordes vocales craquent dans sa gorge au moment de jouir.
Il éjacule, quelques petites secondes avant Izuku, qui s'abandonne aussi en une courte série de d'expirations rauques et gresillantes.

Enfin, il se laisse choir complètement sur lui, en dépit de la sensation collante et peu agréable du sperme sur leurs ventres.
Son visage se loge dans son cou, dérangé par quelques mèches ondulées qui chatouilles ses tempes, mais il ferme les yeux, et reprend son souffle en même temps qu'Izuku.

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Hey !

Comment allez vous ?
L'attente n'a pas été trop longue ? 😛

J'ai coupé immédiatement sur la fin du lemon pour laisser toute la place à la scène plus calme qui suivra dans le prochain chapitre !

En attendant, j'espère que celui ci vous a plu, et je vous fais de gros gros bisous 😘

Prenez soin de vous ❤️🦩

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