III
C'est la disgrâce qui m'a fait ainsi,
solitaire.
Loin du sommeil des montagnes,
du souvenir mordant la mémoire qui refuse.
De vos âmes passagères, aucune nuit n'arrêtera
les larmes de malheur sur cette terre,
le cri sans mesure dans mon corps...
Ainsi, me faudra-t-il quitter toute chose,
dicté par un souffle suspendu.
15/10/2006
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