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2 II Dernier mot, dernier meurtre


Dernier mot, dernier meurtre de maioumaia et fairyvb


Dernier mot, dernier meurtre

Tiphaine était en pleurs devant la télévision. Elle avait reçu l'appel de son père qui lui avait annoncé la dévastation de sa vie. Elle s'était brusquement dirigée vers la télévision en l'allumant après cette annonce, mais les mots lui revenaient :

"Bienvenue au journal de 20h, nous avons une information de la plus haute importance à vous transmettre :
aujourd'hui, vers 15h et quelques, des policiers ont retrouvé le célèbre Kalevi Aho, compositeur finlandais, connu pour ses 17 symphonies, mort, dans une cabine téléphonique de Londres.
Cet endroit sera interdit au public jusqu'à ce que les recherches soient terminées."

Tiphaine soupire. Aho était son compositeur préféré et, malgré son âge, il continuait d'écrire ses symphonies, plus belles les unes que les autres. Elle était déçue, triste, en colère, enragée contre celui qui avait causé sa mort. Elle avait eu un doute sur le meurtre avant d'en venir à cette conclusion. Elle avait pensé à un accident, mais la cabine téléphonique, selon son pèrez était demeuré intacte et quel accident peut-il arriver dans une cabine téléphonique intacte ? Aucun, on est d'accord. Elle avait aussi pensé à une crise cardiaque. L'auteur commençait à se faire vieux et on ne sait jamais avec l'âge. Elle a écarté cette possibilité car la police ne bloquerait pas les rues pour si peu. Le suicide ? ? Tiphaine n'est pas stupide, elle savait qu'Aho ne s'était pas donné la mort tout seul, il était en pleine écriture d'une nouvelle symphonie. Il n'aurait jamais laissé une œuvre en plan, ce n'était pas son genre.


Un meurtre, c'était l'explication la plus logique.


Pour, en quelque sorte, "venger" son symphoniste favori, Tiphaine décida de mener son enquête. Elle voyait bien que les enquêteurs étaient au point mort, mais elle ne voulait pas que le meurtre soit sans réponse.


Quand elle annonça sa détermination à son père, qui était lui-même policier, il lui répondit qu'elle ne devait pas s'occuper de cette affaire. Mais, impulsive comme elle l'était, Tiphaine n'écouta pas son père et commença ses recherches sur l'assassin. Le fait que son père était sur l'affaire lui facilitait grandement l'accès à l'information.

Le lendemain, de nouveau un meurtre. Celui de Yasushi Akutagawa. Un compositeur japonais qui avait écrit 3 symphonies.


Tiphaine se posa sur sa chaise de bureau. Un point commun entre ces meurtres : les symphonies.


Tiphaine décida de se rendre discrètement dans les anciennes demeures de M. Akutagawa et de M. Aho, espérant trouver des indices. Elle y trouva un point commun :

un sous-verre d'un café de musique classique qu'elle fréquentait occasionnellement.


Chez Kalevi, rien de spécial, mise à part une symphonie gribouillée sur la fin.
Chez Akutagawa, pareil, avec également une symphonie raturée sur les dernières notes.
Tiphaine commença à se poser des questions... Deux symphonies, avec les notes finales gribouillées... Ce n'etait pas commun. Elle décida donc d'emporter les symphonies avec elle pour pouvoir les examiner de plus près sans que son père apprenne ses allées et venues.
Arriver chez elle, elle s'empressa de lire les deux symphonies. Quelle douce mélodie ! Elle reprit ses esprits et regarda attentivement les deux feuilles.


Un mot.


Deux mots.


À la place des dernières notes. En prenant les feuilles, elle remarqua une chose : une tâche de café sur chacune d'elles.

Cela faisait maintenant un mois que des symphonistes mouraient de façon inexpliquée en laissant derrière eux une symphonie inachevée, dont les dernières notes étaient remplacées par des mots sans importance. Enfin, c'est ce que tout le monde croyait. Sauf Tiphaine, qui était apparemment la seule à avoir fait le lien entre ces mots. Malgré les restrictions de son père, elle continuait de chercher les mots laissés par le tueur. Son père était l'enquêteur principal de l'affaire : après des soirées à chercher le meurtrier, il finissait par dormir et la jeune fille consultait le dossier. Chaque mot était unique, chaque musique était gâchée par cette tâche lettrée. Si c'était un code ou un message ? Chaque mot représentait sûrement une chose. Les mots n'étaient pas toujours en lien avec la mélodie, mais il restait qu'ils ont un lien et un ordre, mais ils ne semblaient pas être dans le bon ordre.


