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Je dois vous dire Adieu

Je me dirige chez Gabriel. Il m'a dit de le rejoindre en soirée pour notre activité de la semaine. Le temps passe entre lui et moi et je suis rendu d'une zénitude absolu. Je ne vais même plus voir la psy, tellement ma rage à disparu et que je suis rendu au point de hausser les épaules quand on me fait un commentaire désagréable.

Il m'a changer. J'ai hâte de savoir ce qu'il me réserve ce soir. Surement regarder les étoiles qui sont magnifique. Je nous vois, étendu dans l'herbe, main dans la main à contempler le ciel.

Cette possibilité est encore plus plausible, lorsque son père me dit que je le trouverait au parc. Je m'y dirige donc me disant que si c'est autre chose, je proposerai de reporter pour que nous faisions cette activité.

Arriver, je le vois au loin qui tourne sur lui même les mains dans les airs. Qu'est-ce qu'il fait? Plus je m'approche, plus je me rend compte qu'il danse sous le ciel étoiler sans musique. Ça danse est douce. Ses mouvements lent. Il ne me voit pas. Il ne m'entend pas. Il est possédé par l'esprit de la lune?

Je suis juste un peu con en fait. Maintenant que je suis à moins de deux mètres, je vois le casque d'écoute sur sa tête et ses yeux fermer. Le sourire qu'il aborde me donne envie de m'envoler.

Il est beau mon ange. Toute en grace. J'aimerais danser avec lui, mais je ne sais même pas ce qu'il écoute. Il illumine la plaine pourtant. Le ciel serait depourvue de lumière, qu'il éclairerait l'endroit autant. Il est beau. Il est merveilleux. Je l'aime plus que tout au monde.

Je tends ma main hésitant. Je ne veux pas briser son moment, mais la curiosité est si grande. Au moment où il me fait face en tournant, j'aggrippe le casque et lui enlève. Il fige et ouvre ses yeux dorés tout doucement pour me regarder. Sans savoir pourquoi, je mets son casque sur la tête. La chanson perfect de Ed Sheeran joue en boucle et je souris. C'est vrai qu'il est parfait.

Il prend son téléphone dans sa poche et vient le glisser dans le ventre de mon kangourou. Et je le vois s'envoler dans son ballet qui n'ai plus si silencieux puisque j'ai la musique qui le fait danser dans les oreilles. Riant je ferme les yeux et danse comme lui.

Et puis soudain je n'ai plus conscience de rien. Je n'entend plus ni la musique, ni ne sent le sol sous mes pieds. Au loin, une toute petite voix m'appelle.

"Théodore."

Je souris reconnaissant la voix de mon ange, mais je n'ouvre pas les yeux. Mon coeur brûle de bonheur et je ne me suis jamais senties aussi bien. Son front se colle au mien pendant qu'il répète mon nom tout doucement.

"Théodore. Maintenant, tout ira bien. Tu n'as plus à t'inquièter de rien. La vie va te sourire et tu deviendras une magnifique personne. Je t'aime, Théodore."

Je sens son front me quitter et soudain le sol sous mes pieds revient, la musique ce fait entendre dans mes oreilles et l'angoisse abreuve le bonheur contenu dans mon coeur. J'ouvre donc les yeux pour constater son absence.

Je regarde autour de moi me demandant où il a pu se cacher, mais ne le voyant pas j'enlève les écouteurs pour mieux voir, car c'est connu que ça là un lien direct... je croyais qu'on c'était mis d'accord pour que vous ne me jugiez jamais?

Je regard partout autour, mais il reste absent de mon regard. Je sors son téléphone de la poche ventral de mon gros chandail et je constate que ses le miens.

Pourtant je suis persuader que ses Gabriel qui a mis le sien pour que le cordon ne gêne pas pendant que je dansais sous la musique.

J'observe encore un moment autour de moi et je prend la décision de marcher jusqu'à chez lui. Il a peut-être eu froid et si est diriger, mais la musique dans mes oreilles, je n'ai pas entendu.

