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CHAPITRE LXII















- Bonsoir Madame, je n'ai pas vu votre mari, mais je ne pense pas qu'il soit bien loin, fit Christopher d’un regard sombre en se prêtant au jeu. - Pourquoi le cherchez-vous si ce n'est pas indiscret de ma part ?

- Et bien, voyez-vous Monsieur l'inconnu, j'ai un certain nombre de besoins qu'il lui faut absolument assouvir répondit Alexandra d'une voix envoutante, une fois arrivé à son niveau.

Du revers de la main, je passai le bout de mes ongles le long de son bras, et je senti son corps se raidir.

- Quels genres de besoins ?
Je pouvais déduire à sa respiration étatique ainsi qu'à la chaleur présente, qu'il aimait bien ce petit jeu.

- Je doute fort que mon mari apprécie le fait que je parle de mon urgent besoin d'avoir des orgasmes avec un inconnu soufflais-je au creux de son oreille afin que cette phrase s'inscrive dans chaque fibre de son corps.

- Et moi je pense que ça ne le dérangerait pas autant que ça.

- Vous dîtes ça parce que vous ne le connaissez pas. Il m'a promis d'ôter la vie à quiconque me regarderait avec un peu trop d'entrain.

- Et ça vous fait peur qu'il vous dise des choses comme ça ?

- Non, répondis-je au bout de quelques secondes. J'aime qu'il soit aussi possessif.

- Il me fait vous dire qu'il est heureux de le savoir.

- Bien, maintenant qu'il est là, pouvez-vous lui dire que sa tendre épouse est prête pour le début des hostilités.

- Ça, je crois qu'il le sait déjà Alexandra, susurra t'il en m'embrassant avidement.
Et moi, je crois que le jeu vient officiellement de prendre fin.
Il me souleva par la taille et me poussa à l'encercler de mes jambes. Sans rompre notre contact, il balaya de sa main libre les objets reposants sur l'immense table de son bureau avant de m'y allonger.

- Dieu que tu es belle mon ange... Qu'est-ce que j'ai bien pu faire de bien dans une vie antérieure pour te mériter Alexandra ?

Il passa son bras derrière moi, et d'une main experte, il dégrafa mon soutien-gorge, avant de le balancer au loin. C'est complètement captivé qu'il épiait chacune des transformations physiques qui s'opéraient sur mon corps du fait de mon excitation.

- Magnifiques, complimenta-t-il avant de prendre mon sein en bouche tout en jouant avec l'autre téton.
Dans un mouvement brutal et impatient, il déchira ma belle culotte, en l'envoyant rejoindre le soutien-gorge.

- Je l'aimais bien cette culotte. Dis-je avec une fausse moue. Mais au fond je m'en foutais. Il pouvait bien déchirer tout le reste s'il le voulait.

- Moi aussi, et si elle te tient tant à cœur, je veux bien t'acheter toute la collection, ainsi que toutes celles à venir, souffla-t-il chaudement contre mon ventre.

Il plongea sa tête entre mes jambes ouvertes et avec un coup de langue bien précis, il soulagea tout en attisant mon désir de lui. Il me faisait tout oublier, jusqu'à mon nom vu que seul le sien me venait en tête. Il s'inscrivait dans chacune des synapses de mon cerveau. Du bout de sa langue chaude, il titilla mon clitoris, puis l'entrée de mon vagin et c'est moi qui devenait chaude et moite. Toute mon intimité s'humidifiait, en palpitant à une vitesse folle.

- Tu as si bon goût, fit-il en soufflant telle une brise sur mon clitoris en surchauffe.

Cette action m'arracha un cri de jouissance. Je redescendais encore de mon orgasme quand je senti un objet s'insérer en moi. Ce n'était pas son doigt, ni son membre.

Angel ne me laissa pas le temps de reprendre complètement mes esprits, qu'il me tira par la main pour que je le mette en position assise. À peine assise, que je ressenti un puissant vrombissement aux creux de mes reins, plus précisément dans les méandres de mon intimité. La tête basculée en arrière, et mes doigts tirant sur mes tétons, puis mes cheveux. Je me cambrai, et fini par me laisser retomber sur le dos contre la table du bureau en gémissant bruyamment.

- Lève toi mon ange, ce n'est pas encore l'heure de te reposer déclara Angel en se mettant entre mes cuisses, comme s'il ne savait pas ce qu'il se passait. Atteins le lit avec ça entre les jambes sans jouir, et je te promets de te faire passer une nuit si intense, que tu ne pourras pas en marcher pendant des jours me proposa Angel de sa voix roque et envoutante.
En dépit du torrent de plaisir qui se déferlait en moi, ce nouveau défi parvenait néanmoins à m'émoustiller. Je n'avais rien à perdre, et tout à y gagner. Je n'avais pas besoin de dire à haute voix que j'étais partante. Il le vit dans mes yeux dilatés. Il caressa le galbe de mon mollet à travers le bas et retira mes escarpins. Avec un sourire des plus pervers, il arrêta la machine infernale, et m'aida à me relever. Je respirais comme si je venais de courir un marathon, mais je réussi à me mettre sur mes jambes.

À chaque pas que je faisais, je craignais qu'il ne la remette en marche, mais il n'en fit rien. Ma démarche digne de celui du plus grand ivrogne en aurait fait rire plus d'un. Quand j'atteignit embrasure de la porte du bureau, il la relança soudainement. Je resserrai les cuisses en m'agrippant fermement à la porte en criant de plaisir.

- Angel...

Le fait d'avoir resserré mes cuisses avec l'objet en moi décuplait mes sensations.

- Tu as encore beaucoup de distance à parcourir chérie, donc ne t'attarde pas trop en route.

Je tenais à avoir cette nuit qui allait me mettrait en bouillie, peu m'importais le prix. Je me décalai alors de mon support en reprenant ma marche douloureusement agréable, ponctuée de pauses et de gémissements. Le vibromasseur se comportait tel une tornade, c'était bon, exquis, mais également douloureux parce que je ne devais pas me laisser aller.

- Tu sais que tu pourrais abandonner et je me contenterai de te faire l'amour en douceur Alexandra.

- Non, soufflais-je dans un énième râle de plaisir.

- Dans ce cas tu devras me mériter bébé, déclara Angel en augmentant la vitesse de l'engin entre mes cuisses.
Dans un cri aiguë, Alexandra se laissa retomber sur les genoux, les yeux fermés, elle se laissait aller à toutes ses sensations sans perdre de vue son but, ne pas jouir.

Des genoux, je m’échouai sur le dos à même le sol sur le marbre froid. J'étais en nage, mon vagin palpitait, mais je faisais tout pour contrôler mon corps qui ne demandait qu'à relâcher toute cette tension qu'il emmagasinait. Les quatre fers en l'air, et les jambes écartées j'arquai violement le dos quand le vibromasseur accentua une fois de plus sa vitesse sous les ordres de mon vicieux de mari. Le feu montait en moi, et la puissante vague d’orgasme qui pointait son nez, me fit comprendre que j’allais perdre si je ne faisais rien, alors je fis la seule chose qui me vint en tête :

- Un, gémis-je en arquant le dos. Deux…trois…cinq…

- Qu’est-ce que tu fais mon ange ?

- Je…je compt…

Je n’eu pas le temps de terminer ma phrase que je gémis en serrant instinctivement les cuisses.

- Six…Huit…Onze…Treize…

- Et que comptes-tu au juste ma belle ? demanda-t-il d’un ton taquin.

- Tout…

- Eh bien si faire les maths, est là, la méthode que tu as trouvée pour ne pas jouir, laisse-moi te dire qu’elle est faillible. En plus tu comptes mal mon ange. Ajouta-t-il quand de onze, je revins à trois, puis à mille, avant de ne plus avoir en mémoire un seul chiffre.

Cet homme allait finir par me tuer…

- Regarde-moi Alexandra, ordonna sourdement Angel.

Après une longue négociation acharnée avec mes paupières, elles finirent par se déployer. Angel se tenait en face, au-dessus de moi. Je ne m'étais même pas rendu compte qu'il s'était lui aussi déshabillé. Les yeux noirs de désir et le sexe dressé comme un somptueux monument en granite, il fixait intensément mon entrejambe. Me surplombant de toute sa hauteur, il dominait chaque aspect de moi jusqu'à mon plaisir. Je me tortillais sous lui, les dents serrées pour ne pas céder à mon orgasme proche. Les poings tout aussi serrés, je martelais le sol de coups en criant de versions de plus en plus méconnaissable de son prénom. Il se retenait, ses veines du cou, des bras, et du pénis étaient gonflées à leurs maximum. On aurait dit un taureau en rut ou un félin qui s'empêchait de bondir sur une proie qui ne demande que ça d'ailleurs.

- Si je te demandais de jouir pour moi pourrais-tu le faire ?

- Oui gémis-je.

- Et tu le ferais ?

- Non...soufflais-je après un moment de silence ponctué de mes complaintes.

- Pourquoi, m'interrogea t'il en ralentissant le vibromasseur.

- Parce que tu ne le veux pas vraiment...Tu aimes me voir ainsi, conclus-je dans un cri quand il repassa à la vitesse supérieure.

- Bon raisonnement mon amour. Me congratula-t-il le regard en fusion. Supplie moi d'arrêter, et j'honorerai tout de même ma promesse de te prendre comme un animal.

Je découvrais une nouvelle personnalité d'Angel qui ne m'effrayait pas comment il aurait peut-être fallut. Non au contraire, il me plaisait agréablement.

- Supplie moi Alexandra ordonna-t-il d'une voix alourdie par son désir.
Je ne l'écoutai pas, consciente que le fait de ne pas le supplier augmentait son plaisir. Profitant du petit moment de répit qu'il m'accordait, je repris mon souffle avant de me remettre à genoux.

Cette pièce était décidément trop grande.  

C'est en haletant et à quatre pattes que je traversai la chambre aussi vite que je le pu avant que la prochaine décharge ne vienne. Avec difficulté, je montai de la même manière les trois marches pour enfin atteindre après quelques pas, l'immense lit. Je pris appuie sur le rebord les bras aussi sonnés que l'étaient mes jambes en coton, ainsi que tout mon corps, et avec le peu d'énergie qui me restait, je me mis debout. Je m'assieds en douceur sur le lit, afin de ne pas titiller mon vagin sensible, et avec un petit sourire satisfait, je lui fis comprendre qu'il avait perdu. Mais je sais que s'il avait vraiment voulu gagner il y serait parvenu sans difficultés. Il m'avait volontairement suspendue au bord de l'orgasme sans pour autant me faire jouir.
Lui aussi voulait me voir tenir le coup.

Il laissa tomber la télécommande, et vint à moi dans un pas décidé et vif. Sans ménagement il m'embrassant brutalement, en faisant entrechoquer nos dents, puis il me poussant au milieu du lit. Il écarta mes cuisses et mit un doigt en moi pour retirer le vibromasseur.

- Tu peux jouir maintenant. M’autorisa Angel en mettant un doigt au sein de ma chair palpitante.
Sa voix était basse, masculine, excitante. Mon intimité encore sensible à cause des assauts répétés qu'elle venait de subir se contracta violement et mon corps tendu à force de s'être retenu, se relâcha dans un cri que je ne reconnus pas. Un orgasme dévastateur pulvérisait toute conscience de moi, je criais encore et encore le prénom d'Angel dans plusieurs gémissements désordonnés.

- Une promesse est une promesse Alexandra murmura Angel en se mettant dorénavant entre mes cuisses.

- Pas de douceur. Je veux voir le vrai toi, sans inhibitions, ni retenues, rien que toi. A partir de maintenant, ton plaisir avant le mien ordonna Alexandra en se cambrant le dos pour recevoir les coups de reins.

Je n'avais jamais vu son sexe aussi gonflé, ni ses yeux aussi sombres. On aurait dit une autre personne. Il m'immobilisa complètement dans le lit avec son corps et ses bras.

- Tu ne sais pas ce qui t'attend mon ange, se contenta de répondre Angel avec une voix que je ne le connaissais pas non plus.

Il me pénétra avec une force, et une brutalité que je ne le connaissais pas non plus, en m'arrachant un intense râle de douleur, et de plaisir. En une forte poussée, il me hissa d’emblée au portes de l’orgasme. Les yeux fermés, ma voix criait à qui pouvait l’entendre que mon homme était tout simplement le meilleur. Quand il se retira de moi lentement après avoir laissé échapper mon prénom dans un souffle, je laissai tomber mon dos arcbouté sur le lit, prête à négocier quelques heures de sommeil.

- Oh non ma belle, je n’en n’ai pas encore fini avec toi. Me dit-il en me tirant par les jambes pour me ramener à sa hauteur. Je jappai de surprise en ouvrant les yeux, pour voir qu’il ne plaisantait pas. Il venait de repeindre toute mon intimité de sa semence, et sa hampe était encore tendu comme s’il venait de se réveiller. La bouche en ‘O’, et la mine effarée, je dégluti en constatant qu’il arrivait même à grossir et à s’allonger.

- C’est ce que tu as demandé mon ange, et je ne sais, ni peux te dire non. Déclara-t-il comme si la situation ne l’enchantait pas.

- Angel… gémis-je.

- Tu me voulais dans ma totalité, et sans retenue, et ça, ce n’est qu’une partie de ce que je peux, et veux faire. Surenchérit-il en me retournant sur le ventre. Mets-toi à quatre pattes mon trésor. M’ordonna-t-il une fois de plus, en m’administrant une petite tape sur les fesses. Je glapis en m’exécutant le corps tremblant à la fois d’excitation et de fatigue. Une fois les bras tendus, je le sentis dans mon dos. Il se pencha sur moi, son ventre sur mon dos glissait à cause de la sueur de nos deux corps, son souffle sur ma joue, et sa voix envoutante au creux de mon oreille.

- Si tu savais depuis combien de temps je rêve de te faire ça mon ange. Tes cheveux… ils sont magnifiques…
Angel se redressa, ramena ma crinière dans sa main, afin de les enrouler lentement autour de son poing pendant que moi je me frottais à lui, pressée. Il s’immobilisa quelques secondes, laissant ainsi mon imagination faire tout le travail, et lorsque je m’y attendais le moins, il tira brusquement mes cheveux vers lui, en m’écartelant par la même occasion.

- Angel ! criais-je quand il se mit à me pilonner sans arrêt et sans douceur. Les doigts encastrés dans les draps, j’encaissais tout comme si ma vie en dépendait. Chacun de ses coups de boudoir était plus puissant, et plus intense que le précédent. A chaque fois il allait plus loin, je le sentais aux confins de mes entrailles, à un endroit où il n’était jamais aller, et mon corps se contracta. La tête renversée en arrière à cause de mes cheveux qu’il tirait toujours vers lui, je râlais en le suppliant pour je ne sais quelle raison, continuer, arrêter, ou les deux à la fois je ne le savais. Ses jambes bloquaient les miennes pour m’empêcher de bouger, mais c’était trop d’émotions, trop de sensations, jamais je n’avais été aussi électrifiée, mes bras flanchèrent, et je pris à la place appuis sur mes avant-bras. Il me prenait comme jamais il ne l’avait fait, c’était bestial, féroce, dominateur, et j’aimais ça…

Ce soir, tout de cet homme m'était inconnus, mais comment le blâmer si moi-même je ne reconnaissais pas celle que j'étais devenue.

C'est en titubant, que je marchais les jambes légèrement écartées en direction du lit. Et pas la peine de me leurrer, il était hors de question que j'aille en cours de danse aujourd'hui. Je ne pouvais même pas me déplacer correctement, alors aller danser n'était même pas envisageable. De plus Carla comprendrait les raisons de ma nouvelle démarche, et elle n'arrêterait pas de me charrier là-dessus. J'avais l'impression que mon vagin était toujours secoué de spasmes. Je suis certaine que si je serrais les cuisses suffisamment fort, je serai capable de provoquer un orgasme. Soutenue par le mur je pris un temps d'arrêt avant de me remettre en marche. J'étais vider, si jamais il me prenait de la sorte tous les jours je risquais de ne pas faire long feu sur cette terre, morte de crise cardiaque due à un orgasme d'amplitude 1000 ! Il avait vraiment raison de me dire que je ne savais pas ce qui m'attendait. Rien que me rappeler la manière avec laquelle il avait prononcé cette phrase me rendait toute chose.