Plus les jours passaient, plus il y avait de meurtres de symphonistes. Plus il y avait de meurtres, plus il y avait de mots. Plus les mots avaueient un sens. Plus le sens des mots donnait des indications sur le meurtrier. Plus l'enquête de Tiphaine avançait. Des mots et des notes tous les deux en harmonie pour donner un résultat sanglant. Tiphaine regardait les mots, en essayant de faire un lien entre eux, mais le faire un lien était assez difficile car elle n'avait pas d'indice, sauf par rapport au meurtre. Elle n'en pouvait plus de chercher sans réponse, les seules indices étaient les mots...
Mais si les mots finissaient par faire une phrase ?
Elle arriva dans une phase où la seule chose qu'elle avait était les mots.
"Je ne suis pas un simple tueur je suis l'..."

Elle n'avait aucune piste pour trouver le mot manquant, sauf un symbole. Elle avait reconnu cette marque, c'était l'emblème d'un café. Elle l'avait vu dans les appartements de chacune des victimes. N'y prêtant pas attention, elle n'était pas allé chercher plus loin. C'était son café préféré et celui des symphonistes aussi. Ils étaient tous allés à ce café pour finir leur symphonie.


Tiphaine se concentra sur le logo et décida de se rendre au café pour essayer de trouver quelques indices. C'était un petit bar à l'aspect lugubre avec, en fond, de la musique classique.
Elle s'assit sur un siège du bar, en face d'une petite scène remplie de vieux instruments. La personne au comptoir observa Tiphaine d'un air malveillant, sûrement croyait-il qu'elle était le genre de personne qui fouinait dans les affaires des autres. La clientèle habituelle était des jeunes artistes en émergence qui avaient un espoir : vivre de leur musique. Tiphaine s'approcha de l'homme au comptoir, un homme avecbune carrure d'ex-prisonnier, les bras remplis de tatouages. Tiphaine le connaissait seulement de nom, elle avait peur de lui et n'osait pas l'approcher. Elle eut un gloussement en voulant prendre la parole devant le grand barbu, mais elle y alla tout de même :

"- Monsieur, est-ce que je pourrais vous posez des questions sur les symphonistes disparus ?"

L'homme la regarda droit dans les yeux. Il lui lança un air moqueur avant de lui cracher au visage :

"- Les plagieurs ?"

Tiphaine était sous le choc en entendant la personne parler aussi mal de ses auteurs préférés. Elle cria sur l'homme :

"- Comment osez-vous parler des auteurs comme ça ?!"

Il lui glissa une adresse.

" - Tu comprendras en le voyant."

Tiphaine ne prit pas deux secondes et elle s'en alla directement à l'adresse sans même remercier le barman. Elle marchait, énervée par l'insulte de l'homme, quand elle entendit les sirènes de la police sur la route. Elle accéléra le pas quand elle vit les voitures devant l'immeuble délabré.
Elle se fraya un chemin entre le public et les policiers et observa le massacre :
un homme s'était pendu en ayant écrit avec son sang les quelques lettres :

A U T E U R

Elle regarda le sol rempli de partitions et, dans la masse, elle remarqua un livre, un cahier avec une couverture de cuir et dans un petit endroit écrit le titre à l'encre noire. Elle se pencha vers le manuscrit en question, il était écrit en guise de titre "Dernier mot, dernier meurtre" . Il était déposé au pieds du penduz alors Tiphaine crut que c'était parce qu'il l'avait dans ses bras lorsqu'il s'était suicidé. Elle en lit une partie :

" Tiphaine s'approche de l'homme au comptoir, un homme à une carrure d'ex-prisonnier, les bras remplis de tatouages. Tiphaine le connaissait seulement de nom, elle avait peur de lui et n'osait pas l'approcher. "

Tiphaine lâcha le livre d'un coup, elle tomba à genoux, dévastée par la révélation.

Le tueur était en fait l'auteur de ce récit, de son récit.

Tout ça était inventé, il n'y avait jamais eu de meurtres de symphonistes et sa vie n'était qu'un mensonge.

Véro et Yuyu

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Maintenant, je vais laisser place aux interviews des deux auteurs:

INTERVIEW fairyvb


1) Pourquoi as-tu décidé de participer à ce concours ?


J'en avais entendu parler sur le livre "On s'ennuiera toujours sur Wattpad", du compte Chicken-on-a-raft et je suis allée jeter un coup d'œil. J'ai trouvé le concept sympa et encore plus quand j'ai appris qu'on allait travailler avec un/une inconnu/e. C'est ce qui m'a décidé à participer


2) Est-ce que cette collaboration t'a apporté des choses ? Si oui, quoi ?


Elle m'a appris que l'âge n'a pas d'importance pour écrire avec quelqu'un et également ce qu'était la dysorthographie (Va savoir quel était le sujet de départ °^°)


3) Parle-nous un peu de ton texte. Quel a été votre cheminement de pensée depuis le thème jusqu'au texte final ?