Puis c'est là que tout dégénère.

Arriver chez lui, sa mère me répond, mais quand je demande si Gabriel est là...

"Qui? Tu as du te tromper d'adresse, il n'y a pas de Gabriel qui vit ici."

Je fige. C'est une mauvaise blague? Un jeu à la Gaby?

"Euh... oui, votre fils. Gabriel, votre fils."

"Oh... euh... comment t'appelles-tu?"

"Théodore..."

"Théodore." Répète-t-elle mon nom souriante. "Tu as du te tromper d'adresse. Il n'y a jamais eu de Gabriel ici. J'ai eu beaucoup d'enfant en famille d'accueil, mais aucun ne se nommait ainsi."

Je fais un pas en reculant les yeux s'exorbitant. Il n'y a que la vériter dans son regard. Que l'honnêteté la plus saine. L'inquiétude face à ma confusion. La vériter est là.

Elle ne ment pas.

Je prend donc la fuite paniquer. Ne comprennant plus mon propre cerveau. Ma propre pensée.

Non, c'est impossible. Ce doit être une mauvaise farce. Je m'arrête au coin d'une rue et sors mon téléphone pour l'appeler, mais une voix robotique m'indique que le numéro que je tente de composer n'est pas en fonction.

Ma respiration s'accèlere. Je panique. Je cours vers chez moi, mais bifurgue en chemin. Je trouve l'appartement de Joey et va tambouriner à la porte. Sa petite soeur me devisage, mais quand je demande si Joey est là, elle m'indique sa chambre du doigt. Lui n'a pas disparu. Je cours à sa porte pour l'ouvrir et entrer.

Mini terreur est bien là. Rien ne semble avoir changer chez lui et il me devisage pendant qu'il est assis à son bureau sans doute sur un problème de mathématique.

"On cogne avant d'entrer crétin."

Il n'a vraiment pas changer.

"Joey..."

"Ouais? Théo tu fais peur là."

L'espoir nourrit mon corps. À la différence à la mère de Gabriel, lui me reconnait.

"Tu... Gabriel a disparu."

"Qui?"

Mon sang se glace.

"Gabriel. Ton meilleur ami. Mon copain."

Il me devisage encore plus là.

"C'est toi mon meilleur ami Théo. Je suis ami avec aucun Gabriel. Attend, mais tu es gay?"

Je sens mon coeur tambouriner dans ma cage thoracique. C'est impossible. On est même pas ami. Je sors mon cellulaire de ma poche voulant lui montrer les photo de mon ange pour me rendre compte que ma galerie est complétement différente de ce que je me souvenais. À l'intérieur, des photos de moi et mes potes habituel, mais aussi de moi et Joey qui font des fuck you et des grimaces. Aucune de Gabriel, pourtant j'en avais plein hier.

Je regarde à peine mon "meilleur ami" avant de fuir de nouveau. Non c'est impossible. Mon cerveau n'a pas pu s'imaginer des mois entier. J'étais avec Gabriel quelques minutes plus tôt. Arriver à mon appartement j'ai espoir que ma mère n'est pas dans le coup de la mauvaise blague.

"Maman, tu sais qui est Gabriel?"

"Tu t'es fait une copine?" Demande ma mère aux anges.

"Non. Gabriel-e-l."

"Ah... non. C'est un nouveau à ton école?"

S'en ai trop. Ma respiration se coupe. Les larmes me montent au yeux. C'est impossible sont les seuls mots qui résonne dans ma tête.

Et pourtant.

Le lendemain à l'école, sa place est vide et selon le prof, là toujours été.

Il n'y a de trace de lui nulle part.

Les bénévoles du refuge me garantisse qu'il n'y a jamais eu de Gabriel ici.

Il a disparu.

Edward, l'avocat qui a prit ma défense à la cours, dis que c'est un organisme qui a payer pour mon procès.

C'est comme s'il n'avait jamais exister.

Ma tête tourne, je ne comprend plus rien. J'avais espoir que le lendemain, tout ce règle, mais non, ça perdure.

Il n'y a pas de disparition à déclarer à la police, il m'a juste jamais exister.

Écoutant mon coeur, je vais au dernier endroit avant de perde tout espoir. Ce pont qu'il ma dit vouloir sauter en bas, mais comme de fait, il n'y est pas. Il n'y a que moi et ma solitude, puis les étoiles dans le ciel du à la noirceur de la vie.

C'est fini, il a disparu. Je ne comprend même pas comment j'ai pu me l'imaginer pendant des mois.

Non. J'ai rien inventer. Il était là. Je sais que je ne suis pas fou et qu'il était là.

"Raphaël?"

Je tourne ma tête vers une fille qui s'approche de moi avec une lampe torche. Elle est brillante, elle.

"Désoler, moi c'est Théodore."

"Ah... j'avais espoir."

Le confusion dans son regard me touche. C'est la même que moi. J'ai l'impression qu'elle vit la même détresse.

"Vous auriez vu un garçon en arrivant?"

"Non, je suis désoler." Que je lui signifie.

"Ok..."

"Moi aussi cherche quelqu'un. Il s'appelle Gabriel. Hier, nous avons danser sous les étoiles et puis, il a disparu. En fait..."

Je ne sais même pas pourquoi je lui dit ça. À attend oui, je sais. Gabriel le sais. Mon honnêteté maladroite.

"Comme s'il n'avait jamais exister?"

Je lève mon regard vers la fille qui m'observe résolu.

"Oui."

"Même chose avec Raphaël. On sors ensemble depuis des mois. Je ne suis pas folle. Il ma donner rendez-vous sous les étoiles, on c'est embrasser et puis plus rien. Personne ne ce souvient de lui."

Je fixe la fille abasourdi. Impossible est la première chose qui me vient en tête, puis j'avais raison est la deuxième.

"Gabriel m'a dit avant de partir. Avant... d'arrêter d'exister: Maintenant, tout ira bien. Tu n'as plus à t'inquièter de rien. La vie va..."

"... te sourire et tu deviendras une magnifique personne. Je t'aime." Complète-t-elle.

Les larmes coulent sur son visage pensant au dernier moment qu'elle a passer avec son Raphaël et mes joues à moi aussi son inondé d'enfin comprendre que mon ange à rejoins le paradis maintenant que son travail ici était fini.

La fille devant moi pleure de plus belle et la seul chose qui me vient à l'esprit est de la serrer dans mes bras. Sa douleur, je la connais. Je vie la même. Alors nous pleurons l'un et l'autre dans les bras de l'inconnu.

Après un moment, nous comprenons que tout ça est ridicule et nous nous séparons, mais je vois encore les larmes rouler sur ses joues. Alors maladroitement, je tente de la conforter, alors que j'en ai autant besoin.

"Je crois... je crois que Raphaël et Gabriel étaient... des anges. De merveilleuse personne envoyer sur terre pour prendre soin... de toi et moi. On doit se considérer chanceux d'avoir pu passer ce moment, aussi court qu'il puisse paraitre, avec eux."

"Raphaël était... un ange, oui. Il ne m'a jamais juger et beaucoup aider. Je ne peux pas croire qu'il est disparu."

"Il n'est pas disparu. Il est retourner là d'où il vient. Il..."

Mais même si j'y crois, ça ne me rassure pas, alors j'ai de la difficulté à croire que ça la rassure.

"Tu veux que je te raccompagne chez toi?"

"Ouais." Me répond-t-elle en essuyant les larmes sur son visage.

Nous prenons donc la direction qu'elle choisit.

"Comment tu t'appelles au juste?"

"Èva."

"C'est un jolie nom."

"Merci. Toi c'était comment déjà?"

"Théodore."

"Et comment tu as rencontrer... euh... Gabriel?"

"On allait à la même école."

Soudain je me dis que ce n'est pas la réponse qu'elle voulait savoir.

"J'ai... pousser un gars dans l'escalier de mon bahut. Il a fini dans le coma et... j'avais des problèmes de gestion de la colère. Parfois des idées suicidaire. Je... il est vivant. Il c'est réveiller et il ma dénoncer. J'avais tellement peur de finir en prison ou juste recommencer. C'est là que je l'ai rencontrer. Il m'a aider à gérer ma colère. À me pardonner. À pouvoir continuer de vivre libre de toute culpabilité."

Elle m'écoute sans effroi dans son regard merveilleux, ni jugement.

"Moi j'ai rencontrer Raphaël en désintoxe. Il était bénévole. J'avais fuguer de chez moi et ma consommation de drogue avait déraper. J'ai fait un overdose et me suis retrouver à l'hôpital. On ma envoyer en désintoxe et il était là, comme à m'attendre. Il souriait tout le temps. Voyant que le côté positif des choses. Dés que je sentais que je voulais replonger, je l'appelait et il venait me rassurer. Avec lui j'ai vaincu ma dépendance. Il m'a aussi convaincu de retourner voir mes parents et demander pardon. Ils m'ont repris grâce à lui.  Récemment, il ma convaincu de reprendre mes études. Ma demande a été accepter. Je vais retourner à l'école et me prendre en main. On était censer fêter ça, mais à peine que je l'ai vu. À peine qu'il m'ai dit ça, il c'est volatiliser et... ma famille croit que j'ai recommencer à consommer, car ils disent qu'ils n'a jamais exister, mais... je ne suis pas folle, il..."

"Tu n'ai pas folle, non. Moi je te crois."

"Merci. Tu me rassure. Ça me rassure."

Le reste du chemin ce fait en silence. Mise à part parler de nos anges gardien respectif, nous ne voyons pas l'intérêt de ressasser ce qui c'est maintenant envoler.

Il va maintenant falloir leur faire confiance. Que la vie nous réussira et que nous deviendrons de magnifique personne.

"Théodore, je peux avoir ton numéro?"

Nous sommes arriver devant la maison de ses parents et je vois le rouge sur ses joues pendant qu'elle me tend son téléphone. Elle est belle. Totalement mon type. Mignonne et douce, mais déterminer.

"Puisque tu es le seul, qui ne me prend pas pour une folle, je me suis dit que tu pourrais.... que je pourrais t'appeler si... tu vois."

"Euh... oui."

Je lui tend le mien et nous nous rajoutons chacun dans les contacts de l'autre.

"Éva, Raphaël, il va continuer de veiller sur toi. Les anges gardiens n'arrête jamais."

Elle renifle et essui une larme qui se formait.

"Toi aussi, Théo. Je suis sûr que Gabriel... et Raphaël sont ensemble et se tappe dans la main fier d'eux ou plutôt de nous. De ce qu'ils ont réussit à réparer chez nous. C'est ça. Tu vois? Tu comprend?" Me demande confuse elle même de ce qu'elle a tenter de formuler.

"Ouais. Je comprend parfaitement. Je comprendrais toujours."

"Ok. Tu va être correct pour retourner chez toi ou tu veux que je demande à mes parents d'aller te porter?"

"Je vais être correct. Maintenant faut juste... vivre notre vie sans eux. On s'écrit?"

"Oui." Me dit-elle regagnant un sourire tendre. "Je crois que je vais y arriver, maintenant que je sais que je n'ai pas tout inventer."

Je prend donc le chemin de chez moi et reçoit une notif quelques minutes plus tard. Je baisse mon regard pour voir un message sous le nom Éva.

Merci pour ce soir. Ça m'a fait vraiment du bien de rencontrer quelqu'un qui ne me jugeais pas et me comprenais.

Je lève mon regard vers les étoiles au dessus de ma tête.

"Merci Gaby. Merci pour tout. Et Raphaël. On avait besoin de vous."

De un, je me suis rendu compte que j'avais jamais poster la fin du livre, pourquoi personne ne me la signaler!!! Navré 🙇‍♂️

De deux, je pleure à cause que je viens de relire le chapitre avant de le poster 🥲

De trois, Théo avait raison 🤗 son Gaby était bien un ange 😏

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