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VI.

Lundi, mardi et mercredi se sont passées sans problèmes, j'allais en cours et Dylan resté enfermé dans la maison, avec interdiction de sortir, même dans le jardin, et ne pas rester trop prêt des fenêtres.

Jeudi, mes parents sont de retour.
Je suis pressée de les revoir, cela fait 2 semaines qu'ils sont partis, mais ils restent que pendant 3 jours pour repartir 1 mois. Une grosse affaire à l'étranger, qui pourrait rapporté gros, je m'intéresses pas vraiment à leur travaille, je trouve ça ennuyant.

Le fait qu'ils repartent dans 3 jours ne me rends pas heureuse, mais un peu quand même, plutôt ils partent, plutôt Dylan et moi partiront à Paris à la recherches d'infos sur son frère, Louis.
***

- Papa! Maman! m'exclamais je, en dévalant les escaliers, pour leurs faire un câlin.
- Ma chérie, s'exclamèrent mes deux parents à leurs tours.
- Vous m'avez manqué!
- Toi aussi, me dirent t'ils en se désserant de moi.

J'entends impatiente qu'ils posent leurs valise dans l'entré, et je me lance.

- Hum... j'ai un correspondant. ais je dit d'une petite voix.
- Un quoi? dit ma mère.

Je sais très bien qu'elle a entendu, mais je le répète toute de même.

- Un correspondant, je t'en ai parlé la dernière fois, et tu m'avais dit "pourquoi pas?"

C'est totalement faux, mais ma mère a une mémoire assez courte, à chaque fois elle ne remarque rien...

- Ah bon? Je m'en rappelle plus... dit ma mère en pleine réflexion.

Je vous l'avez dit.

- On peut le voir? demande mon père souriant.
- Oui.

Je monte quelques marchent des escaliers et m'exclame:

- Dylan, tu peux descendre!

Il descend et essais de sourire à mes parents. Son crispement passe pour de la timidité donc, pour l'instant tout va bien.

- C'est un garçon! dit ma mère surprise.
- Bah oui, sinon j'aurais dit "une correspondante". Et alors, je n'ai pas choisi mon correspondant, je prends se qu'il me donne.

Je viens juste de me rendre compte que je suis une super bonne menteuse... Je ne sais pas si c'est bien ou mal...

- Ma chérie, intervient mon père en s'adressant à ma mère, laisse la tranquille, au moin, elle n'est pas toute seule quand on est pas là.
- Oui, tu as raison... Tu as entendu parlé du fou qui c'est échappé pas loin d'ici?

J'oscille légèrement, alors que Dylan ne bouge pas d'un poil.

- Oui vite fait... Puis on a pas encore d'image. Enfin je crois? dis je mal assurer.
- Si ils ont affiché un portrait robot à partir de dimanche midi, déclare t'elle.

Elle s'approche de Dylan en plissant des yeux.

- Je ne t'aurais pas déjà vu?

Il fit semblant d'avoir un mouvement de recule et déclare avec un très bonne accent:

- Jamás vine a Francia...

Ma mère avait beau traverse à longueur d'année le monde, savoir parlé le mandarin, le chinois, l'anglais et l'allemand couramment. Elle n'a jamais rien compris à l'espagnol. C'est drôle n'es ce pas?
Un blanc arrive, mais mon père reprit:

- Ne t'inquiète pas... Il ne va pas venir. Le psychopathe ne va pas venir pour toi. me rassure mon père.
- De toute façon ils l'ont capturé le surlendemain de son évasion. concluais je.
- Ah bon? déclare maman.

Je jette quelques coup d'oeil rapide vers Dylan, quelques choses n'allait pas.

- Qu'es ce qu'il y a? lui chuchotais je alors que mes parents s'installe, alors commence à s'installer.
- Je me sens de trop... commence t'il d'une voix lente et froide. Tu devrais êtres seule avec tes parents. J'aurais dû partir quand il en était encore temps.
- Non, tu as bien fait de resté, parce que... réfléchissais je quelques seconde, je trouverais une bonne raison plus tard, mais tu as bien fait de resté...

Il allait répliqué, mais ma mère à était plus rapide.

- Je vais vous laissez, j'ai du travail, dit elle souriante en allant à son bureau.

Je jette un regards rapide vers Dylan, heureusement qu'on a effacé toute trace de Dylan et de ses recherches dans le bureau avant qu'ils arrivent.

- Et je vais commencer à faire à mangé, dit mon père, au fait tu reste combien de temps?
- Je me rappelle plus vraiment, je demanderais demain au directeur...
- Au tout cas, pasa una buena estancia. déclara mon père à Dylan, en partant vers la cuisine.

Dès que Dylan et moi sommes sorti de son champs de vision, je le pris par le bras et l'enmène dans ma chambre.
Une fois dans ma chambre, il se dégage de ma main un peu violament. Avant que je lui demande qu'es ce qu'il y a, il me dit plus que froidement:

- Je déteste les contactes physique.

Je me laisse tomber dans mon lit, tandis que lui, il se laisse tomber sur ma chaise de bureau. Je pensais qu'on étais devenu assez proche mais ce n'est pas ça. Quand j'y repense, les seules fois où je les touchais, est quand on lui a retiré la balle ou dimanche après midi quand il étais perdu dans ses pensées. Dans les deux cas, soit il était bien obligé, soit il était pas réellement lui même...
***

La première journée de cours, après que mes parents soient rentré, a était la plus compliqué. En plus le jeudi est une journée très remplies.
Dès que je suis rentrée dans le lycée et que je vus mes amies me sourire avec enthousiasme, je sentis que ça allait êtres vraiment plus difficiles que je ne l'aurais prévue. Ils n'ont pas arrétées de parlé de Dylan et de Louis. Le pire je pense... C'est que j'ai aucun mal à mentir à mes parents, mais pas à mes amies.. A mon habitude, j'ai plus du mal à mentir au personnes qui me ne mentent pas. Alors pourquoi je mens aussi facilement à mes parents? J'ai honte...
Quand à Dylan qui ne pouvait pas resté à la maison, à cause de mes parents. Je lui ais passé les clés du grenier, que mes parents pense perdu et il y resté toute la journée. Du coup, il faisait pensé aux réfugiés juif pendant la seconde guerre mondiale, a vivre dans les murs sans faire trop de bruit, sauf que notre cause est ni juste, ni pour de grand changement. Oui vu comme ça, je dois passer pour une débile de l'héberger et de l'aider...

Le soir, quand on était avec mes parents, on faisait tout pour évité de parlé, j'inventais plein de truc délirant dès que ça nous arrangé. Pour cette partie, c'était plutôt marrant.  
La deuxième journée fût pareil que la première.

La dernière journée fût la plus difficiles. C'était un samedi. Mes parents voulaient faire absolument un truc... normale il me voit que pendant les vacances ou entre deux voyages, en plus il y a Dylan et il l'apprécie (si seulement ils savaient la vérité). Pour eux c'est "maintenant ou jamais". Ils avaient pensés Disneyland. Mais on a refusée (même si j'ai toujours voulu y allée) parce que même si son frère a pris pour lui, et que plus personne le cherche, il ne faut pas allé à des endroits où il y a trop de monde. Du coup, on a opté pour une journée à Etretat.

Mes parents ont voulu qu'on en profite un maximum, du coup ils nous on réveillaient à 9h "on est en week-end, et le week-end sert a dormir" leur avais je dit mal réveillé. Mais de toute façon, Dylan était réveillé depuis 7h, à cause de son habitude à l'hopital. Il dormait dans mon clic-clac qui me servait juste de canapé pour pouvoir jouée à la console et qui commençais à êtres grâve vieux, mais il dit qu'il dort vraiment bien dedans, -tant que ça lui plaît, c'est principal. avais je pensée.

On est arrivée à Etretat vers 11h, il faisait magnifiquement beau, on s'est tranquillement promené, mes parents nous ont invité le midi dans un resto, qui était super bon. L'après midi on est allée sur la plage de caillou pour voir l'eau de plus près, j'ai commencé à arroser gentiment Dylan, sauf qu'il ne s'est pas laissé faire, il m'a fait tomber à terre en me faisant un simple croche patte et je me suis pris une vague à l'arrière du crâne. En revenant, en fin d'aprèm, je me suis lourdement endormis sur l'épaule de Dylan. Quand je me suis réveillé, il m'a regardé et déclaré simplement: "Tu bave en dormant."

Après ça c'est enchaîné rapidement, on est arrivée à la maison vers 18h, et que mes parents devaient prendre l'avion à 21h à Paris pour New-York. Et qu'il faut environ 2h30 pour y allé. Ils se sont dépêchés de faire leur valise, il m'ont fait tout les deux un bisous sur le front puis ils sont partis.

Dès que leur voiture a quittée la rue, je me suis retourné vers Dylan:

- A notre tour de partir pour Paris.

Sur ceux je partis faire mon sac.

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