Potentiel
« Irina, je souhaite te parler de nouveau du concours à Paris, déclara Gabrielle en me regardant. J'ouvris alors grand mes oreilles et écoutai.
Tu as un potentiel énorme, tu virevoltes dans cette salle que tu connais si bien, tellement gaiement, et on voit que ça te passionne. Mais il faut que tu saches quelque chose: quand on danse sur scène ou pour ce concours...il ne faut pas avoir le traque, tu n'a pas le traque...mais il peut vite arrivé à cause de la salle bondée de personne.
-Où veux-tu en venir? Tu crois que je peux aller faire ce concours à Paris?m'exclamai-je de joie.
-Oui, mais avant il fait que je te montre des choses aussi étranges et surnaturelles, que ta chambre. »
Ma chambre était très bien, je ne voyais pas pourquoi une chambre rouge écarlate, avec des nuances jaunes et orange pouvait déranger quelqu'un. C'était vrai, que si il y avait du feu, on ne l'aurait pas vu, mais ma chambre était très bien comme ça.
« Quand on danse, il faut absolument que tu comprennes c'est que la danse ne se définit pas juste aux mouvements que tu fais, sur scène, mais aussi au sentiments qu'ils dégagent.
-J'ai rien compris, répondis-je.
-J'avais oublié que tu n'étais pas une lumière, rétorqua-t-elle.
-Eh! C'est sensé dire quoi?Demandai-je inquiète.
-Qu'avant que l'on aille à Paris, tu vas devoir réussir des examens de français sans mon aide et après je t'expliquerai ce qu'il faut que tu fasses, dit Gabrielle.
-Mais...Gabrielle, tu sais que je suis nulle en tout, et encore plus en français! Pourquoi veux-tu que je réussisse ces examens?Questionnai-je septique.
-Pour que tu sois apte à parler français devant de vrai français.
-Alors, c'est pas gagné » déclarai-je tristement.
Ma tête allait clairement exploser, moi réussir ces foutus examens, c'était impossible. Le seule truc qui me captivais c'était la danse.
M'asseoir sur une chaise, et écouter du baratins pendant huit heures n'étaient en aucun cas ma tasse de thé.
La seule fois où j'écoute un professeur à l'école, c'est au gymnase, pour de la danse. Sinon, je n'écoute aucun autre professeur.
« Donc, je résume, j'ai la capacité d'aller à Paris pour faire le concours, mais pour aller en France et quitter la Russie, je dois réussir mes examens.
-Tu as tout compris, souris-t-elle.
-Tu me demandes déjà beaucoup Gabrielle, dis-je désespéré.
-Je sais, mais ce n'est pas moi qui choisi ça, ce sont tes parents, et tes professeurs, mais comme ils savent déjà que tu n'écoutes que moi, ils m'ont demandé de te le dire, expliqua-t-elle.
-Mes parents? Interrogerai-je.
-Oui, tu n'auras qu'à leur demander. »
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