XII
Cherche en vain le parfum
du sillage léger.
La parole d'arbre où poussent
les peurs.
Et les flammes saturées
De tout vent.
Approche la terre de ton oreille,
la mémoire du souffle du vent.
La sonorité du cri des insectes
prisonniers.
L'ivresse du monde comme nuit,
et le gel à venir en promesse
dérisoire.
FIN
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