- Ou crois-tu aller Alexandra, me demanda nonchalamment Angel, dont la voix basse et suave fit redresser tous les poils de mon échine.

- Dans mon lit. Répondis-je dans un murmure en ne pouvant contraindre mes yeux à se détacher de lui.
De sa main droite, il poussait un chariot comportant ce que je pense être de la nourriture, et je pouvais dire sans me tromper qu'il y'en avait beaucoup. Il laissa le tout près de la table basse de la chambre, et c'est uniquement vêtu d'un bas de pyjama en soie noire, qu'il avança lestement jusqu'à moi sans me quitter du regard.

- Tu ne vas quand même pas me dire que tu as encore envie de me prendre, demandais-je d'une voix roque, en ne reconnaissant que trop bien ce regard incandescent.

- Pourquoi ? Pas toi ?

Je ne lui répondis pas. Mais je n’en avais pas besoin.

- Tant que tu auras cet air sauvage à cause d'avoir sur le dos ce porte-jarretelles, et ces bas complètement chiffonnés, j'aurai de mon côté constamment envie de te prendre, que dis-je, j'ai constamment envie de te prendre. Encore et encore, compléta-t-il d'une voix traînante en tournoyant son doigt pour appuyer ses dires. Voilà l'état dans lequel tu me mets Alexandra souffla-t-il en me retournant pour se placer dans mon dos.

- Angel...

Je ne savais même pas pourquoi je l'appelais, mais apparemment lui, le savait. Il me retourna de sorte à ce que je fasse face au mur qui me soutenait il y'a peu. Il caressa les parties les plus sensibles de mon corps qu'il connaissait désormais par cœur. Je gémis en posant la main sur sa hanche d’où je vis son érection en béton.

- Le programme d'aujourd'hui peut être résumé en trois points essentiels : baiser, baiser et toujours baiser jusqu'à ce tu ne puisses plus quitter ce lit avant plusieurs jours. Tu es partante mon amour ?

Pour toute réponse, je me frottai encore plus à lui. Toute la nuit je n'avais pas eu de répit, il m'avait réveillée un nombre incalculable de fois pour tenir encore sa promesse, et ce n'était pas moi qui allait me plaindre. J'ai tellement joui ses dernières heures que je me demandais encore comment c'est possible que je puisse encore le faire.

Mon bas était troué par endroit, mon chignon défait, c'est comme si une tornade m'était passée dessus, et cette tornade portait un nom, Christopher Angel. Présentement j'avais la démarche d'un crabe, j'étais fatiguée, mais j'avais encore envie de lui.

- Tu es prêtes à me recevoir Alexandra ? Demanda Angel en se rapprochant encore plus dans mon dos, les doigts caressant ce petit point sensible entre mes jambes.

- Oui, soufflais-je les yeux fermés.

- Je crois que depuis ce que je t'ai fait à 5 heures ce matin, tu n'as pas vraiment besoin de préliminaires ?

- Non, murmurais-je en me préparant à accueillir à la bête de sexe qui allait bientôt sévir dans tout mon être.

Sans toute autre forme de procédure, il écarta mes jambes à la distance souhaitée avec son pied, les immobilisa avec les siennes, puis il s'engouffra tout en force moi. Prise en sandwich entre le mur auquel je faisais face, et un Angel déchaîné dans mon dos, je n'avais plus la force de retenir mes cris ou de les étouffer dans des gémissements. Mais au fond à quoi bon, vu que depuis hier, c'est certain qu'on a dû m'entendre crier depuis l'espace.

Et c'était reparti pour toute une journée ponctuée par mes cris de jouissance, et au fond de moi, en dépit de la fatigue, je la savourais d'avance.



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