III
Mais où aller sur cette Terre
suivre le bruit de tes pas
le souffle de ta voix.
La terre se dérobe, se laisse recouvrir
de ronces, de déserts, de rocailles...
Et les chemins souffrent d'être seuls, effacés.
Les arbres ont cessé le combat, le vent s'est retiré.
L'horrible fin approche au seuil d'un autre froid.
Reste cette odeur noire d'écorce,...
ce chant dans le lointain qui craquelle...
et ses chevaliers de deuil.
Le temps détruit le temps,
desserre l'étau de la vie.
Il saura revenir
le feu, qui lentement se meurt.
17/06/2007
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro