» chapitre quatorze
Il n'avait que quelques minutes pour non seulement trouver la bougie, mais également les yeux demandés par le personnage. Il avait décidé de lui faire confiance en pesant tout les pour et les contres, il en conclut que si son but était de leur en vouloir du mal, elle l'aurait fait bien avant et aurait prit leurs yeux sans grand effort. Au final, cela restait un jeu pour eux, et en finir avec les participants aussi facilement ne semblait pas l'amusé autant.
Elle lui avait promit plutôt, de rester au près du corp de jeongguk pour le protéger. Si il n'arrivait pas à l'heure, non seulement ils mourront, mais jeongguk se fera volé ses yeux. Il ne lui restais plus beaucoup de temps avant de succomber. Taehyung n'avait jamais autant été sous pression par ces horloges qui longeaient les wagons. Le temps était compté, alors leurs vies également.
Tic.
Tac.
Tic.
Tac.
On pouvaient entendre les pas courant du brun, dans les wagons, vides. Quand soudain, ses pas s'arrêtèrent.. il fut surpris d'entendre un orage venant de l'extérieur. Son regard se tourna vers les fenêtres, qui ne tardèrent à être coloré par le liquide rougeâtre qui tombait du ciel. Il pleuvait du sang, du pur sang.
— putain de merde.., souffla-t-il.
Ils étaient vraiment en danger, si il continuait à courir autant dans les couloirs, il ramènerait des personnages à l'oreille aiguisé. Merde, que pouvait-il faire pour aller plus vite sans pour autant attiré l'attention de quiconque.
— Mes chaussures..
Il s'empressa de les retirer et les garda dans sa main. Il ravala sa salive, et par ailleurs sa peur, et commença à s'avancer prudemment. Il franchit une porte qui sépara les wagons. En n'y repensant, il était à deux wagons de jeongguk. Plus il s'éloignait de lui, plus il devenait anxieux à l'idée que le personnage soit avec lui. Et si ils devenaient complètement fou avec cette pluie de sang ? Bon sang! Il ne savait plus quoi faire alors que le temps le rattrapait.
Non, il devait garder son calme et s'en tenir au plan--
— Oh pu-
Il se couvrit aussitôt la bouche, ardemment tout en retenant ses larmes lorsqu'il sentit sous ses pieds un liquide chaud, qui ne pouvait être que du sang, en vue du fait qu'il ait marché à quelques mètres d'un cadavre encore frais.
Où, un personnage s'y tenait encore. Il mordit ses lèvres, tout en refoulant ses larmes qui manquait de s'écouler. Alors que le sang qui s'écoulait de sa plaie provenant de sa main, le trahi. Une goutte tomba dans la marre de sang brisant le silence totale du wagon.
— Putain..
« Oh! Un nouveau jouet! »
Il n'avait jamais été autant horrifié par une fillette.
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