Pour ceux-là
Je suis là ! Pardonnez, j'avais affaire au château des sources là où[...] Mais l'eau coule toujours, le temps s'écoule, la vie s'allonge et je me fendrais en deux pour plaire à ceux-là.
J'écris des phrases, des mots, des lettres, sans savoir réellement le sens qu'ils ont, je me laisse emportée par l'instant présent. À la fin, je me demande si tout cela rend bien, si ceux-là vont aimer et change tout pour leur plaisir...
Ainsi, mes chers auditeurs me voyez vous l'aimable gentillesse de me laisser parler à coeur ouvert jusqu'au bout ? Je ne monopoliserais plus la parole après cela !
Bien, soit. Ces messieurs veulent-ils un texte reposant afin de pouvoir mieux digéré ce festin avalé ? Je vous en donnerais un avec grand plaisir. Moi, votre bouffon, va vous racontez l'histoire d'une jeune fille que vous aimez tant.
En ce grand jour de mariage et de festivités liant pour l'éternité une jeune belle demoiselle et un vayant et brave senior
Est venu à mon effroyable esprit de conter l'histoire même de cet incroyable et magnifique unisson[...]
Ceux qui auraient parié sur cette mariée boivent s'il vous plaît... Hum... Verdict, bien peu l'a connaisse de ce que je vois, à croire qu'elle en ait sorti d'un buisson magique.
Tiens ai-je raison ? Pourquoi cette grimace ma douce ? Êtes-vous réellement sortis d'un buisson ou était-ce un paillasson ?
Pour le goût de l'âge, la fillette, enfin, je veux dire la dame l'a choisit, mais n'était-ce pas uniquement pour son or ?
Même acculée et humiliée, vous restez humble vous qui êtes sortis de nul part, quelle joie je me fais de voir mon œuvre, il s'agit là d'une de mes représentations unique.
Upée est votre luxueuse robe, duper vous avez commis envers le seigneur, coupé sera, je l'espère votre tête à la fin.
Grasse est maintenant ma voix, je m'en vais, après tout qui accorderait de la valeur à moi l'incestueux prince nain.
Au final je m'en fiche royalement, car ceux qui jugent, qu'ils lisent ou qu'ils écoutent en ce moment, ce ne sont pas des rois ni des reines, je ne risque pas de perdre ma tête. Vous ne l'êtes point.
Je lève mon verre ! Aux mariés !
Pussiez-vous, dormir ce soir sur votre chère tête tant qu'elle y tient encore sur votre noble corps, car lorsque je viendrais de par mon âme errante elle n'y tiendra plus.
Envers et contre tous, pour mon unique gloire.
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