Shut up, put your make-up
N'avez vous jamais eu l'impression de devoir porter un masque en société?
Ce sentiment désagréable qui vous colle à la peau et qui fait grincer votre crâne.
Cette peur maladive du rejet d'autrui face à votre personnalité jugée "anormale" par ces humains tout de papier peint et de maquillage, servant à couvrir leurs propres imperfections et leurs cicatrices indésirables.
Vos mains moites, votre coeur qui se serre et votre souffle qui devient irrégulier.
Quand chaque bouffé d'air devient douloureuse et que les regards oppressants compressent votre esprit, l'empêchant de penser à cause du mal de crâne qui serre vos tempes.
Lorsque l'atmosphère devient étouffante et que l'angoisse d'exister vous lacère les tripes, que vos oreilles bourdonnent des chuchotements sournois qui font germer dans votre cerveau une pousse d'anxiété, donc les racines pénétrantes s'enfouissent dans les moindres recoins de votre esprit.
Alors la pression s'accumule tel des lourdes briques sur vos épaules et vous continuez à marcher en sentant cette pression vous courber l'échine, alors vous vous recroquevillez, souhaitant disparaître à tout jamais, abîmer dans des temps innommables et immémoriaux.
Puis la fissure de votre coeur se fend dans un craquement sourd et vos émotions qui jusque là vous consumez à petit feu se libèrent en une explosion d'expressions. Le regard des gens comme un lointain souvenir, flou et mélancolique.
Vous marchez droit en relevant le menton et en ignorants les jugements superficiels et ignorants des humains vous paraissant soudain comme des mirages superflus. Vos ailes autrefois écrasées par la société se libèrent alors pour vous permettre de vous envoler vers un monde meilleur qui pourtant n'existe pas, ce monde que vous découvrez
N'avez vous jamais eu l'impression de devoir porter un masque en société?
Ce sentiment désagréable qui vous colle à la peau et qui fait grincer votre crâne.
Cette peur maladive du rejet d'autrui face à votre personnalité jugée "anormale" par ces humains tout de papier peint et de maquillage, servant à couvrir leurs propres imperfections et leurs cicatrices indésirables.
Vos mains moites, votre coeur qui se serre et votre souffle qui devient irrégulier.
Quand chaque bouffé d'air devient douloureuse et que les regards oppressants compressent votre esprit, l'empêchant de penser à cause du mal de crâne qui serre vos tempes.
Lorsque l'atmosphère devient étouffante et que l'angoisse d'exister vous lacère les tripes, que vos oreilles bourdonnent des chuchotements sournois qui font germer dans votre cerveau une pousse d'anxiété, donc les racines pénétrantes s'enfouissent dans les moindres recoins de votre esprit.
Alors la pression s'accumule tel des lourdes briques sur vos épaules et vous continuez à marcher en sentant cette pression vous courber l'échine, alors vous vous recroquevillez, souhaitant disparaître à tout jamais, abîmer dans des temps innommables et immémoriaux.
Puis la fissure de votre coeur se fend dans un craquement sourd et vos émotions qui jusque là vous consumez à petit feu se libèrent en une explosion d'expressions. Le regard des gens comme un lointain souvenir, flou et mélancolique.
Vous marchez droit en relevant le menton et en ignorants les jugements superficiels et ignorants des humains vous paraissant soudain comme des mirages superflus. Vos ailes autrefois écrasées par la société se libèrent alors pour vous permettre de vous envoler vers un monde meilleur qui pourtant n'existe pas, donc vous le créez.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro