Chapitre 5: Rencontre
2 heures après l'attaque des Humains
Papyrus c'était préparé à sortir de nouveau, il avait mit un nouveau t-shirt à manches longues orange avec des rayures jaunes, tout propre. Il mit des gants rouges, tout en pensant : « Comme ça même si le sang traverse le tissu je ne le verrai pas. » et il ria à cette pensée rassurante. Il avait réparé sa jambe grâce à le pouvoir de guérison de son âme de gentillesse. Et enfin, il enroula l'écharpe de sa mère autour de son cou, encore marqué par l'attaque de l'humain qu'il avait t... Il secoua vivement la tête. Quel humain ? Personne n'est mort ! La guerre est finie depuis longtemps ! Le regard du squelette était étrange... Comme vide... Avec à l'intérieur un brin de folie... Ses yeux habituellement noirs, était maintenant blanchâtres avec des petites pupilles noires... Il ne voulait plus voir la réalité telle qu'elle était... Non... Il ne voulait plus... Il s'apprêta à sortir, puis s'arrêta net. Il tourna la tête en direction de la commode, à côté de la porte, et vit le livre que lui avait offert sa mère. Il s'approcha doucement et dit :
« Oh ! Quel tête de linotte je fais ! Un peu plus et je t'oubliais ! » Il prit un sac en bandoulière accroché au porte manteau près de la commode. Il prit le livre dans ses mains et le sera fort contre sa poitrine.
« Désolé Maman, je te promet que ça n'arrivera plus. Hm ? Que dis-tu ? Oh oui tu as raison ! Allons chercher ensemble mon cadeau d'anniversaire ! »
Papyrus sorti de la maison, il ne pleuvait plus mais le ciel était encore sombre. Le spectacle à l'extérieur était désolant... Les maisons étaient en ruines... Il n'y avait littéralement plus âme qui vive... La poussières de squelettes volaient dans les airs, emportée par le vent... Et les cadavres humains gisaient au sol... Mais, l'enfant ne voyait rien de tout cela... Pour lui la poussière n'était que de la simple poussière de terre... Et les cadavres humains, eh bien, juste des troncs d'arbres. Il fit tout de même un détour pour évité le lieu où la lutte avait été la plus sanglante... Car le sang le faisait revenir directement à la réalité... Le sang... Il n'avait pas réussi à regarder le sang autrement que comme du sang... Le sang... Il fallait qu'il arrête d'y penser ! Il s'arrêta... Ce mot tournait en boucle dans sa tête... Il se souvint soudainement de tout ! Il posa les mains sur sa tête et tomba à genoux, il hurla :
« NON ! CE N'EST PAS VRAI ! JE N'AI FAITDE MAL À PERSONNE ! JE N'AI TUÉ PERSONNE ! Je n'ai tué personne ! Je n'ai tué personne ! Je n'ai tué personne !Je n'ai tué personne ! Je n'ai tué personne ! Je n'ai tué personne ! Je n'ai tué personne... Je n'ai tué personne... Je n'ai... tué... personne... » Il souffla puis se releva, un sourire radieux sur le visage. Il pouvait s'en convaincre, le trait de gentillesse permettait au squelette qui l'a de ne jamais gagner de LOVE, même s'il tuait. Il ria puis se demanda :
« Je me demande bien ce que je vais choisir comme cadeau... Bah ! Je verrai bien ! » Il sortit le livre du sac et continua :
« Au fait maman, merci de m'avoir offert ton écharpe ! Je l'aimes beaucoup ! Elle est un peu grande, mais ce n'est pas grave. » Il sourit au livre et le serra contre lui. Soudain, il entendit des bruits de pas dans les décombres à sa gauche. Il tourna vivement la tête dans la direction du bruit.
« Qui est là ? » Demanda Papyrus. Un enfant squelette sorti alors, il était plus âgé que lui, et un peu plus grand. Il était dans un sale état... Ses avant-bras et ses tibias étaient entourés de bandages... Il portait un t-shirt et un short gris en lambeaux, et ses chaussures étaient du tissus autour de ses pieds... Il avait une drôle de marque sur l'orbite droit...La marque formait un ''+'' avec trois branches à chaque bouts, et un ''X'', comme un flocon de neige. Il lui fit un signe amical de la main et dit :
« Salut... Tu es tout seul ?
- Non, je suis avec ma maman.
- Oh ? Où est-elle ?
- Juste là ! » Il brandit le livre dans la direction de l'autre squelette. Ce dernier le regarda perplexe... Ne comprenant pas vraiment comment ce livre pouvait être sa mère...
« Euh... OK...
- Et toi ? Où est ta maman ? Et ton papa ? Moi le mien il est parti.
- Euh... J'en ai pas...
- Comment tu as fait pour naître alors ?
- ... »
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