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Bravoure


Les remarques soulignées signifieront mes propres remarques, pour parfois préciser ce que je fait.

A bon entendeur, bonne lecture.


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Chara : Très bien, Gaster, je suis prête, enclenche le processus. Je ferai le reste.


Gaster : Allons-y.


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Leurs deux SOULs fusionnées, ils gardaient leurs formes respectives, néanmoins impuissant, contraints de devenir de simple témoins silencieux de l'Histoire.

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Chara et Walter atterrirent sur une plage boueuse.

Le ciel gris. Au loin, une falaise se dressait devant eux.

Le climat paraissait assez froid, le genre de plage à l'atmosphère lourde, là où peu de gens passeraient leurs vacances.


Gaster : Explique-moi ton plan.


Chara : Première étape. La Bravoure.

Tu marches ici sur l'un des théâtres majeurs du plus grand conflit que l'humanité ait connue, certainement le quadruple de ce que tu as connu avec toutes les guerres que toi et ton peuple ont livrés contre les miens.


Gaster : Je vois.

Mais cette plage est déserte, quel genre de SOUL espère-tu trouver ici ?


Elle leva le bras en l'air, en direction du sommet de la falaise.


Chara : Elle n'est pas si déserte que tu ne le crois.


Au-dessus d'eux, une armée entière était en stationnement. Une armée de gris, une armée masquée, masquée par ses immenses forteresses de ferrailles, bunkers et autres canons aptes à en faire trembler le ciel.


Gaster : Selon ce que je connaît de tes souvenirs, ces uniformes te sont familiers, non ?


Chara : Plus que tu ne le penses...


Soudainement, les deux antagonistes (cette contradiction est faite exprès, je qualifie juste ces deux personnages avec leur rôle originel dans l'univers d'UT.) entendaient une voix tonitruante hurler indications et autres ordres aux stationnés de la falaise.

Le scientifique se retourna en direction de la mer. Il distingua toute une flotte de combat qui avançaient vers leur position.


Gaster : Eh bien figure-toi que j'avais tord, les "Gris-d'en-haut" ont de la compagnie...

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Au loin, un armada marin avançait en direction de la falaise, bien que difficilement.

Au-dessus du mat de chaque bateau qui le composait, un drapeau.

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Chara : Laisse-moi te présenter, Walter,

La nation la plus puissante du monde humain, sous toutes ses formes.

La guerre qui est sur le point de se dérouler sous tes yeux, c'est la leur.

Ils sont totalement inarrêtables. Personne ne peut leur faire face. Pas même les "Gris".

...

Nous n'avons plus qu'a attendre que les bateaux débarquent et que la SOUL se montre.

Admire le spectacle.


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https://youtu.be/ecIVIFLo0uE

(Prenez-donc un temps pour écouter les paroles, histoire de comprendre ce que je veux dire.)


Sur l'un des canots de la flotte...


Un silence pesant. Seul l'écho des moteurs et le bruissements des vagues le couvre.


Une rangée de douze soldats, assis à leurs postes de fortunes. Leurs mines inhumaines, désespérés, n'attendant que la fin de cet assaut dont la nature pourrait correspondre à leurs expressions. En voici quelques-uns.


A l'arrière du navire, un homme dominant physiquement tout autre. Sa mine patibulaire le traduirait bien. Il s'agit du sergent, le responsable de ces hommes-ci embarqués. Il surveille son peu de troupes attentivement. Lui est prêt à charger, ou plutôt inciter les autre à le faire.


A ses côtés, un soldat tiré au hasard. Celui-ci a la réputation, parmi ses compagnons d'armes, d'être quelqu'un très attaché aux biens matériels. Ils doivent certainement en témoigner de l'attirail de camelote qu'il possède tout autour de lui. Il vient de voler un petit tourne-disque jouant quelques chansons folkloriques. Voyant son expression, il a peur. Peur de la mort, peur de l'échec, peur que sa propre raison d'être ne soit ébranlée que dans l'espace d'un instant.


Et, placé à l'opposé du Sergent, un homme.

Un homme perdu dans son propre regard, fixé sur le va-et-vient brutal des vagues de la mer nordique.

Un soldat simple, maussade, qui, de son regard indifférent lance comme un défi à la falaise des Gris.

Il n'admet pas qu'elle puisse triompher.

Il le sait.

Il pense que de son arrogance naît la sureté.

Il a peut-être tord.

Ça, il ne le sait pas.

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Ils ne sont plus qu'à deux centaines de mètres du rivage.


Soudainement, le soldat entend le hurlement lugubre d'un canon fixe, de l'autre côté de la plage.

Le projectile ne tarde pas à se loger non loin de son embarcation.

Il s'enfonce dans l'eau, créant ainsi une sorte d'explosion aquatique qui se résume en la propulsion du soldat hors de son navire.

Le courant est trop fort, ses frères d'armes n'ont pas le choix ; Ils doivent l'abandonner, au risque de retarder l'assaut.

Sa propre escouade s'éloigne de lui.

Il est désormais seul.

Seul, au milieu des vagues glaciales.

Qui chantent, dansent, et rient, autour du soldat.

Lui, n'est pas d'accord.

Il se débarrasse de son équipement, qui disparaît dans les fonds marins.

Puis il se met à nager, pour tenter de rattraper son régiment.

La danse mortelle des vagues tente de le ralentir, de l'emmener dans son antre.

...

Ça n'a aucun effet sur lui.

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Le soldat n'est plus qu'à une dizaine de mètres du rivage. Il a même dépassé les autres bateaux.

Il peut maintenant marcher jusque sur les étendues. Mais son corps frigorifié se fige. Il ne peut que fixer la falaise.

Soudainement, un hurlement mécanique retentit. Une mitrailleuse, perché sur sur le roc.

Le sifflement strident des balles acérées se rapproche du soldat.

...

Il tombe.

La flotte ne tarde pas à rejoindre le rivage.

Les soldats débarquent, et, aussitôt, un flot implacable se déploie sur la plage.

En quelques instants, la totalité des effectifs de la falaise sont balayés.

Et le même drapeau visible sur le mat des bateaux se met à flotter au vent, au sommet.

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Chara marchait sur la plage, avant de voir le corps du soldat, gisant sur le sable.

Une petite SOUL de couleur orange s'en dégageait.

Gaster apparut à ses côtés.


Gaster : Effectivement, la stratégie semble efficace.

Si nous continuons de la sorte, nous obtiendrons six SOULs en très peu de temps.


Chara : Je te l'avais bien dit...


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Salut !

Après un certain temps d'inactivité, je me relance avec ce premier chapitre !

Dites-moi dans les commentaires si vous appréciez la dimension et l'atmosphère que je donne à cette histoire.

Pour le prochain chapitre, Gaster et Chara devront trouver une SOUL "Patience".

A bientôt !

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