Preuve 6 N'a pas peur de donner la mort
Je sors du bus et marche en direction de l'endroit que je vie. Je viens de passer 8h avec des chats, mais peut-importe, car il me reste officiellement que 3h de travaux communautaire à faire et donc j'ai décider de ne pas rentrer demain et de le faire un soir de semaine. Je prévois mon dimanche coucher dans mon lit à mater des animes ou lire un manga.
Par contre, faut que je trouve la bonne façon de dire à Gabriel que malgré tout l'amour que j'éprouve pour lui, je ne vais pas continuer le bénévolat au refuge et que je vais prioriser mes amis un moment. Ils ont été gravement négligé avec le procès et tout.
Je ferme les yeux et je soupire avant de les réouvrir. Les choses devrait se placer pour moi j'espère. J'entend des bruits de pas à la course derrière moi et je me retourne pile au bon moment pour manger au coup au visage. Surpris par la douleur, je trébuche au sol et j'ouvre mes yeux difficilement pour voir mes assaillants.
"Alors Théo, on se balade seul le soir? Ça nous arrange en vrai." Réplique l'un de mes aggresseurs.
Fait chier, ça va prendre quoi pour que cette histoire de coma soit derrière moi? J'ai été juger coupable! Pas obliger de me tabasser! Pourtant il ne voit pas ça comme ça. Ma nemesis n'est pas là, mes ses amis m'encercle pour me donne coup après coup. Pas juste, ils sont en plus grand nombre! Je me protége de mes bras espérant qu'ils vont rapidement ce fatiguer, mais j'ai de plus en plus mal et des coups de pieds ce joint au lot.
Il est où mon ange gardien quand j'ai besoin de lui! Soudain j'arrête de recevoir des coups et quand je relève la tête, je constate que ce n'est pas mon ange qui a intervenu, mais le démon. Il semble enragé et distribu ses coups sans ménagement. On essai de s'en prendre à lui à plusieurs, mais un autre type plus baraqué et vieux approche et sors un gun!
Mon sang ce glace, alors imaginer ceux des rigolos qui ont voulut me tuer moi et Joey à coup de poing. Je l'ai observe déguerpir en vitesse sans demander leur reste et moi et le meilleur ami de mon copain regarde l'arme à feu hypnotisé.
"C'est qui c'est petit con? Cinq contre un, il n'y a que les lâches qui se bats ainsi." Dit l'adulte qui range son arme.
"Des cons qui se croient tout permis." Crache Joey le visage crispée par la haine.
Il tourne son regard vers moi et me tend la main. À oui, juste ça. Bipolaire le mec. Mais quand même. Je suis qui pour refuser une main tendu? Je l'aggrippe et il m'aide à me relever.
"Ça va?"
"Je survie." Que je répond en frottant mes bras endoloris. "Il me lâcheront pas."
"Alors on leur fait la peau." Dit Joey amusé.
Il est vraiment pas bien, mais je ne peux nier que je suis heureux de le savoir de mon camps. Disons qu'après avoir su que ma nemesis avait tenter de le recruter dans son camps, j'ai hésiter de retourner manger à la même table que mon amoureux et ses copains. Pas envie qu'on me saute à la gorge pendant que je déguste une soupe.
"Tu allais où comme ça?" Me demande l'antéchrist.
"Je rentrais chez moi."
"Ok, on t'escorte. Pis après on va terminer ton travail. Le pousser dans un escalier c'était visiblement pas suffisant." Qu'il dit amuser.
Non, mais il est pas sérieux? Il trouve sa marrant l'idée que j'ai faillit tuer quelqu'un et il est prêt à achever le travail. Il est déconnecter de la réalité, c'est pas possible.
On marche en silence un moment. Je dois avouer que moi je boite, car clairement j'ai le genou complétement érafler. Joey est pas pire non plus. Il a manger un coup au visage, donc à la lèvre en sang et je vois sur son bras un bleu se former à vitesse grand V. L'autre il n'a rien. Évidemment quand tu te pointes seulement quand on perd pour pointer un gun sur les assaillant!
On arrive à mon appartement et je voudrais bien inviter Joey à venir se débarbouiller à l'intérieur, mais son ami épeurant risque de le suivre et je le veux pas dans la maison.
"Merci d'être venus à mon secours."
"Il y a pas de quoi."
Il semble vraiment le croire. Je ne peux quand même pas m'empêcher de penser au fait que s'il voudrait, il retrouverais ses mecs pour les tuers. Ça l'a 14 ans et ça se réserve déjà une cellule en prison.
Je l'ai observe partir et je m'empresse d'entrer dans l'appartement pour me mettre en sécurité. Je sors mon cellulaire pour prévenir Gabriel de la situation.
C'est vrai que je suis une snitch, mais pour ma défense, ça compte pas. Gabriel est mon petit-ami. C'est normal que je lui dit tout!
Oui oui Théo, tu as tout les droits 😏
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