(1) La prononciation.
(NDA : Regardez la vidéo si vous voulez plutôt entendre les explications, plutôt que de les lire. Puisque je me suis basée sur celle-ci pour cette partie et est bien plus simple à comprendre et détaillé.)
La prononciation, celle qui donne tant de mal pour les gens avec la même langue de communiquer, mais dans notre cas, qui nous intéresse.
1. La prononciation la plus remarquée est celle des "A" qui se transforment en "O", qui donne une intonation bien plus grave/ténébreuse au parlé.
2. Le « puis », qui se transforme systématiquement en « pis »
3. Les accents circonflexes "î", "ê" tels que dans les mots "maître" et "arrête", sont souvent allongés, prononcés d'une manière différente. C'est une manière, encore une fois, par la prononciation de distinguer à l'oral certains mots, dont des homonymes.
(NDA : homonymes = des mots qui se prononcent de la même manière : « vert, vers, verre, vers »)
4. L'habitude d'utiliser « tsé », qui est une abréviation de « tu sais », comme bien d'autres mots.
5. Une différence de prononciation entre "en" et "an" par exemple, le mot : « enfant », les deux auront une intonation différente pour les distinguer. (Un plus grave et l'un plus aiguë)
En gros, nos voyelles sont plus nasales, on utilise beaucoup moins notre bouche et notre langue pour communiquer. Ce qui explique pourquoi les québécois on une façon de parler très « grave ».
6. Les : « il, elle » qui se transforment dans les phrases. il devient « y » elle devient « a »
Par exemple : « y vient ce soir. » ou : « a vient à soir. ».
C'est à peu près le meilleur résumé que j'ai pu dénicher, si vous voulez imiter l'accent québécois dans les bases, en espérant que ça vous ait plus. 🫵💖
💖 À la prochaine les amis 💖
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