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[Chapitre 2]

Kise était un jeune mannequin, blond aux yeux dorés, toujours souriant. Optimiste et motivé, c'était aussi le genre de personne qui débordait d'amour ! Certes, il tapait sur le système de pas mal de gens, mais c'était tout de même difficile de le détester.

Plutôt peureux et pleurnichard sur les bords... et bien...disons que c'est sans surprise qu'il fondit en larme, paniqué, devant la situation à laquelle lui et ses anciens coéquipiers faisaient face : Seuls, enfermés dans un manoir affreusement glauque, sous la menace constante de Akashi Seijuro, leur ancien capitaine, schizophrène et sadique.

« Il faut qu'on trouve un moyen de sortir d'ici ! s'écria-t-il en larme. Je ne veux pas rester là ! J'ai froid ! J'ai faim ! J'ai soif ! J'ai peur ! Je veux ma maman ! Je suis trop beau pour mouriiiiiiir !
- Kise, tu fais trop de bruit » fut la seul réponse qu'il obtint de la part de Kuroko.

Le blond se laissa alors dépérir dans un coin, déprimé au possible, en sanglotant quelque chose comme "Kurokocchi est trop méchant" ou "Je ne veux pas mourir"

« Peut-être y a-t-il une autre sortie, suggéra Midorima qui tentait tant bien que mal de garder son sang-froid.
- Ouai, ou p'têtre pas, grogna Aomine passablement énervé.
- On saura pas tant qu'on sera pas aller voir, lâcha Murasakibara en continuant de manger le contenu du paquet de bonbon qu'il n'avait pas lâché.
- Alors qu'est-ce qu'on attend ? » lança l'As en partant devant.

Les autres n'hésitèrent pas à le suivre, sauf Kise qui était toujours aussi terrifié. Mais ne souhaitant pas rester seul, il se mit à courir afin de rattraper ses camarades, peu désireux de les perdre.

« Cet endroit semble immense... » nota Kuroko en apercevant un carrefour au bout du couloir.

S'arrêtant, les joueurs se mirent à réfléchir. Trois choix s'offraient à eux : À droite, à gauche ou bien retourner en arrière.

« Séparons-nous, ça ira plus vite ! déclara Midorima.
- Mais ça va pas ?! s'écrièrent Kise et Aomine d'une même voix alors qu'ils avaient tous deux pâlit.
- Kise-chin et Mine-chin ont peur ? demanda le plus grand des cinq.
- Mais n'importe quoi ! s'écria Aomine. Le seul qui peut me faire peur, c'est moi ! »

Un blanc suivit la déclaration de l'As, suivit d'un rire étouffé de la part du mannequin et d'un petit sourire moqueur de la part de Kuroko.

« Je suppose donc, reprit le vert, que tu n'auras aucune objection à ce que nous nous séparions ? »

Aomine voulut répliquer, mais ne voulant pas se rendre encore plus ridicule, se ravisa, grommelant quelques injures à l'adresse du joueur à lunette.

« Bien, je vais donc aller à gauche.
- Je viens avec toi Mido-shin, décida le géant.
- Moi aussi Midorimacchi ! »

Et sans attendre leur réponse, Kise attrapa les bras de Midorima et Murasakibara et les entraina à gauche. Resté seul, Aomine poussa un soupir... Quand il sentie une présence proche de lui ! Pour la deuxième fois de la journée, il fit un bond de trente mètre en hurlant, ce qui lui valut le regard blasé mais légèrement amusé de Kuroko.

« Bordel Tetsu ! s'écria L'As. On avait dit quoi au sujet de tes apparitions ?!
- Désolé. »

Bizarrement, cette réponse rappelait vaguement à Daiki la discutions que lui et son ancienne ombre avait eu devant le manoir, à peine une heure plus tôt. Il décida donc de ne rien répliquer et partie à droite, suivit du joueur fantôme, tout en grommelant un "On se croirai dans un film d'horreur".
Kuroko qui se trouvai derrière lui se mit à sourire : Sa première lumière avait toujours eu une peur bleu des films d'horreurs, tout comme Kise. Et voir que ceci n'avait pas disparu rendit le fantôme nostalgique...

******

« J'ai faiiiiiiim ! »

Midorima se retint de frapper Murasakibara. D'abord parce que c'était quelqu'un de calme avec des bonnes manières... et ensuite parce qu'avec la carrure du plus grand, il risquait de se blesser.

Soupirant, il se tourna vers son ancien coéquipier. Celui-ci avait fini son paquet de bonbon juste après qu'ils se soient séparés de Aomine et Kuroko, et depuis il réclamait de la nourriture. Chose que ni Kise, ni Midorima, n'avait pensé à emmener.

« Il va falloir que tu patientes. répondit pour la énième fois le garçon à lunette.

-Mais je ne veux pas... ! »

Kise, quant à lui, regardait la scène avec compassion, bien qu'au fond ceci l'amusait plus qu'autre chose. Décidément l'horoscope avait raison : Midorima n'avait vraiment pas de chance depuis ce matin !

Mais alors que ses deux anciens coéquipiers continuaient leur "discussion", le mannequin aperçut une nouvelle porte sur la droite. Une porte assez grande, fabriquée dans un joli bois doré, et dont la poignée était jaune avec des reflets oranges.

Curieux, le copieur s'approcha et posa doucement sa main sur la poignée. Il l'abaissa tout aussi doucement puis donna une pression en avant afin d'ouvrir la porte. Il fit un pas dans la pièce pour en voir le contenu, mais il faisait trop noir. Le blond se mit alors à la recherche de l'interrupteur et longea le mur, laissant ses mains parcourir le papier peint pour trouver l'objet tant convoité.

Une exclamation de joie lui échappa lorsqu'enfin ses doigts rentrèrent en contact avec le bouton ! Heureux de pouvoir enfin admirer la pièce, il appuya et la lumière fut ! Mais en même temps que l'apparition de la lumière, il eut un bruit. Un bruit rapide, net, mais tout de même effrayant. Un bruit qui fit frémir le mannequin.

Se retournant, Kise pâlit. La porte... La porte était fermée !

Paniqué, l'adolescent se précipita vers elle et tenta de l'ouvrir, s'acharnant sur la poignée, mais rien ni fit : Il était bloqué.

« Midorima ! Murasakibara ! » hurla-t-il en tapant contre l'obstacle.

Ses deux camarades, l'entendant appeler ainsi et sans utiliser leurs "surnoms", se précipitèrent à leur tour sur la porte.

« Kise, calme toi ! lui cria le joueur de Shutoku.

- Je suis enfermé ! répondit le blond comme s'il n'avait rien entendu.

- Recule Kise-shin » ordonna alors Atsushi qui n'avait pas quitter son air flegmatique.

Le mannequin s'exécuta sans hésiter : Il avait compris ce que voulais faire le plus grand. Celui-ci leva alors ça main, la serra... et abatis sa main sur la porte. Porte qui fut à peine égratignée, causant la surprise générale... Qui se transforma en inquiétude pour Midorima et Kise quand le cri du géant résonna, et que son corps tomba à genoux.

« Murasakibara ! s'écria le vert, ça va ?

- J'ai mal... » geint l'interpellé pour toute réponse.

Il souleva sa main afin de la montrer à son ancien coéquipier. Ce dernier l'examina quelques minutes, puis fronça les sourcils, encore plus inquiet qu'auparavant.

« Midorimacchi ! intervint alors Kise qui avait plus ou moins retrouvé son calme, qu'est-ce qui se passe ? Comment va Murasakibaracchi ?

- Cassés, répondit l'adolescent à lunette.

- Pardon ?

- Ses doigts sont cassés. »

Le copieur resta muet de stupeur... Puis se mit à fixer la porte, béat : ce n'était pas une simple porte en bois. Elle devait être en plomb pour avoir fait ça Atsushi, et sans avoir aucune égratignure en plus !

« Il faut s'en occuper, lâcha Kise plus sérieux que jamais.

- Je n'ai pas de trousse de soin sur moi et ça m'étonnerai qu'il y en ait ici, répondit Midorima dont l'anxiété grandissait à vue d'œil.

- Il faut que vous trouviez la sortie ! Une fois dehors, vous n'aurez aucun mal à trouver de l'aide !

- Mais Kise-shin... commença Murasakibara.

- Ne t'en fais pas pour moi Murasakibaracchi, je vais trouver un autre moyen de sortir ! »

Il disait ça, mais le blond tremblait comme une feuille, n'ayant aucune envie de se retrouver définitivement seul.

Midorima remit fébrilement ses lunettes, de sorte à se donner contenance :

« Bien. Nous allons y aller."

Un silence suivit sa déclaration... puis il continua, laissant l'inquiétude le gagner :

« Nous reviendrons te chercher, Ryouta. »

Le concerné entendit ensuite les pas de ses anciens coéquipiers s'éloigner, et ne put s'empêcher de sourire : Malgré leur attitude froide ou détaché, ces deux-là tenaient à lui, et ça le rendait heureux.


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