Le regard pointé vers le ciel.

La pupille se dilatant dans l'obscurité de la nuit.

Les étoiles rendent ces yeux larmoyants brillants et étincelants de petits points illuminant ce désespoir.

Les gouttes tombent venant nourrir la terre. Une terre qui se meurtrira sous cette eau emplie de tristesse ne causant que désolation aux prochaines plantes y poussant.
Poison mortelle de l'homme causé par celui là même sous sa bêtise créant ces petites larmes de désespoir.
Nourriture des rapaces.

Le regard reste pointé vers le ciel sous celui de ces volatiles rancuniers et affamés.

La main se lève, les plumes volent, les doigts s'agitent et essayent d'attraper, les ailes battent avec violence, la voix se fait entendre retentissant en un échos à travers les arbres de la forêt l'entourant, les becs frappent, la main retombent, leurs regards d'envie se font carnassier, son regard s'éteind, ils sont rassasiés, il n'est plus.

Une petite main se tendant vers le ciel.

Une mains ayant essayé d'aggriper une sortie avec espoir.

Espoir tant attendu.

Miroir dévolu.

L'illusion est parfaite.

Et la mort s'y est faite.