On a toutes les deux (avec ma partenaire) voulu écrire un texte avec des meurtres. Cependant ça nous a été difficile de relier des meurtres au thème.


Voici le résumé de nos longues conversations :


"- Meurtres + symphonies... Bah meurtres de symphonies !


- Tuer des symphonies? Heu... Histoires à caractère surnaturels alors.


- Maaais non. Tuer ceux qui écrivent les symphonies.


- Abadakor c'est plus logique."


Voilà ^^


On va maintenant passer aux questions plus personnelles.


1)Pourquoi écris-tu ?


Parce que j'aime ça :)


Nan plus sérieusement ça me permet de me défouler, de dire tout ce que j'ai sur le cœur sans ouvrir la bouche.


D'ailleurs, j'écris un livre sur ma vie, et dès que quelqu'un m'énerve, je le tue ou le fait disparaître :)


Ce qui est bien dans l'écriture c'est qu'on peut faire tout ce qu'on ne peut pas faire dans la vraie vie


2)Quels sont tes mots préférés ?


Mmh... Je dirai "agripper" "euphorique" et "sourire".


3)Quel est le genre que tu aimes le plus écrire ?


Science-fiction !


4) As-tu pour projet de faire éditer un de tes romans, ou est-ce que tu en as déjà fait éditer un ?


Pour l'instant je ne pense pas que j'ai un niveau assez haut pour pouvoir faire éditer un de mes livres mais je pense continuer l'écriture pour faire de plus en plus de textes enrichis et éventuellement en faire éditer un. Mais pour l'instant, c'est pas gagné -_-


5) Projettes-tu, ou es-tu en train de faire, un métier dans le domaine littéraire ? Si oui lequel ?


Non, je prévois d'être couturière ^^


6) Quel est le projet littéraire ou artistique dont tu es le plus fier ?


Heu... J'en sais trop rien. Mais en terme d'histoire (pas terminée), la meilleure que j'ai écrite, c'était "Place, enclenche et survie" :


L'histoire d'une petite fille japonaise qui pour survivre, doit placer des bombes sous l'ordre de son chef Gorjuss.


7) Un petit mot pour clore cette interview ?


Ce concours est une chouette idée, je verrai bien une deuxième édition ! :)



INTERVIEW DE fairyvb


1)Pourquoi as-tu décidé de participer à ce concours ?


Pour écrire un texte avec quelqu'un voir qu'est-ce que ça donnerais


2) Est-ce que cette collaboration t'a apporté des choses ? Si oui, quoi ?


J'ai compris que écrire un texte a deux c'est dure, on n'a pas le même horaire, on ne peux pas se voir ni parler à cause du décalage horaire aussi la différence d'âge ça fait des idée différente, mais je retravaillerai n'importe quand avec ma partenaires


3) Parle-nous un peu de ton texte. Quel a été votre cheminement de pensée depuis le thème jusqu'au texte final ?


J'ai proposer l'idée de faire un type thriller mystère parce que j'avais vue que ma partenaires écrivain de se style et moi aussi, alors on a proposés des idée en faisant chacune sa parti et on a fini par les relier ensemble, ma partenaires a eu l'idée de la fin et j'ai aimer ça


On va passer aux questions plus personnelles.


1)Pourquoi écris-tu ?


Parce que j'avais des problèmes en français, je cherchais un moyen de m'améliorer et j'ai remarqué qu'écrire me clamait et par la suite on m'a diagnostiqué de dysorthographie ce qui empêche de me rappeller de l'orthographe des mots. Je continue d'écrire pour être moins affecté par mon déficite


2) Quels sont tes mots préférés ?


J'utilise souvent le alors sinon il a fée et clair


3) Quel est le genre que tu aimes le plus écrire ?


Fantastique, fantasy et thriller


4) As-tu pour projet de faire éditer un de tes romans, ou est-ce que tu en as déjà fait éditer un ?


Non, je ne crois pas que mes histoires sois assez bonne je pense que celles que je voudrais le plus édité c'est la dernière unique et la légende des fées White, mais il manque beaucoup de travail


5) Projettes tu de faire un métier dans le domaine littéraire/fais tu un métier dans le domaine littéraire ?


Disons que pas du tout, je suis en Technologies des productions animales pour le moment c'est la technique pour devenir représentant dans et conseillers les agriculteurs, mais je veux après aller en agroéconomie pour travailler dans les banques et pouvoir aider les agriculteurs avec leur projet de façon financière


6) Quel est le projet littéraire dont tu es le/la plus fier.e ?


Je ne sais pas, je dirais que je suis fière de notre texte, je dirais que mon roman la légende des fées White que je travaille depuis quelques années. Sinon je suis fière aussi de tout mes textes


7) Un petit mot pour clore cette interview ?


Merci à l'organisatrice et à ma partenaires pour cette belle expérience


Merci de vos votes et de vos lectures. 

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