Je me réveille sur une chaise en métal froid. Mes mains et mes pieds sont menottés à la chaise, contrairement à cette dernière, les menottes sont brûlantes et me brûle petit à petit mes poignées et mes chevilles. J'essais de tiré un peu sur mes liens, en serant les dents, mais ça ne sers à rien, je me fais juste plus mal, plus rapidement.
Je suis plongé dans le noir complet, impossible de voir mon propres nez,.

- Au secours! criais je de toute ma voix, tout en essayant de bouger le moins possible.

Tout à coups, la lumière du plafond m'aveugle tandis que la porte s'ouvre à la volet.

- Arrête un peu de crier, je suis juste à côté.

C'est Louis, il se tient fièrement devant moi, et me regarde de son air sadique habituelle.

- Alors soeurette? Je t'ai manqué? dit il en souriant.

Les larmes coulent de plus belle sur mes joues, mais aucun son ne sort de ma gorge.

- Oh. dit il en regardant mes attaches avec exagération, mais qui a bien pu t'attacher de cette manière?

Je sers de plus belle les dents, se mec se joue de moi, il attends juste que je craque.

Sois forte Céleste, Dylan va bien se rendre compte que tu as disparue et appeler des secours.

Après avoir pensée ça, j'évacu toute pensée pessimiste qui n'avait guère leur place dans un moment comme celui là.

- On fait la forte tête? dit il en haussant les sourcils.

Il croise les bras, ferme les yeux et dit:

- Lâche toi, vas y, dit se que tu as sur le coeur.

Il dit ça avec une soudaine gentillesse, que j'ai envie de le croire, mais je me stop toute suite. Il n'est pas sains d'esprit, il a, apparemment, accusé son propre jumeau, parce qu'il a tué ses propres parents... qui sont mes vrai parents.
Quelle casse tête! Pourquoi je peux pas avoir une famille normale?

- La vie de famille... dit il en soupirant, comme si il avait lu dans mes pensées, Quelle chose injuste, ça serait largement plus facile si on pouvait la  choisir.

Je force de plus belle les dents. Si je continue d'autant serrer, je vais les cassée.

- On se retient? Pourtant ça serrait tellement plus faciles de tout relâcher. reprit t'il en voyant que je ne dit toujours rien.

Il rouvre les yeux et me fixe, avec un émotions totalement neutre. C'est extrêmement bizarre, car sans son expression malsaine qu'il a habituellement, il ressemble réelment à Dylan, je pourrais facilement les confondre.
Il se déplace de nouveau, vers moi, on dirait tellement Dylan... Lenah et Lily doivent êtres avec lui, pour essayer de me retrouver. Elles vont avoir plein de problème à cause de moi, tout est à cause de moi. Si j'avais pas ouvert cette foutue porte, rien, RIEN de tout cela serrait arrivé.
Je craque, c'est trop dure, j'en peux plus, je n'y arrive plus! Je commence à pleurer à chaude larmes.

- J'en peux plus! Je veux partir d'ici, je n'ai rien demandé de tout cela! Je voulais juste aidée! Je veux revoir Lenah, Lily et mes parents! dis je en pleure.

Il eu un sourire satisfait dès que j'ai commencé à pleurer, et à dire se que j'avais sur le coeur.

- Bien, tu vois? C'est toujours plus facile de lâcher prise.

Il reprit son expression exécrable, qui le différencie de Dylan, il y a plus rien qui pourrait porter à confusion.

- Tu vois c'est plus facile...

Je pleure encore, je ferme fort les yeux en espérant que tout cela ne soit qu'un simple horrible cauchemars. Que je me suis simplement assoupi à la soirée de la semaine dernière et que rien de ça, c'est passé.
Louis me prends par le menton, quand j'ouvre légèrement les yeux, je vois qu'il penché sur moi à quelques centimètres de mon visage.

- Arrête de pleurer, ça me fait mal de te voir dans cet état. dit il d'une voix calme.

A l'entendre, on pourrait croire qu'il pense réelment se qu'il dit, on pourrait croire qu'il veut que mon bien mais en voyant son expression démoniaque, on peut que vouloir le fuir.

- Aller, arrête... reprit il en passant son pouce sur ma joue, pour y enlevé les larmes qui coulait.

J'ai voulu me retiré, mais il me maintenait assez fortement pour que je ne puisse pas m'enlever sans mes mains.

- Puis ce que tu as fait gentiment ce que je te demandé, je vais, en échange, te libéré de tes liens. dit il avec un sourire qui évoqué, pour une fois, un minimum de gentillesse.

Il sortit une petite pince pour coupé des choses assez épaisse.
Il prit ma main fortement, sa peau est glacé et sec, ma peau tire sur mes chaînes se qui me brûle un peu plus mes poignées. Il coince la pince sur les bracelets, force un peu et la menotte céde. Il commence la manoeuvre 3 fois, et à chaque fois, en me coupant légèrement la peau. Mais je ne dis rien, j'ai bien trop peur qu'il change d'avis.
Toute de même, je ne me suis pas levée et je le fixe d'un air bizarre. Il m'a avoué avoir tué ses propres parents, d'avoir fait accusé Dylan à sa place et dieu sait se qu'il a fait d'autre ou se qu'il va me faire à moi. Alors pourquoi se comporte t'il ainsi? Il commence à êtres méchant, pour ensuite se montrer compatissant par la suite, ce mec est incompréhensible.
Il me fait signe de me lever, au début je ne cède pas, puis en voyant son visage changer en pire, je me décide à me lever. Je suis concentré à regarder mes pieds, pour ne pas tomber vu que mes jambes tremble comme jamais tellement qu'elles sont engourdi.
Quand je me décide à enfin relever la tête, je vois seulement le sourire carnassier sur le visage de Louis. Il me lance un coup de poing d'une telle force dans mon ventre, qu'il m'envoie dans le mur derrière moi, en bousculant ma chaise. Cela me coupe littéralement le souffle.
Je me laisse glisser par terre, en me tenant le ventre. Une fois assise, je remonte mes jambes contres mon torse, quand je vois Dylan, euh... Je voulais dire Louis, se tenir fièrement devant moi.
Il lâche un soupire de joie, et s'exclame avec un sourire:

- Tu ne peux pas imaginer comment ça fait du bien, depuis le temps que j'attendais ça!

J'aurai voulu lui crier dessus, mais ma voix reste bloqué dans ma gorge, à cause de la douleur et de la tristesse. Puis, impulsive comme je suis, j'aurais dit un truc débile qui m'aurait de loin aidé.
Louis se dirige vers la porte, et avant de passer la porte, il s'exclame de nouveau avec un air malveillants:

- Je repasserais plus tards, pour voit comment tu t'en remet.

Il claque la porte derrière lui, et en tendant l'oreille je l'entends dire, sûrement à un subordonnée:

- Ne l'a drogué plus, il faut qu'elle soit en forme quand Dylan arrivera pour la sauver, ce qui devrait pas tardé. Je vous interdit de lui donner l'heure.

Je me déplace avec difficulté à quatre pattes, vers la porte, pour mieux entendre se qu'il dise.
Ses pas commencent à s'éloigner dans le couloir.

- Maintenant allez la soignée, il ne faut surtout pas qu'elle nous glisse entre les doigts en mourant. Ça gâcherait tous que j'ai prévu.

Je me laisse tomber sur les fesses par terre.

Je suis en plein cauchemar, je vais me réveillé, j'espère me réveillé.

Sur ceux, je me roule en boule sur le sol froid, cale ma tête sur mes avant bras encore douloureux et j'entends quelqu'un rentré dans la cellule.