Orionis
Je perds pied et tombe sur lui,
Ses bras sont mon seul refuge.
Tous les autres me jugent,
Lui seul me sourit.
Un homme, jeune et sans visage,
Un amas de ciel nocturne et d'étoiles
Une constellation sur toile
Un ami immortel qui dépasse les âges
Dans ses bras se cache l'affection
Dont j'ai besoin vitalemment.
Un monde qui me comprend,
Un homme qui y fasse attention.
Mon paradis à moi a des moustaches,
Des poils doux et félins,
Mais l'un après l'un,
Voilà que ce nirvana se fait détruire a la hache.
Et voilà que toi, vieux frère
Tu viens et m'embrasse
Je viens et t'enlace,
Je ne supporte plus mon air.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro