chapitre 7✔
- Qu'est ce qu'il fait chez nous maman? Demandais-je au bord d'une crise de colère.
- Je te signale que c'est aussi ma maison. En plus baisse d'un ton quand tu parles à ta mère. Lança t'il en me fourdoyant du regard.
- Depuis quand ma mère t'intéresse? Dis-je ironiquement.
- Tu sais bien que je vous aimes toutes les deux. Commença t'il en baissant subitement la tonalité de sa voix.
- Ah S'il vous plait ok. Ne te mens pas à toi même. Me dis pas que tu ne lui a pas dis maman?
- Me dire quoi? Interrogea t'il en devorant ma mère du regard.
- Je vous laisse discuter entre adulte.
Suite à cela je suis montée dans ma chambre. car tout cela est trop pour moi. Comment a t'elle pûe? Tout d'un coup elle a vite oublier ses nuits d'insomnies, la trahison de mon père. Et dire que je croyais qu'elle avait du caractère.
Je me déshabille puis je me couche. Je branche mes écouteurs et je commence à écouter de la musique triste. Car j'en ai besoin, j'ai besoin de verser des larmes, j'en ai besoin, de me sentir encore plus mal que je le suis.
Je ferme les yeux pour que des larmes puissent poursuivre librement leurs chemins. Lorsque je les ouvres enfin. À ma grande surprise il y avait ma mère devant moi.
J'ôte les écouteurs et j'essuie mes larmes.
- Ma chérie... commença t'elle.
- Laisse-moi seule s'il vous plaît.
- Ok. Mais on doit se parler. M'annonca t'elle juste avant de sortir.
Je remet mes écouteurs. Puis je m'endorme.
Le lendemain j'avais la flemme de me lever. Mais il le faut car j'ai mon entrainement.
J'aille prendre une douche et je met un jogging bleu et un debardeur noir, je mets une paire de converse noire. J'attache mes cheveux en queue de cheval. Puis je sors.
En passant par la cuisine, j'ai vue mon père et ma mère entrain de cuisiner tout en jouant.
Je les applaudissent juste avant de balancer à ma mère ces mots.
- Pendant combien de temps ce petit jeu va durer? Deux semaines? Maman n'oublie pas que lorsqu'il quittera le pays il nous oubliera Vite fait.
Voyant que ma mère a perdu son sourire et qu'elle s'est détacher de lui. Je remets mes écouteurs et je sors.
Tout le long du chemin, je réfléchisais et j'avais envie de pleurer, mais je devais me retenir pour ne pas attirer l'attention des passants.
J'en voulais à maman, elle n'aurait pas dûe. Cet homme qui soit disant est mon père et son mari s'en fout d'elle, il vienne en Haïti que deux fois par an. Et c'est seulement en ces temps là qu'on peut dire qu'elle à un mari. Et le comble dans tout cela c'est qu'il n'a toujours pas rompu avec la manbo.
Elle accepte tout simplement d'être la maîtresse de son popre mari. C'est évident puisque tout se fait par la manbo, même pour nous entretenir il le fait en cachette, même pour venir nous voir, il est obligé de mentir. En fin de compte c'est elle qui porte le caleçon. C'est la raison pour laquelle je lui en veux autant.
Arrivant à l'entraînement, j'ai fais une ronde pour m'échauffer comme me l'a demandé le senseï.
Suite à cela on a commencé l'entraînement, le senseï nous a montrer trois techniques de combats. Comme d'habitude j'ai été formidable, le senseï n'arrêtait pas de me féliciter jusqu'au moment du combat.
J'ai eu pour adversaire Ricardo. ce dernier on dirait qu'il n'a toujours pas oublier l'incident du samedi dernier.
Il m'a assommé avec un gyaku-zuki, un coup de poing que je n'ai pas vue venir.
En récompense j'ai eu une bose à la tête et des sermons fraîchement sortie de la bouche du senseï.
Il m'a renvoyer chez moi et a eu un entretien avec ma mère. Ils ont parler je ne sais de quoi.
Il était déjà midi passé et je n'ai toujours rien avalé. Je n'ai pas faim mais, je dois le faire car ma maladie me permet pas de rester sans manger. Je souffre d'ulcère gastroduodénal et le médecin avait été très stricte la dernière fois.
Je rentre chez moi, je prends une douche, je m'habille puis je sors. J'aille à Nelly's fast food. Je commande une gratiné au poulet et une Tampico.
Je me souviens encore des sermons du senseï. Je t'avais bien dit de te concentrer. Je ne te comprends pas ces jours-ci. Que t'arrives t'il.
Je ne réponds pas, j'étais loin dans mes pensées. Alors il a décider d'appeller ma mère.
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Je ne vous demande pas plus qu'un ☆ à la fin. Ce n'est pas la mer à boire non.
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